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Dans les coulisses

John Gibson et Connor Hellebuyck dans la mire des Devils du New Jersey

Les Devils du New Jersey ont beaucoup de punch à l’attaque, ça, il n’y a pas de doute.

Menés par les Jack Hughes, Nico Hischier, Jesper Bratt et Timo Meier à l’attaque, ils ont aussi de très bons défenseurs comme Dougie Hamilton et John Marino.

De plus, il y a Luke Hughes et Simon Nemec, qui devraient devenir des défenseurs élites dans la LNH prochainement.

Le seul point d’interrogation, c’est devant le filet.

Vitek Vanecek n’est pas un mauvais gardien, mais je ne vois pas comment il pourrait être un bon gardien partant.

Pour ce qui est d’Akira Schmid, qui en a surpris plus d’un cette saison avec de très belles performances, il n’a que 24 matchs d’expérience dans la LNH et 9 autres en séries éliminatoires.

L’échantillon est beaucoup trop faible pour déterminer si ce n’est qu’un feu de paille, un peu comme Andrew Hammond l’a été lors de la saison 2014-2015.

Drôle de coïncidence, mais Andrew Hammond avait lui aussi disputé 24 rencontres cette saison-ci.

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Bref, les Devils rechercheraient peut-être un gardien d’élite pour solidifier cette position.

Connor Hellebuyck (Jets de Winnipeg) et John Gibson (Ducks d’Anaheim) avaient mentionné vouloir partir de leur équipe respective.

New Jersey serait d’ailleurs très intéressé par l’acquisition d’un de ces gardiens, mais ne veulent pas payer le gros prix non plus.

Plus on y pense, plus ça fait du sens, car après une élimination au deuxième tour par les Hurricanes de la Caroline, les Devils voudront se rendre plus loin et ça, ça passe, entre autres, par un meilleur tandem de gardien.

Quoi que les Golden Knights de Vegas viennent de remporter les grands honneurs, sans avoir de gardien élite.

Adin Hill a été très bon durant la danse printanière et il a permis à Vegas de se rendre jusqu’au bout. Par contre, ce n’est pas qu’uniquement grâce à lui, mais plutôt l’équilibre de tous les trios, les rôles que chacun avaient, ainsi que la grosse défensive qui les a aidé grandement.

C’est à se demander si avoir un gardien d’élite est vraiment nécessaire pour aspirer à la Coupe Stanley.

Pour l’instant, rien ne porte à croire qu’une transaction sera effectuée à ce niveau chez les Devils. Ils devraient commencer la saison avec Vanecek et Schmid.

Par contre, rien n’empêche une blessure et à ce moment, le directeur général Tom Fitzgerald pourrait appuyer sur la détente.

En rafale

– Quel catch!

– À ne pas manquer.

– Les Blue Jays s’en donnent à coeur joie avec les coups de circuit aujourd’hui.

– Et bien.

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Habsolument Fan

Importante déclaration de Connor Hellebuyck concernant son futur à Winnipeg

Alors que les Jets se trouvaient parmi les meilleures équipes à la mi-saison, leur parcours aux séries éliminatoires a été difficile à la fin. Puis, comme de fait, l’équipe s’est fait dominer par les Golden Knights de Vegas, se faisant éliminer lors du cinquième match. 

Malgré que Winnipeg ait participé au tournoi printanier à cinq reprises au cours des six dernières années, le club a connu très peu de succès. C’est pourquoi plusieurs croient que l’organisation est à la croisée des chemins.

Tel que rapporté dans l’article plus haut, beaucoup de décisions entourant les vedettes des Jets reposent sur les épaules de Connor Hellebuyck. Toutefois, le gardien étoile a été clair au niveau de son futur :

« Je ne suis pas intéressé par une reconstruction »

Connor Hellebuyck

La direction ne semble toujours pas avoir choisi quelle avenue elle veut prendre avec l’avenir de l’équipe, mais une chose est sûre, Hellebuyck ne veut rien savoir d’une reconstruction.

Dur de lui reprocher, puisque le gardien a 29 ans et il y a fort à parier qu’il aimerait remporter une Coupe Stanley, ce qui a bien plus de chances de se produire avec une équipe qui est bâtie pour gagner.

L’américain a été un pilier pour les Jets depuis son arrivée, mettant le club sur ses épaules à plusieurs reprises pour accéder aux séries. Son contrat de 6 166 666$ prend fin en 2024.

Somme toute, si Hellebuyck décide de partir, il ne risque pas d’être la seule vedette à Winnipeg sur son départ.