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Différencier la bonne de la mauvaise nourriture en conserve

Sur le site telegraph.co.uk, l’expert nutritionniste et auteur Ian Marber explique qu’en plus des aliments frais, certains produits en conserve peuvent collaborer à une saine alimentation.

Cela signifie que vous pouvez avoir un repas sain, faible en gras et riche en protéines et en fibres tout en mélangeant produits frais et en conserve.

En plus d’être souvent assez économique et rapide à préparer, vous obtiendrez plus facilement vos deux à cinq portions de fruits et légumes quotidiennes recommandées, même en saison hivernale.

Carottes, petits pois, maïs, macédoines, ratatouille cuite; il ne faut que bien lire les étiquettes pour vous assurer que vous obtiendrez les éléments nutritifs appropriés sans consommer ceux que vous ne voulez pas.

Marber conseille de n’acheter que ceux qui sont dans l’eau et non pas dans l’huile ou les marinades. Choisissez donc les aliments non salés, non sucrés et sans huile.

Certains produits afficheront du sucre dans la liste des ingrédients, mais selon le nutritionniste, la plupart ne présenteraient qu’un infime pourcentage, et il ne faudrait donc pas s’en inquiéter.

Sachant que les ingrédients sont inscrits sur les étiquettes par ordre de quantité présente dans le produit, si le sucre ou le sel est inscrit sur la première ligne, il serait préférable de choisir une autre sorte.

Donc, en incorporant des produits en conserve à vos aliments frais, vous jouirez d’un repas tout à fait équilibré.

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Les conserves nuisent à la fertilité masculine

Une nouvelle étude pointe du doigt le bisphénol A (BPA) contenu notamment dans les conserves. Alors que certains pays comme le Canada ont interdit son utilisation dans les biberons et sucettes pour enfants, on constate que ce produit chimique serait aussi nocif pour l’homme.

 

Les résultats d’une nouvelle recherche, publiés dans la revue Reproductive Toxicology,démontrent que le BPA affecterait la fertilité masculine.

Le BPA est couramment utilisé pour fabriquer le plastique; on en retrouve dans les étuis à CD, les couteaux et fourchettes en plastiques, mais également les conserves et canettes de boissons.

Les hommes ayant un taux élevé de BPA dans le corps seraient plus susceptibles de voir leurs spermatozoïdes être plus faibles. L’étude révèle que le sperme des hommes ayant beaucoup de BPA dans le corps est moins concentré de 23 %, et que les dommages de l’ADN du sperme sont augmentés de 10 %.

Chez la femme, nous savons que le BPA limite l’hormone sexuelle, soit l’œstrogène, et qu’il serait lié au cancer du sein, aux dommages au foie, à l’obésité, au diabète et au problème d’infertilité également.

Une étude plus approfondie est nécessaire, car pour l’instant les autorités affirment qu’il n’y a pas assez de preuves pour dire que le BPA est nocif pour la santé humaine.