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Comment bien traiter une bronchite

L’hiver arrive à vitesse grand V, et les désagréments qu’il apporte peuvent être nombreux pour les millions de personnes qui devront braver le froid quotidiennement.

Il y a bien sûr les classiques rhumes et grippes, mais certains peuvent dégénérer en une bronchite, ce qui est beaucoup moins simple à traiter et à vivre.

La bronchite est une infection virale (ou bactérienne) qui provoque l’inflammation des bronches, rendant la respiration difficile.

www.nlm.nih.gov rapporte des suggestions émises par le National Heart Lung and Blood Institute afin de traiter adéquatement les cas de bronchites.

On conseille d’abord le repos complet, ainsi que l’absorption de beaucoup de liquides, exactement comme dans les cas de grippes « traditionnelles ».

Si la migraine est présente dans les symptômes, l’aspirine est conseillée, sauf pour les enfants, à qui l’on suggère plutôt l’acétaminophène.

Placez-vous dans un endroit chaud et humide ou utilisez un humidificateur afin d’ouvrir les voies respiratoires.

N’utilisez un médicament contre la toux et l’inflammation que sur les conseils de votre médecin afin d’éviter d’aggraver votre cas, et rappelez-vous que les antibiotiques ne sont efficaces que dans les cas de bronchite bactérienne. Ceux-ci n’auraient aucun effet dans les cas de bronchites virales.

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Profitez des restes des fêtes en toute sécurité

Profitant de la Thanksgiving américaine qui aura lieu demain (22 novembre) chez nos voisins du sud, la U.S. Food and Drug Administration fait des recommandations alimentaires pour le temps des fêtes.

Ainsi, l’association met en garde contre les empoisonnements alimentaires possibles, spécialement lorsque vient le temps de ranger les restes… et de les consommer.

Les recommandations, rapportées par www.nlm.nih.gov, s’attaquent d’abord à la légendaire dinde, élément traditionnel de Thanksgiving et de Noël.

Ainsi, on peut y lire qu’il faut réfrigérer les aliments deux heures après la cuisson maximum, et que la farce et les autres éléments accompagnant votre volaille devraient être réfrigérés séparément. On suggère également de recouper les restes de dinde en plus petits morceaux et de les placer au réfrigérateur dans des contenants séparés.

On devrait aussi privilégier les contenants opaques et étanches, et placer les restes en surplus au congélateur le plus rapidement possible, sans attendre quelques jours.

Lorsque vient le temps de les décongeler et de les réchauffer, il faudrait également vérifier la température interne de la viande, qui devrait être supérieure à 165 degrés Fahrenheit.

Voilà! Bonne Thanksgiving et joyeux temps des fêtes… en santé!

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Temps des fêtes : Préparer sa dinde de façon sécuritaire

Le titre de cet article peut vous sembler plutôt insolite, mais avec les nombreux cas de problèmes de santé reliés aux viandes, les CDC américains ont décidé de lancer un petit avertissement pour sensibiliser les gens à l’approche des fêtes.

C’est donc via le site de l’Agence de santé des États-Unis, www.cdc.gov, qu’on nous propose quelques faits et astuces concernant la traditionnelle dinde de Noël, aussi fort populaire à la Thanksgiving chez nos voisins du sud.

D’abord, il faut savoir qu’il est très important de conserver les volailles (et donc la dinde) dans des températures bien froides. La « zone de danger » pour la prolifération des bactéries se situerait entre 40 et 140 degrés Fahrenheit.

Conserver sa dinde congelée demeure le moyen le plus sécuritaire, et il faut utiliser une technique efficace pour la décongeler, comme le réfrigérateur, l’eau froide ou encore le four micro-ondes (si elle y entre!).

On suggère ensuite d’utiliser des surfaces de travail extrêmement propres, impeccables, et de se laver les mains très souvent. Les bactéries contenues dans la volaille peuvent facilement contaminer d’autres aliments, alors il est préférable de tenir votre dinde à distance des autres éléments du buffet lors de l’apprêt.

Pour terminer, on conseille vivement de ne pas cuire la dinde en bas de 325 degrés Fahrenheit, et de faire chauffer la farce (au besoin) séparément, dans un autre plat. Pour savoir quand votre volaille sera prête et « sécuritaire », vérifiez la température interne, qui devrait se situer au-delà de 165 degrés.

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Survivre à l’automne : la luminothérapie à la rescousse

Si vous êtes de ceux et celles qui ressentent férocement les effets de l’automne et du manque progressif de lumière qui s’ensuit, c’est peut-être le moment de découvrir la luminothérapie.

Vous en avez entendu parler, mais cela ne vous semble pas utile? Sachez que si vous faites partie du 5 % qui se dit victime de dépression saisonnière, il s’agit sûrement de votre meilleure solution.

D’abord, il faut comprendre que les fatigues, somnolences et impressions de ralenti que vous ressentez en automne et en hiver sont souvent dues au fait que le corps sécrète de la mélatonine lorsque l’on ferme les yeux ou que la lumière est très basse. Le corps entre alors en mode « veille ».

Certaines personnes sont plus sensibles à ce phénomène, et c’est pourquoi ces cas sont tout indiqués pour une séance de luminothérapie.

D’abord, il vous faudra vous procurer une lumière spéciale, blanche, qui filtre les ultraviolets. Les infrarouges sont aussi bénéfiques.

Pour un effet maximal, topsante.com parle d’une séance quotidienne de 30 minutes par jour, tout au long des saisons froides. Les spécialistes ajoutent que d’effectuer le traitement le matin serait plus efficace que de le faire le soir.

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Des fèves pour contrer les effets du diabète

Les patients atteints de diabète de type 2 pourraient gagner un meilleur contrôle sur les effets de cette terrible maladie en ingérant simplement une tasse de fèves (ou de lentilles) quotidiennement.

C’est ce que prétendent des chercheurs dans une nouvelle étude, des affirmations reprises par www.nlm.nih.gov. Ils ont démontré qu’en comparaison à une diète riche en fibres et grains entiers, une dose quotidienne de légumineuses mènerait à un contrôle plus adéquat du taux de sucre dans le sang, ainsi que de la pression sanguine et des niveaux de cholestérols.

Voilà une percée intéressante, surtout que ce « traitement » est simple et fort peu onéreux. Après trois mois de ce régime, les participants de l’étude ont vu fondre leurs chances de développer des maladies cardiovasculaires de 1 %, un chiffre faible, mais qui démontre un impact réel sur le corps.

Le Dr David Jenkins, de l’hôpital St-Michaels de Toronto, explique : « Les légumineuses sont une bonne source de protéines, et les protéines tendent à absorber le sucre dans le sang. Une diminution de la pression sanguine est aussi observable ».

Il conseille donc la consommation régulière de fèves et de lentilles et conclut en rappelant que cette suggestion s’applique à tout le monde.

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Des fèves pour contrer les effets du diabète

Les patients atteints de diabète de type 2 pourraient gagner un meilleur contrôle sur les effets de cette terrible maladie en ingérant simplement une tasse de fèves (ou de lentilles) quotidiennement.

C’est ce que prétendent des chercheurs dans une nouvelle étude, des affirmations reprises par www.nlm.nih.gov. Ils ont démontré qu’en comparaison à une diète riche en fibres et grains entiers, une dose quotidienne de légumineuses mènerait à un contrôle plus adéquat du taux de sucre dans le sang, ainsi que de la pression sanguine et des niveaux de cholestérols.

Voilà une percée intéressante, surtout que ce « traitement » est simple et fort peu onéreux. Après trois mois de ce régime, les participants de l’étude ont vu fondre leurs chances de développer des maladies cardiovasculaires de 1 %, un chiffre faible, mais qui démontre un impact réel sur le corps.

Le Dr David Jenkins, de l’hôpital St-Michaels de Toronto, explique : « Les légumineuses sont une bonne source de protéines, et les protéines tendent à absorber le sucre dans le sang. Une diminution de la pression sanguine est aussi observable ».

Il conseille donc la consommation régulière de fèves et de lentilles et conclut en rappelant que cette suggestion s’applique à tout le monde.

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La vérité sur les médicaments

Les médicaments, s’ils sont une source de soulagement, de guérison et d’espoir, mais ils sont aussi source d’inquiétudes et de nombreux questionnements.

Topsanté s’est penché sur la question et rapporte que plusieurs médicaments sont rappelés annuellement pour cause d’effets secondaires, très graves dans certains cas, moins dans d’autres.

Si ce genre de situation est fréquent, cela ne signifie pas pour autant que les vérifications ne sont pas rigoureuses. Malheureusement, des cas de compagnies pharmaceutiques qui trichent lors des tests et examens de normes, ça arrive.

Inquiétant, il faut en convenir. De plus, les médecins semblent de plus en plus enclins à prescrire des médicaments, parfois plus d’un par patient, pour à peu près tous les symptômes présentés. Qu’elles soient utiles ou superflues, ces prescriptions à la chaîne ont de quoi laisser le public songeur.

On suggère d’éviter de changer constamment de médication et de se questionner sur le besoin réel de celle-ci. Si l’on veut poursuivre un traitement, pourquoi changer de type de médicament si le précédent fonctionnait bien et, surtout, sans effets secondaires?

Les gens ont souvent envie d’essayer le produit le plus récent sur le marché. Un comportement à éviter, tout comme voir les médicaments comme des solutions faciles, sans conséquence.

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Collations : Comment bien tricher

Il est si plaisant d’ajouter une collation à sa journée. Malheureusement, en cette ère de bonne nutrition et de culpabilité gastronomique, il est fréquent de se sentir coupable lorsqu’on triche son régime au courant de la journée.

La solution réside peut-être dans le choix des collations. « Tricher sainement », est-ce possible? Il semble qu’il y ait de l’espoir pour 80 % des Canadiens qui avouent s’offrir des collations quotidiennement.

D’abord, selon Conseilsnutrition.tv, la clé d’une bonne collation réside dans le taux glucides/protéines, afin d’obtenir le maximum d’énergie tout en soutenant l’organisme longtemps, disons jusqu’au prochain repas.

Du nombre des aliments recommandés, on retrouve les fruits, les noix, les légumes (et jus de légumes), le fromage (un morceau, ou encore du fromage cottage) et certaines barres tendres (vérifier la teneur en sucre).

Si ce ne sont pas là des choix appréciés de tous, sachez qu’en choisissant bien, il est « permis » de savourer non pas une collation dans la journée, mais deux!

Les craquelins de riz sont également recommandés, eux qui ne contiennent que très peu de calories. Les croustilles et autres éléments de machines distributrices sont bien sûr à éviter.

Avoir ses propres collations sous la main évite de craquer facilement pour les nombreux produits néfastes retrouvés partout dans votre environnement.

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Six manières de rendre sa pharmacie plus sécuritaire

La pharmacie de votre salle de bains contient probablement des médicaments très utiles, qui peuvent parfois même sauver des vies, mais elle pose aussi un risque pour votre famille… Suivez ces conseils compilés par Parent Squad pour réduire les chances de problème.

1. Assurez-vous que vos médicaments sont bien organisés. Lorsqu’une urgence survient, ce n’est pas le temps de fouiller désespérément pour trouver quel petit flacon est le bon. Séparez les médicaments pour les enfants de ceux des adultes, pour éviter les mélanges fâcheux, et gardez les médicaments que vous utilisez le plus souvent dans un endroit facile d’accès.

2. Vérifiez les dates d’expiration régulièrement. Les médicaments perdent de leur efficacité une fois la date expirée, alors il est important de bien vérifier les dates, une fois par année au moins. Les médicaments laissés dans un endroit chaud et humide peuvent également avoir besoin d’être jetés plus rapidement. Si vous avez un doute, consultez votre médecin ou votre pharmacien.

3. Jetez les médicaments de manière sécuritaire. Il y a différentes façons de le faire, par exemple de les mélanger à de la litière pour chats ou à des grains de café moulu avant de les mettre à la poubelle. Cela réduira grandement la probabilité qu’ils tombent entre de mauvaises mains.

4. Ne jouez pas au médecin. Même si vous utilisez beaucoup de remèdes naturels comme des herbes ou des traitements homéopathiques, il est toujours prudent de consulter un professionnel de la santé – même s’ils sont naturels, ces remèdes peuvent avoir un impact sur la prise d’autres médicaments, que ce soit ceux sous ordonnance ou en vente libre.

5. Utilisez un cadenas. Même si cela peut paraître extrême, les autorités en santé rappellent que des dizaines de milliers d’enfants sont traités chaque année dans les urgences pour des surdoses accidentelles. Celles-ci surviennent la plupart du temps à la maison, en raison d’une pharmacie qui n’a pas été assez bien protégée. Il faut également penser aux adolescents. Malheureusement, ceux-ci sont plus susceptibles d’abuser des médicaments auxquels ils ont accès directement.

6. Prévoyez le coup. Assurez-vous d’avoir en main des articles vous permettant de faire face à (presque) toutes les éventualités, comme des pansements et de l’onguent antibiotique, des antihistaminiques, de la solution d’hydratation (de type Pedialyte), des médicaments contre la douleur et la fièvre, un thermomètre ainsi que de l’alcool à friction ou du peroxyde.

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De jeunes piétons happés à cause de leurs appareils mobiles

Une nouvelle étude, rapportée par nlm.nih.gov, révèle que beaucoup de jeunes piétons se font frapper en raison de moments de distraction causés par leurs appareils mobiles.

Ces derniers sont de plus en plus populaires, et presque tout le monde en possède maintenant un, ou parfois plus. iPod, téléphones intelligents, consoles de jeu portables, voilà autant de technologies qui peuvent être à l’origine d’un accident malheureux, souligne l’étude.

Les chercheurs pointent aussi du doigt les parents, indiquant qu’une mauvaise supervision des plus jeunes est également à l’origine de nombreux cas de collisions.

Ils vont même jusqu’à suggérer aux médecins et pédiatres de prendre le temps de rappeler l’importance de la sécurité piétonnière lors des examens de routine.

La pédiatre Nina Glass explique : « En médecine pédiatrique, la prévention est très importante à plusieurs niveaux, que ce soit pour parler d’écran solaire, de vaccins ou de sécurité. Au même titre, prévenir parents et enfants contre les dangers d’utiliser des appareils mobiles en pleine rue est tout aussi important ».

Entre 2008 et 2011, les chercheurs ont établi que près d’un adolescent (13 à 17 ans) sur cinq, admis à la suite d’une collision routière, était distrait par un appareil mobile. Le même phénomène est observé dans 10 % des mêmes cas chez les adultes.