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À quoi s’attendre après une césarienne

Avoir des relations sexuelles : Il n’y a pas de date fixe, et c’est correct de prendre son temps. Il vaut mieux que la plaie soit guérie, qu’il n’y ait plus de saignements, et que maman en ait envie!

Prendre un bain : Avant de prendre un bain, il faut attendre que la cicatrice soit fermée et propre, et qu’elle ne suppure pas.

Porter bébé : Il vaut mieux de pas porter bébé debout, ni vos enfants plus vieux, ni même des choses lourdes, pendant environ trois mois. Ceci évitera de tirer sur la cicatrice en forçant.

Faire du sport : Les médecins s’entendent habituellement pour dire aux mamans d’attendre 6 semaines après l’accouchement. Commencez en douceur, par exemple avec la natation ou la marche. Évitez au départ les exercices qui sollicitent les abdominaux.

S’épiler le bikini : Il serait avisé d’attendre deux mois, pour que la cicatrice soit complètement sèche et moins sensible.

Retomber enceinte : Un an d’écart entre la césarienne et une nouvelle grossesse est recommandé, pour permettre à l’utérus de bien cicatriser, et augmenter les chances d’un accouchement naturel pour la prochaine fois!

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Des activités à l’intérieur pour stimuler la créativité des enfants

Jouer à l’architecte : Demandez à votre enfant d’imaginer son module de jeu de rêve. Quel élément y retrouverait-on? Ensuite, asseyez-vous ensemble pour le dessiner, puis faites une maquette en utilisant ce que vous avez sous la main : des blocs, du carton, des pailles, des rouleaux de papier de toilette ou d’essuie-tout vides, etc.

Inventer un superhéros : Faites imaginer à votre enfant les pouvoirs, la personnalité, l’histoire et le costume de son superhéros, puis réalisez ce costume avec de vieux draps, des bouts de ficelle ou de tissu, du papier de soie, etc.

Créer une petite bande dessinée : Faites un court scénario ensemble, puis laissez-le faire ses propres cases, chacune correspondant à une image. Trouvez un nom pour la bande dessinée, ainsi que pour chacun des personnages.

Organiser des élections : Les enfants sont trop jeunes pour se mêler de politique, mais pourquoi ne pas leur apprendre les rudiments de la démocratie? Choisissez une question simple, du genre la crème glacée ou le gâteau, puis laissez vos enfants faire une campagne, trouver des arguments et faire des pancartes. Passez au vote.

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Les parents ne devraient pas parler de leurs propres expériences avec la drogue

Le journal Human Communication Research a interrogé 561 jeunes de 11 à 14 ans sur les conversations qu’ils avaient eues avec leurs parents à propos des substances illicites comme l’alcool, les cigarettes et les drogues.

Les chercheurs souhaitaient surtout noter quels types de messages véhiculés par les parents étaient associés à une plus grande attitude antidrogue chez les jeunes.

Les chercheurs s’attendaient à ce que les jeunes soient moins portés à prendre de la drogue si les parents leur avaient parlé de leurs propres expériences avec celles-ci et de leurs regrets. En fait, les enfants à qui les parents avaient confié leurs expériences négatives n’avaient pas une attitude antidrogue très marquée.

Selon les chercheurs, la meilleure attitude que les parents peuvent adopter pour susciter une forte réponse antidrogue chez leurs jeunes adolescents est de leur donner un message très clair, mais sans mentionner leur propre expérience.

Par exemple, les parents peuvent expliquer les conséquences négatives reliées à la consommation de drogue, les manières d’éviter ces substances, en plus d’affirmer qu’ils n’approuvent pas leur utilisation et de rappeler les consignes de la famille à cet effet.

Il peut également être utile de raconter des histoires de drogue qui ont mal tourné, mais qui concernent d’autres personnes, selon Science Daily.

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Les causes de la fausse couche

Même si elle est la plupart du temps dramatique, la fausse couche n’est malheureusement pas rare.

Le Dr Stéphane Brouan, gynécologue-obstétricien, explique que dans 75 % des cas survenant avant 15 semaines de grossesse, les fausses couches sont dues à une anomalie des chromosomes. L’embryon a un chromosome de plus ou de moins, ce qui fait qu’il n’est pas viable.

Les malformations de l’utérus peuvent également causer une fausse couche, en empêchant l’embryon de bien s’accrocher à ses parois. Cela peut être dû à des fibromes, à des cicatrices, etc.

La troisième cause de fausse couche est immunologique : rarement, les anticorps de la mère peuvent considérer l’embryon comme un intrus et le rejeter.

Après 15 semaines, les causes sont différentes. Le cœur du bébé peut s’arrêter de battre, ou encore une infection peut provoquer l’expulsion du bébé avant terme. Il peut également y avoir un problème avec le col de l’utérus, qui ne parvient pas à retenir le bébé passé un certain stade et un certain poids.

Il n’y a pas de raison de s’inquiéter après une ou même deux fausses couches. Toutefois, si vous en avez vécu trois, vous devriez consulter pour examiner les causes.

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Des idées pour célébrer le passage de la fée des dents

Un certificat : Vous pouvez faire ou imprimer un petit certificat maison relatant le nom de votre enfant, son âge, la dent et la date. Laissez-le ensuite à côté de son lit. Votre enfant adorera se réveiller et trouver cette « preuve » que la fée est bien passée!

Une petite boîte : Vous pourriez faire un bricolage avec votre enfant, pour lui permettre de bien conserver ses dents, dans une boîte d’allumettes par exemple. Laissez-le décorer la boîte avec du carton, des crayons, des autocollants, des brillants, de la feutrine, etc. Cela fera un très beau souvenir lorsqu’il sera plus grand.

Une mini-lettre : Comme tout le monde sait que la fée des dents est minuscule, elle pourrait avoir écrit une toute petite lettre (de la taille d’un timbre!) pour féliciter votre enfant. Placez celle-ci sous son oreiller.

Un reçu : La fée pourrait aussi avoir laissé un reçu indiquant le montant qu’elle a versé en échange de la fameuse dent. Attention à la constance dans ce cas toutefois, parce les enfants auront une preuve de ce qu’ils ont reçu auparavant!

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Comment préparer un plan de naissance

Parenting Squad donne des trucs pour y arriver.

Faire ses devoirs : Renseignez-vous d’abord sur le sujet, sur les procédures qui peuvent se produire et pourquoi, sur le langage qui sera utilisé par le personnel.

Décider de ce que l’on veut : Essayez de décrire le but que vous tenterez d’atteindre. Voulez-vous éviter un accouchement provoqué? Désirez-vous une péridurale, ou encore désirez-vous l’éviter? Aimeriez-vous accoucher dans l’eau?

Faire ça court : Un plan de naissance ne devrait pas avoir plus d’une page. Dans le feu de l’action, le personnel n’aura pas le temps de lire une dissertation…

Penser aux principaux aspects : Voici les points importants habituellement adressés dans un plan de naissance : les procédures de provocation, les procédures et médicaments contre la douleur, la surveillance fœtale électronique, la césarienne, et l’après accouchement (l’allaitement, le contact peau à peau, etc.)

Se préparer à l’inattendu : Même avec les meilleures intentions du monde et avec un personnel très ouvert et dédié, un accouchement ne se passe pas toujours comme prévu. Soyez prêtes à laisser tomber votre plan si c’est le cas.

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Identifier les problèmes de perception visuelle chez les enfants

Parenting Squad a demandé à l’ergothérapeute Anne Zachry de parler de cette condition.

La perception visuelle, c’est la capacité de bien interpréter ce que les yeux voient. Les problèmes surviennent lorsqu’il y a une mauvaise communication entre les yeux et le cerveau.

Cela peut rendre des tâches comme la lecture et l’écriture difficiles, et peut interférer avec l’apprentissage.

Des signes permettant de déterminer des problèmes de perception visuelle :

  • L’enfant a de la difficulté avec des concepts « spatiaux », par exemple les mots « par-dessus » ou « en dessous ».
  • L’enfant ne veut ou n’arrive pas faire des casse-têtes ou des jeux de construction, par exemple des blocs.
  • L’enfant a de la difficulté à apprendre les formes.
  • L’enfant a de la difficulté à se rappeler des images visuelles ou des détails.
  • L’enfant confond les lettres, les chiffres, ou les symboles.

Des activités pour aider ces enfants :

  • Éteignez toutes les lumières et faites-lui trouver des choses dans la pièce noire à l’aide d’une lampe de poche.
  • Jouer au volleyball avec l’aide d’un ballon gonflé (comme pour les fêtes).
  • Demandez à l’enfant de copier des formes faites en blocs.
  • Achetez-lui des cahiers qui comprennent des activités comme les labyrinthes, relier les points, ou des mots cachés.
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Le premier rhume de bébé

Comment déboucher son nez : Il faut utiliser un mouche bébé, ainsi que de la solution saline plusieurs fois par jour.

La nourriture et/ou le lait : On ne doit pas forcer bébé à manger ou à boire s’il résiste, parce qu’il risquerait de tout vomir. Il faut simplement s’assurer qu’il ne se déshydrate pas, et offrir le sein ou un biberon comme à l’habitude. Bébé voudra peut-être boire plus souvent, mais seulement un peu à la fois.

La fièvre : La fièvre est très rare chez les bébés de moins de 3 mois, et elle est habituellement sérieuse. Pour un bébé plus vieux, on peut donner de l’acétaminophène pour soulager l’inconfort. Mais il faut se rappeler que la fièvre n’est pas inquiétante, et elle passera en quelques jours dans la plupart des cas.

L’environnement : On ne doit pas trop chauffer la pièce, ni trop habiller bébé, mais plutôt utiliser une couverture. Un humidificateur peut l’aider à mieux respirer, ainsi qu’un bain dans lequel on a ajouté quelques gouttes d’essence de lavande ou d’eucalyptus. On peut également surélever la tête du lit temporairement, pour que bébé soit plus incliné que couché.

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Comment stopper le phénomène de l’intimidation

Les deux besoins émotifs les plus fondamentaux chez les enfants sont le sens de l’appartenance, et le sens de la signification.

L’appartenance, c’est le fait de se sentir comme faisant partie d’un groupe, que ce soit une famille, une classe ou une communauté.

La signification, c’est le fait de se sentir comme un membre à part entière de ce groupe, quelqu’un en mesure d’y participer, d’indépendant, qui est en contrôle.

Favoriser ces deux besoins n’est pas nécessairement compliqué. Cela commence par accorder aux enfants une dose suffisante d’attention positive, ainsi que de former avec eux un lien émotionnel, entres autres en se plongeant dans leur propre monde.

Une fois que cela est maîtrisé, les adultes peuvent commencer à travailler avec eux sur l’empathie, le respect, les stratégies d’adaptation, ainsi que sur la résolution de problèmes.

Il s’agit d’une « formation sociale » que les parents et les intervenants doivent appliquer eux-mêmes, et apprendre de façon délibérée.

Les enfants doivent également savoir que certains comportements, comme le fait de s’en prendre à un autre enfant, les taquineries excessives, le manque de respect, le harcèlement et l’humiliation sont absolument inacceptables.

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Les médecins devraient-ils tester les enfants pour l’influenza?

Cet hiver, l’influenza, qu’on appelle communément « la grippe », est plus virulente que par les années passées.

Qu’est-ce que cela signifie pour les médecins? Qu’ils doivent être extrêmement vigilants, avance la Dr. Feemster.

On devrait suspecter l’influenza chez tout enfant qui présente des symptômes reliés à cette infection. Il existe d’autres virus qui causent des symptômes similaires et qui sont en circulation à l’heure actuelle, mais s’il y a une grande prévalence de l’influenza comme en ce moment, il s’agit probablement de ce virus.

Est-ce que les médecins devraient faire un test diagnostic pour confirmer la maladie? La Dre Feemster croit que c’est uniquement nécessaire dans certains contextes particuliers. Par exemple, pour un patient pédiatrique déjà hospitalisé qui présente des symptômes respiratoires sévères.

Pour la plupart des patients, un diagnostic clinique basé sur les symptômes est suffisant.

Le traitement indiqué est l’oseltamivir, commercialisé sous le nom Tamiflu. Celui-ci peut être administré à partir de l’âge de 2 semaines. Ce médicament est plus efficace lorsque le traitement est initié dans les 48 heures suivant l’apparition des symptômes, mais dans un contexte hospitalier, le traitement peut commencer à n’importe quel moment.