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Les Québécois consomment beaucoup d’alcool

Il semblerait que nous soyons de bons fêtards dans la province. L’Institut de la statistique du Québec a publié une étude dévoilant que les Québécois sont de grands consommateurs d’alcool.
 
En fait, entre 2000 et 2010, la consommation excessive d’alcool a grimpé de 3 %, passant à 18 % chez les personnes de plus de 12 ans.
 
Par consommation excessive, on mentionne cinq verres d’alcool ou plus dans une même occasion, douze fois par année.
 
Comme consommateur régulier, on parle d’une consommation d’alcool une fois par mois. 76 % des hommes et 62 % des femmes sont des buveurs réguliers.
 
Ce sont toutefois les 18 à 24 ans qui sont les plus grands consommateurs d’alcool, et la consommation excessive tend à diminuer avec l’âge.
 
C’est dans la région de Québec que l’on retrouve le plus de buveurs d’alcool, soit 77 %, et le Saguenay-Lac-Saint-Jean suit avec 75 %.
 
L’alcool demeure le 5e facteur de décès et d’invalidité dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé.
 
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Le QI relié à l’usage des drogues

Selon une recherche ayant porté sur 8000 participants, on pourrait faire un lien entre l’usage des drogues et le quotient intellectuel. Il semble qu’un fort QI durant l’enfance entre en corrélation avec une plus grande vulnérabilité aux drogues illégales plus tard dans la vie.

Cette étude longitudinale met aussi en lumière que les femmes seraient encore plus touchées par ce phénomène, ajoute-t-on sur Medical News Today.

Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont évalué le quotient intellectuel des sujets lorsqu’ils avaient de 5 à 10 ans. Par la suite, des renseignements portant sur la consommation de drogue et la détresse psychologique ont été recueillis à 16 ans, puis à 30 ans.

Les drogues dont il est question ici incluent le cannabis, la cocaïne, le LSD, l’héroïne, les tranquillisants et les méthamphétamines.

Il s’est avéré que les hommes qui avaient un QI élevé à l’âge de 5 ans avaient été 50 % plus enclins à consommer certaines drogues à 30 ans. Chez les femmes, celles qui avaient un QI élevé au même âge se sont retrouvées deux fois plus vulnérables quant à la consommation de cocaïne et de cannabis.

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L’effet du sel chez les enfants

On lit sur i-diététique.pro que la teneur en sel influencerait la consommation des enfants. Il semble que le sel contenu dans les aliments ait un effet déclencheur des plus inquiétants.

Des chercheurs ont observé près de 75 enfants, lesquels ont suivi un menu alimentaire fixe basé sur 15 jours durant plusieurs semaines. Il en est ressorti que la teneur en sel des plats servis aux enfants influençait l’appétit de ces derniers.

En quelques mots, on a remarqué que la suppression du sel engendrait une diminution de la quantité de légumes verts ingérés (ici, des haricots). À l’inverse, une plus forte teneur en sel avait entraîné de plus grosses portions de pâtes chez les enfants.

On suggère donc, à la lumière de ces résultats, que les entreprises alimentaires révisent la constitution de leurs plats préparés, en réduisant leur teneur en sel.

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Vivre seul augmente les risques d’alcoolisme

Une étude finlandaise mentionne que les personnes qui vivent seules ont plus de chances de consommer beaucoup d’alcool, et même de mourir d’une maladie ou d’un accident lié à l’alcool.
 
En étudiant les cas de 18 200 personnes dont le décès était lié à l’alcool, on constate que les deux tiers vivaient seuls. Les causes des décès pouvaient être une intoxication alcoolique du foie, une maladie, un accident ou à la suite d’une violence où l’alcool était impliqué.
 
Entre 2000 et 2003, les hommes seuls avaient 3,7 % plus de risques de mourir d’une maladie du foie, comparativement à ceux en couple ou mariés. Entre 2004 et 2007, ce risque a grimpé à cinq fois. Même chez les femmes, il y a un risque accru si elles vivent seules, mais il est moins important que chez les hommes.
 
Selon l’étude rapportée dans le PLoS Medicine, le manque de relations sociales devrait être considéré comme un facteur de risque potentiel pour les décès reliés à l’alcool.
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Une trop grande consommation de boissons sucrées

Une étude des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies révèle qu’un Américain sur deux boit au moins une boisson gazeuse ou une autre boisson sucrée tous les jours.
 
Une personne sur vingt consomme l’équivalent de quatre canettes de boisson gazeuse quotidiennement. Ce représente une quantité importante favorisant l’obésité et le diabète de type 2.
 
Les boissons sucrées sont pointées du doigt depuis un moment déjà. De nombreuses écoles n’en font plus la vente dans leur établissement, mais il semblerait qu’il reste encore énormément de travail à faire pour changer les habitudes alimentaires malsaines des consommateurs.
 
Avec le taux d’obésité qui ne cesse de grimper, on tente par tous les moyens d’influencer les gens à adopter de meilleures habitudes. Diminuer la consommation de boissons gazeuses ou sucrées en fait partie.
 
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Les repas familiaux harmonieux incitent à manger plus

Une étude parue dans le Journal of Nutrition Education and Behavior a étonné de nombreux chercheurs.
 
Les résultats de leur recherche démontrent que les jeunes mangent plus lors de repas en famille harmonieux entre tous les membres. Pourtant, on croyait que le stress engendré par les disputent incitait à consommer plus de nourriture, mais c’est plutôt l’effet inverse.
 
L’étude a suivi 1 500 enfants. Apparemment, lorsqu’il y a des conflits au repas, les jeunes sont portés à manger et quitter la table rapidement.
 
Pour 16,5 % des familles, les repas étaient déplaisants et pour 21 % des mères, le souper était le moment le plus stressant de la journée.
 
Le manque de temps est la grande problématique. Avec les deux parents qui travaillent, cela laisse peu de temps à la détente, donc les conflits sont plus nombreux.
 
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Le travail peut conduire à l’alcoolisme

Une étude néo-zélandaise, parue dans le journal Addiction, mentionne que les jeunes adultes qui travaillent de longues heures sont plus susceptibles d’avoir des problèmes d’alcool. 

Après avoir suivi 1 000 personnes âgées de 25 à 30 ans, la Dre Sheree Gibbs et son équipe de l’Université d’Otago, en Nouvelle-Zélande, affirment que les jeunes adultes qui travaillent plus de 50 heures par semaine sont plus nombreux à avoir des problèmes d’alcoolisme que les personnes qui ne travaillent pas.
 
Ce phénomène pourrait notamment s’expliquer par la difficulté à gérer le stress relié au travail, mais aussi par le fait que les contacts sociaux sont plus nombreux lorsque l’on travaille. Ainsi, les occasions de sortir et de prendre un verre sont du même coup plus fréquentes.
 
On croit que les campagnes de sensibilisation démontrant les effets néfastes de l’alcool devraient également cibler les jeunes travailleurs.
 
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Trop de sel pour les bébés

Le taux de sodium contenu dans les aliments inquiète de plus en plus. Des chercheurs se sont penchés sur celui que l’on retrouve dans l’alimentation de bébé. Selon Medicalnews, leurs résultats sont plutôt surprenants.

En effet, selon une étude de l’University of Bristol publiée dans l’European Journal of Clinical Nutrition, 70 % des bébés âgés de 8 mois seulement présentent une consommation en sel plus élevée que la quantité recommandée. Près de 1 200 bébés ont fait partie de cette recherche.

De plus, ces taux élevés de sodium ne concernent pas que les aliments eux-mêmes; le lait est aussi passé sous la loupe. Il semble que le lait de vache contienne plus de sel que le lait maternel ou maternisé, et de nombreux bébés en boivent avant l’âge d’un an.
 
Une alimentation à forte concentration en sel a des répercussions importantes. En plus de donner une envie d’aliments salés aux enfants en bas âge et à les encourager à prendre de mauvaises habitudes alimentaires, elle peut atteindre le développement de leurs reins.
 
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Influence mère-fille ou fille-mère?

Non seulement une mère serait encline à reproduire les mimiques de sa fille, elle aurait aussi tendance à imiter son comportement en ce qui a trait à la consommation. Cette influence serait beaucoup plus marquée de fille à mère que l’inverse.

Ainsi, une fille aurait beaucoup de poids quant aux achats de sa mère, que ce soit pour des vêtements, du maquillage ou d’autres produits à usage personnel.

Ce sont ici les résultats d’une recherche effectuée par la Temple University Fox School of Business. Publiés dans le Journal of Consumer Behavior, ils ont été le fruit de questionnaires donnés à 343 paires mère-fille.

Parallèlement, plus une jeune fille s’intéresse à la mode et plus son âge cognitif est élevé, moins elle aura tendance à considérer sa mère comme un modèle de consommation.

Selon les chercheurs, on offre ici une nouvelle avancée quant à la notion de socialisation inversée. On soutient encore une fois que les enfants et les adolescents ont un impact beaucoup plus grand qu’on le croit sur leurs parents.

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L’alcool pendant la grossesse serait bénéfique pour l’enfant

Il s’agit, selon reporternews.com, d’une première étude menée par des chercheurs australiens, puis d’une seconde recherche publiée dans le journal de l’Académie américaine de psychiatrie pour enfants et adolescents.

Les spécialistes australiens ont fourni les renseignements à la suite de l’étude de cas de 2 300 enfants âgés de 2 à 14 ans dont la mère buvait modérément pendant la grossesse (2 à 6 consommations par semaine). Il semble que ces enfants étaient plus équilibrés émotionnellement que ceux nés d’une mère qui s’était abstenue de tout alcool pendant la grossesse.
 
La seconde étude a été menée auprès de 11 500 enfants nés de mères qui consommaient légèrement pendant leur grossesse, soit de 1 à 2 consommations par semaine. Ces enfants ont obtenu des scores plus élevés aux tests cognitifs soumis.
 
La publication de ces données offense plusieurs corps médicaux. « On dirait plutôt une étude psychologique, et non une étude médicale », rapporte Edward Holt, obstétricien à Abilene. Un pédiatre du même institut, Justin Smith, se range du même côté, comme plusieurs autres collègues.
 
« Il n’y a aucune étude définitive et concluante à propos de la consommation d’alcool chez les femmes enceintes. Celle-ci ne fait pas exception », affirme Smith. « Le mot d’ordre demeurera le même, c’est-à-dire de conseiller l’abstinence de consommation, plutôt que de risquer la santé de la patiente et de l’enfant », poursuit le pédiatre.