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La France veut un étiquetage plus clair de ses produits alimentaires

Une campagne de sensibilisation absolument pertinente en matière d’étiquetage des produits alimentaires s’entame en France, rapporte Top Santé, alors que des groupes cherchent à forcer les autorités à mieux renseigner les consommateurs.

Une idée dans l’air du temps qui fera sans doute réfléchir des consommateurs de partout dans le monde, en cette époque de paranoïa alimentaire et de désinformation.

La campagne s’entame par le lancement d’une pétition mise sur pied par la Société française de santé publique, qui reçoit l’appui de la CLCV et du CISS, des regroupements de consommateurs et de patients.

On demande la création d’un « système d’information sur la qualité nutritionnelle simple et compréhensible sur la face avant des emballages des aliments », à l’aide d’un code de couleurs facile à saisir et à voir du premier coup d’œil.

Alors que les autorités de la santé de partout dans le monde luttent contre la hausse de l’obésité et du diabète, et alors que le dossier des OGM et des aliments usinés prend de l’ampleur, il semble impératif de protéger le consommateur des dangers potentiels de certains produits et de lui fournir des indications quant à la qualité de ceux-ci.

Voyez la vidéo explicative proposée par la Société française de santé publique.

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Un rapport laisse présager des lacunes dans le système de rappel des aliments

Un rapport somme toute inquiétant, bien qu’il ne faille pas s’alarmer outre mesure, concerne le système de rappel des aliments au Canada, rapporte Radio-Canada.

Déposé par le vérificateur général du Canada, M. Michael Ferguson, le rapport stipule que plusieurs façons de faire « créent de la confusion » au sein des membres du personnel appelé à effectuer ces rappels, et que le phénomène mène à des retards et à des risques inutiles.

Bien que les méthodes utilisées jusqu’ici aient permis de limiter massivement les problèmes de santé qui auraient pu découler de la consommation de certains aliments, Ferguson croit que les choses peuvent s’améliorer.

« L’Agence canadienne d’inspection des aliments gère bien la plupart des aspects des rappels. Toutefois, tant sur le plan du suivi post-rappel auprès de l’industrie qu’à celui des grands rappels d’urgence, les faiblesses que nous avons relevées soulignent des lacunes importantes dans le système de rappel des aliments. Quoique les cas de maladies aient été contenus dans les rappels que nous avons examinés, je ne suis pas certain que le système donnera toujours des résultats comparables », écrit le vérificateur général, avec une pointe d’inquiétude.

C’est donc surtout lors du processus post-retrait que les choses se compliqueraient, les autorités ayant du mal à confirmer la destruction des aliments fautifs, ainsi que les méthodes utilisées pour éviter la répétition des problèmes dans l’avenir.

Ne reste plus qu’à voir ce que ces observations et recommandations permettront de faire dans l’amélioration du système de rappel des aliments au Canada.

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Les consommateurs peu influencés par la publication des apports caloriques

Des chercheurs de l’Université Carnegie Mellon constatent que les nouvelles mesures concernant la publication et l’affichage des apports caloriques appliquées un peu partout dans le monde n’ont que peu d’impact sur le comportement des consommateurs.

Publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par Santé Log, l’étude démontre que l’affichage des calories comprises dans les menus de restaurants, par exemple de fast-food, n’incite pas vraiment les clients à faire des choix plus éclairés en matière de nutrition.

Pour vérifier cette théorie, l’équipe de Carnegie Mellon a analysé les réactions et comportements de plus de 1000 sujets clients dans deux franchises McDonald’s de la région de New York.

Après avoir séparé les sujets en trois groupes et informé ces consommateurs des calories retrouvées dans les repas de la célèbre franchise, des apports caloriques recommandés ou encore en ne disant rien du tout, les chercheurs constatent avec stupéfaction que les trois groupes agissent de la même façon.

Il semble que les gens font ce qu’ils veulent, malgré les dangers et les recommandations! Cependant, les chercheurs impliqués croient que toute cette sensibilisation entourant la malbouffe amène les restaurateurs à créer de meilleurs repas, ce qui s’avère une excellente chose.

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Petit ou moyen contenant? Ces étiquettes qui nous influencent

Le fait de prendre un petit, un moyen ou encore un grand format de votre repas favori influence-t-il votre façon de le manger? Serez-vous plus tenté de laisser quelques bouchées dans l’assiette en commandant le grand format?

C’est en tout cas la réaction humaine moyenne que rapportent des chercheurs de l’Université Cornell, après avoir effectué une étude révélatrice sur le sujet, explique le Daily Mail (UK).

Menée par les Drs Wansink et Just, la recherche avait pour but d’évaluer les habitudes et réflexes alimentaires des sujets, selon le type de format qui leur était présenté. Les conclusions de ce test ne semblent pas avoir été bien difficiles à définir…

Les sujets ont, en moyenne, mangé le double de la portion si celle-ci était qualifiée de « petite », et ce, même si elle semblait franchement démesurée à l’œil nu.

Par contre, ceux qui ont reçu l’exacte même quantité de nourriture dans un format qualifié de « large » ont laissé quelques bouchées.

L’étude, quoique légère et sympathique, en dit long sur notre façon de réagir aux étiquettes et aux informations qu’on nous donne, ce qui n’est guère une bonne chose dans la chasse aux kilos.

Les chercheurs croient qu’il serait préférable de songer à un système de quantification qui laisse moins place à l’interprétation du consommateur et à moins de confusion de la part du commerçant.

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Des étiquettes de crème solaire désuètes sèment l’inquiétude

On apprend par l’entremise de Radio-Canada que plusieurs spécialistes se disent inquiets pour la santé publique à l’approche de l’été.

Cette inquiétude estivale provient du fait que la plupart des étiquettes retrouvées sur les différentes crèmes solaires seraient en fait désuètes ou incomplètes.

Contrairement à la FDA américaine, qui a fait passer une nouvelle loi sur le sujet en 2012, le Canada tarde à agir dans le dossier. Pourtant, les rayons du soleil deviennent de plus en plus hostiles, et on comprend de plus beaucoup mieux les réels dangers de ceux-ci.

Par exemple, l’exposition aux rayons UVA et UVB sont des notions relativement modernes pour le public, des données qui ne sont pas toujours inscrites sur les emballages de crèmes solaires.

On souhaite donc, à commencer par le dermatologiste canadien Jim Walker, que les étiquettes soient plus près de la vérité le plus rapidement possible. En ce moment et à l’approche de l’été, les consommateurs canadiens ne seraient pas informés du degré de protection contre les rayons UVA, que l’on dit plus dangereux que les UVB, lors de l’achat d’un produit.

Santé Canada devra donc agir rapidement, croient plusieurs spécialistes qui abondent dans le même sens que Walker.

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De meilleures étiquettes pour de meilleurs choix santé

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude voulant que la population bénéficie grandement de meilleures étiquettes sur les produits qu’elle achète et consomme.

L’étude, effectuée par la FDA, croit que les consommateurs pourraient faire de meilleurs choix et ainsi être plus proactifs en ce qui concerne leur santé s’ils étaient mieux informés.

Ainsi, on suggère un système uniforme d’étiquetage, dans lequel on retrouverait les fameux tableaux nutritifs présentés sous forme plus détaillée et claire.

On éviterait ainsi aux gens la tâche de devoir multiplier et faire des calculs pour bien comprendre combien de calories ils consommeront, et quel sera l’apport alimentaire de leurs portions. On veut aussi s’assurer que les ingrédients soient tous inscrits.

« Je crois que les gens ont un véritable problème à bien interpréter les étiquettes et à bien comprendre de quoi il retourne. C’est presque comme s’il y avait une surcharge d’informations, en plus de ne pas être toujours très claires », commente le Dr Eric Matheson, chercheur en nutrition de l’Université de Caroline du Sud.

On pourrait donc assister à une révolution en la matière dans les prochains mois et les prochaines années.

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Certaines compagnies offrant la chirurgie au laser contre la myopie sont blâmées

La FDA américaine (Food and Drug Administration) vient d’émettre des blâmes à l’endroit de certaines compagnies qui proposent le service de chirurgie corrective des yeux par le laser, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est que selon l’association américaine, plusieurs marchands ne dévoilent pas tous les détails concernant cette opération, à commencer par certains facteurs de risque.

Au box des accusés notamment, certains praticiens offrant le service LASIK, qui gagne de plus en plus en popularité en Amérique du Nord.

« Les publicités proposées par beaucoup de professionnels qui pratiquent la chirurgie corrective des yeux par le laser donnent l’information nécessaire aux patients afin qu’ils fassent un choix éclairé. Par contre, ceux qui ne respectent pas les règles et qui ne présentent pas les risques tels qu’ils sont vont découvrir aujourd’hui que la FDA est très sérieuse à leur endroit et concernant la protection du consommateur », lance Steve Silverman, l’un des directeurs de la FDA.

Les compagnies et centres de santé ou d’ophtalmologie qui ne respectent pas les règles seront soumis à de sérieuses amendes et pourraient même voir leur matériel être saisi.

Des lettres ont déjà été envoyées à certains commerces fautifs.

 
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Les consommateurs ne tiennent pas compte des étiquettes

Une étude britannique publiée par le Daily Mail démontre que les gens connaissent bien la différence entre les aliments sains et malsains, mais choisissent ce qu’ils aiment, peu importe que ce soit moins bon pour leur santé.
 
La plupart des consommateurs ne consultent pas les informations nutritionnelles des étiquettes alimentaires.
 
Alors que les gouvernements demandent à ce qu’il y ait des informations plus claires concernant les gras, le sel et les calories, les gens n’en tiennent pas compte. Ils consomment ce qu’ils aiment.
 
Le manque de motivation est le principal facteur qui fait obstacle aux choix plus santé.
 
Les gens sont capables d’identifier clairement les aliments sains et ceux qui le sont moins avec un minimum d’informations, mais ils ne choisissent pas en fonction de ces éléments.

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Plus de problèmes mentaux avec du cannabis

Une étude de l’Office central néerlandais des statistiques (CBS) rapporte que les fumeurs de cannabis ont deux fois plus de problèmes mentaux que ceux qui n’en fument pas.
 
Parmi les problèmes dont les consommateurs se plaignent le plus, on parle de nervosité, de mélancolie, de tristesse et d’impatience.
 
« Le pourcentage de personnes ayant une moins bonne santé mentale est deux fois plus élevé chez les consommateurs de cannabis que chez les non-consommateurs », mentionne l’Office dans son communiqué.
 
L’étude effectuée sur 18 500 personnes s’est déroulée entre 2007 et 2009. Chez les hommes consommateurs de cannabis, 20 % avaient des troubles mentaux contre 10 % chez les non-consommateurs. Chez les femmes, la proportion était sensiblement la même avec 28 % qui avaient des problèmes de santé mentale contre seulement 14 % chez celles qui ne fumaient pas de cannabis.
 
L’étude a aussi révélé que les hommes fument plus (6 %) de cannabis que les femmes (2 %).