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Comment aider ses enfants à développer leur estime de soi

Ne pas trop en mettre : Il faut bien sûr féliciter les enfants lorsqu’ils font un bon coup, mais trop les complimenter est néfaste pour eux. Ça peut les empêcher de repousser leurs limites, de s’améliorer ou de faire plus d’efforts, ou encore leur donner la fausse impression qu’ils sont parfaits.

Les laisser prendre des risques : Même si ce n’est pas facile, il faut parfois que les parents choisissent de ne pas intervenir quand les enfants prennent certains risques, tant que ceux-ci ne sont pas vraiment dangereux. Les enfants doivent échouer de temps de temps; ça fait partie de la vie.

Les laisser faire des choix : Il est sain de laisser ses enfants faire des choix, adaptés selon leur âge. Ça leur donne un sens de la responsabilité et ça les fait se sentir grands.

Leur donner des tâches dans la maison : Encore une fois selon leur âge, leur donner de petites tâches à faire. Même juste de mettre la table ou de ramasser leurs vêtements leur permet de montrer leurs compétences et de réaliser que leur participation est importante.

Les encourager à continuer : Même s’ils éprouvent des difficultés, c’est en réussissant à terminer une activité ou à trouver une solution à un problème qu’ils obtiendront la plus grande satisfaction et la plus grande fierté envers eux-mêmes.

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Le sommeil des petits lève-tôt

Le manque de sommeil chronique est très toxique pour les enfants et est relié à plusieurs problèmes de santé comme le diabète, les troubles d’humeur et le trouble de déficit d’attention.

Même si le fait de se lever tôt peut être un signe qu’un enfant est vraiment fatigué, ce n’est pas toujours le cas. Environ 10 à 15 % des enfants sont naturellement des lève-tôt. Pour ceux-ci, il s’agit tout simplement d’un rythme naturel, comme ça l’est pour certains adultes.
 
Certains enfants ont aussi simplement moins besoin de sommeil que les autres. Dans ce cas, c’est souvent plus difficile pour les parents, qui n’ont pas beaucoup de répit ou de temps pour eux.
 
Un bon signe que votre enfant obtient assez de sommeil : il se lève à la même heure tous les matins, et ce, depuis qu’il est bébé.
 
Par contre, les enfants qui souffrent de fatigue extrême s’endorment souvent tard, et le fait qu’ils se lèvent tôt apparaît de façon soudaine.
 
Il est aussi utile d’observer l’humeur de l’enfant durant la journée. Les enfants qui dorment assez sont généralement plus joyeux et de tempérament plus égal, tandis que les autres peuvent être irritables et sembler n’être pas tout à fait éveillés.
 
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Cinq alternatives aux bonbons pour l’Halloween

Voici quelques idées si vous cherchez des solutions de rechange qui plairont tout de même aux petits! Liste compilée par le magazine Canadian Family.

1. Des tatouages temporaires : Les enfants les adorent, presque autant qu’ils aiment les bonbons! De plus, ils ne sont vraiment pas chers, ils sont faciles à appliquer, faciles à enlever, et ils ne provoqueront aucune carie.

2. Des autocollants : Peut-être plus populaires auprès des petits enfants que des grands, les autocollants, surtout s’ils sont très attrayants visuellement, sont une valeur sûre.

3. Des bracelets phosphorescents : Non seulement les enfants trouveront qu’ils sont super cools, mais la plupart s’en serviront probablement immédiatement, afin d’être plus visibles dans les rues pendant leur tournée. Ceux-ci durent jusqu’à 4 heures.

4. Des bulles : Un petit contenant de liquide qui fait des bulles sera certainement remarqué et apprécié dans le sac d’Halloween.

5. De petits cahiers de notes : Ils sont pratiques, en plus de plaire aux enfants. Ils aimeront y faire des dessins ou y écrire tous leurs petits secrets.

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Comment enlever la suce à votre enfant

Pour le pédiatre Harvey Karp, il est préférable d’avoir une attitude détendue face à la situation, puisque téter procure aux enfants un « merveilleux sentiment de réconfort et de calme », selon Today’s Parent.

Selon lui, sucer son pouce risque beaucoup plus de provoquer des problèmes d’orthodontie, mais il reste qu’un jour ou l’autre, il faudra encourager l’enfant à se débarrasser de cette béquille.

Commencer lentement : Au lieu de couper la suce d’un coup, on peut le faire graduellement, en commençant pendant la journée, et en terminant par le dodo. On peut aussi limiter l’usage de la suce seulement lorsque l’enfant est vraiment stressé ou qu’il a de la peine.

Être positif : Le Dr Karp affirme que le meilleur moyen d’encourager et de faire des compliments à un jeune enfant est de le faire indirectement. On peut par exemple dire à quelqu’un d’autre, en s’assurant que l’enfant entend : « Il est vraiment bon, il n’a presque plus besoin de sa suce! »

Planifier le grand jour : On peut préparer l’enfant à une journée où la suce sera abandonnée pour de bon, par exemple un anniversaire ou une occasion spéciale. On peut aussi lui donner un cadeau en échange de sa suce.

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Comment aider les enfants d’alcooliques

Les enfants d’alcooliques sont notamment 4 fois plus susceptibles de devenir à leur tour alcooliques ou toxicomanes que les autres. Voici quelques pistes pour les épauler dans cette épreuve, selon PsychCentral.

Trouver de l’aide pour le parent alcoolique : Lorsque c’est possible, c’est la meilleure chose qui puisse arriver, pour lui comme pour sa famille.

Trouver de l’aide pour l’enfant : Il existe des groupes de soutien ou des thérapeutes et psychologues qui peuvent les assister et leur faire sentir qu’ils ne sont pas seuls.

Expliquer la maladie : Les enfants doivent savoir que l’alcoolisme est une maladie, causée par une combinaison de facteurs génétiques, environnementaux, émotifs, etc., et que ce n’est pas leur faute.

Démontrer de la compassion : Peu importe la manière dont ils réagissent face au problème, les enfants savent que ce qu’ils vivent n’est pas juste, et ils ont besoin de compassion et de respect.

Privilégier la routine : La prédictibilité de certains rituels, comme le souper en famille à la même heure, peut leur apporter une certaine stabilité.

Cultiver la résilience : Il est possible pour ces enfants d’en arriver à mener une vie normale, s’ils apprennent à communiquer, à mettre l’accent sur le positif, à se distancer de la dynamique familiale dysfonctionnelle et à trouver du soutien auprès d’adultes sains.

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Quand et comment aider nos enfants qui ne réussissent pas à l’école

Identifier les problèmes : Il peut y avoir des causes très diverses, d’un trouble d’apprentissage non diagnostiqué à un manque de connaissances, à un besoin d’apprendre à étudier et à s’organiser.

Reconnaître des causes externes : Parfois, le problème n’est pas scolaire, mais vient d’ailleurs. Y a-t-il eu de l’intimidation, une maladie, l’arrivée d’un nouveau frère ou d’une sœur, un déménagement, une séparation, etc.?

Parler à l’enseignante : Celle-ci pourra sûrement vous donner beaucoup d’information sur le comportement de votre enfant à l’école, ou encore pourra vous diriger vers des ressources appropriées. C’est toujours mieux de former une équipe pour le bien de votre enfant.

Participer : C’est bien connu, les enfants dont les parents participent activement à leur éducation réussissent beaucoup mieux à l’école.

Engager un professeur : Un apprentissage directement axé sur votre enfant peut faire une différence énorme dans sa progression et lui inculquer des connaissances et des stratégies qu’il ne pourrait tout simplement pas apprendre dans une classe de 20 à 30 enfants.

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Aider ses enfants à vaincre leurs peurs

Les écouter : Ça peut sembler paradoxal, mais il est primordial d’écouter nos émotions par rapport aux peurs. Il ne faut pas montrer aux enfants que toute peur est négative, parce qu’une certaine dose de peur (face à un animal inconnu, par exemple) est nécessaire dans la vie. Il faut plutôt les aider à maîtriser ces émotions.

Montrer comment trouver l’équilibre : Ce n’est pas facile, mais l’idéal est d’enseigner à l’enfant que c’est bon d’exprimer ses peurs plutôt que de les cacher, mais sans non plus réagir de façon trop intense.

Ne pas les ridiculiser : Il est parfois tentant de rire un peu de ces peurs, qui nous paraissent tellement inoffensives. Cependant, c’est une stratégie à éviter à tout prix, car en plus d’avoir peur, l’enfant n’osera plus en parler.

Être patient : Ça peut être long pour un tout-petit de réussir à affronter ses peurs. Il est mieux de faire de petits pas à la fois.

Faire du renforcement positif : Encourager chaque petit progrès et montrer notre fierté devant leurs efforts.

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Conseils pour un Halloween sécuritaire et en santé

Servir un bon repas avant : On essaie de compenser un peu la surdose de bonbons avec des aliments nutritifs!

Vérifier les costumes : Les enfants se blessent souvent à l’Halloween parce qu’ils marchent sur leur costume. On vérifie donc que ceux-ci ne sont pas trop longs, et on fait de petites retouches si nécessaires (les épingles à couches sont très utiles, ou on peut carrément couper le tissu avec des ciseaux).

Privilégier le maquillage : Il est souvent beaucoup plus difficile pour les enfants de bien voir avec un masque.

Regarder la météo : S’il fait très froid, il faut penser à ajouter des couches de vêtements sous le costume.

Penser à la visibilité : S’il fait vraiment noir, il est prudent d’avoir une lampe de poche ou encore des vêtements réfléchissants.

Ne pas oublier les dents : Les enfants auront probablement besoin d’un bon gros brossage le soir même, ainsi que dans les jours qui suivent!

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Provoquer l’accouchement ou pas?

En 1990, 9,5 % des accouchements étaient provoqués, tandis qu’une étude récente affirme qu’aujourd’hui, ce taux pourrait aller jusqu’à 44 %. Le phénomène est devenu si commun qu’il est banalisé, mais il fait se rappeler qu’il est quand même associé à certains risques.

Seulement 5 % des bébés arrivent lors de leur date prévue d’accouchement, alors il faut plutôt voir la chose comme une « période prévue d’accouchement », qui peut se situer entre la 37e et la 42e semaine.

C’est pourquoi les autorités en santé recommandent qu’à moins d’une condition médicale, un accouchement ne devrait pas être provoqué avant 39 semaines, et que jusqu’à 42 semaines, il est probablement mieux de laisser faire la nature, selon Babble.

De bonnes raisons pour provoquer :

– À l’approche de la 42e semaine, le bébé pourrait devenir trop gros, et le placenta pourrait ne plus être efficace.
– Les eaux sont crevées, mais il n’y a pas de progression de l’accouchement.
– Le bébé arrête de grossir.
– Il n’y a plus assez de liquide amniotique.
– La mère développe une prééclampsie.

Les risques :

– Un accouchement provoqué risque beaucoup plus de se terminer en césarienne d’urgence.
– Il y a un risque accru d’infection pour la mère et le bébé.
– Le bébé risque plus de manquer d’oxygène et de se trouver en détresse respiratoire.
– Il y a un plus grand risque d’hémorragie.
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Conseils pour les parents militaires

Ce n’est pas toujours facile de conjuguer la vie de famille et l’armée, particulièrement pendant les déploiements. Voici quelques conseils pour vous aider à y parvenir, adaptés de ParentingSquad.

Créer une chaîne de soutien : Demander l’aide des gens autour de vous.

Passer du temps en tête-à-tête avec chaque enfant : Ceci permet d’avoir de bons souvenirs durables pendant les longues absences.

Parler à vos enfants avant de partir : À partir d’un certain âge, ceux-ci peuvent comprendre où vous allez, ce que vous allez faire, et ce qu’il doivent faire pour aider la famille durant ce temps.

Parler avec votre conjoint(e) :Il est toujours bon de s’assurer d’être au diapason par rapport aux attentes, à la discipline et à la structure.

Garder le contact : Échanger avec les enfants le plus souvent possible, que ce soit par téléphone ou vidéoconférence, par courriel ou même par lettre.

Encourager vos enfants à s’ouvrir : Les enfants se sentiront mieux s’ils peuvent parler de leurs émotions et de leurs inquiétudes. Ils doivent sentir que c’est normal pour eux d’avoir peur et d’avoir des sentiments conflictuels par rapport au déploiement.