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Le cerveau des anorexiques et des obèses n’a pas les mêmes connexions

Des neuroscientifiques de l’Université du Kansas mentionnent que le cerveau des personnes anorexiques et celui des obèses sont câblés différemment.
 
Pour la première fois, on remarque les façons différentes de répondre du cerveau face à la nourriture pour chaque comportement.
 
« Un des aspects les plus intrigants de ces études du cerveau vis-à-vis de la nourriture est de montrer l’activation de zones de récompense également impliquées dans les études sur la dépendance », explique Laura Martin du Hoglund Brain Center Imaging.
 
En fait, les réponses des zones de récompense sont différentes selon les comportements alimentaires, d’après les résultats présentés lors de la rencontre de la Cognitive Neuroscience Society.
 
On a utilisé l’imagerie cérébrale pour des patients souffrant de l’un des trois types de troubles alimentaires, l’anorexie, l’obésité et le syndrome de Prader-Willi, qui se caractérise par une obésité excessive.
 
On note un lien clair entre les comportements alimentaires et l’activité cérébrale dans les zones de récompense.
 
Un autre chercheur, Kyle Simmons, travaille à mieux comprendre les préférences gustatives selon les différents comportements.
 
« Nous ne savons pas encore si des différences entre les réponses du circuit de la récompense existent entre des personnes minces et obèses. Le comprendre est essentiel si nous voulons développer des interventions efficaces contre l’obésité et certains troubles de l’alimentation », mentionne M. Simmons.
 
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La lecture augmente les connexions dans le cerveau

Des chercheurs espagnols sont arrivés à la conclusion qu’apprendre à lire renforce les connexions entre les différentes parties du cerveau, rapporte le magazine Nature.

En étudiant des Colombiens qui ont appris à lire à l’âge adulte, on a pu isoler les modifications qui sont induites dans le cerveau lors de cet apprentissage.

En comparant les échographies cérébrales de 20 Colombiens apprenants à lire à celles de 22 analphabètes, on a constaté que ceux qui pouvaient lire avaient plus de matière grise dans leur cerveau. De plus, la substance blanche était également beaucoup plus présente dans les régions du cerveau qui servent au traitement de l’information.

Cette nouvelle étude sur le fonctionnement du cerveau lors de la lecture aiderait ainsi à mieux comprendre les problèmes de dyslexie.