Le QI relié à l’usage des drogues
Selon une recherche ayant porté sur 8000 participants, on pourrait faire un lien entre l’usage des drogues et le quotient intellectuel. Il semble qu’un fort QI durant l’enfance entre en corrélation avec une plus grande vulnérabilité aux drogues illégales plus tard dans la vie.
Cette étude longitudinale met aussi en lumière que les femmes seraient encore plus touchées par ce phénomène, ajoute-t-on sur Medical News Today.
Pour tirer ces conclusions, les chercheurs ont évalué le quotient intellectuel des sujets lorsqu’ils avaient de 5 à 10 ans. Par la suite, des renseignements portant sur la consommation de drogue et la détresse psychologique ont été recueillis à 16 ans, puis à 30 ans.
Les drogues dont il est question ici incluent le cannabis, la cocaïne, le LSD, l’héroïne, les tranquillisants et les méthamphétamines.
Il s’est avéré que les hommes qui avaient un QI élevé à l’âge de 5 ans avaient été 50 % plus enclins à consommer certaines drogues à 30 ans. Chez les femmes, celles qui avaient un QI élevé au même âge se sont retrouvées deux fois plus vulnérables quant à la consommation de cocaïne et de cannabis.
L’effet du sel chez les enfants
On lit sur i-diététique.pro que la teneur en sel influencerait la consommation des enfants. Il semble que le sel contenu dans les aliments ait un effet déclencheur des plus inquiétants.
Des chercheurs ont observé près de 75 enfants, lesquels ont suivi un menu alimentaire fixe basé sur 15 jours durant plusieurs semaines. Il en est ressorti que la teneur en sel des plats servis aux enfants influençait l’appétit de ces derniers.
En quelques mots, on a remarqué que la suppression du sel engendrait une diminution de la quantité de légumes verts ingérés (ici, des haricots). À l’inverse, une plus forte teneur en sel avait entraîné de plus grosses portions de pâtes chez les enfants.
On suggère donc, à la lumière de ces résultats, que les entreprises alimentaires révisent la constitution de leurs plats préparés, en réduisant leur teneur en sel.
Une étude néo-zélandaise, parue dans le journal Addiction, mentionne que les jeunes adultes qui travaillent de longues heures sont plus susceptibles d’avoir des problèmes d’alcool.
Trop de sel pour les bébés
Le taux de sodium contenu dans les aliments inquiète de plus en plus. Des chercheurs se sont penchés sur celui que l’on retrouve dans l’alimentation de bébé. Selon Medicalnews, leurs résultats sont plutôt surprenants.
En effet, selon une étude de l’University of Bristol publiée dans l’European Journal of Clinical Nutrition, 70 % des bébés âgés de 8 mois seulement présentent une consommation en sel plus élevée que la quantité recommandée. Près de 1 200 bébés ont fait partie de cette recherche.
Influence mère-fille ou fille-mère?
Non seulement une mère serait encline à reproduire les mimiques de sa fille, elle aurait aussi tendance à imiter son comportement en ce qui a trait à la consommation. Cette influence serait beaucoup plus marquée de fille à mère que l’inverse.
Ainsi, une fille aurait beaucoup de poids quant aux achats de sa mère, que ce soit pour des vêtements, du maquillage ou d’autres produits à usage personnel.
Ce sont ici les résultats d’une recherche effectuée par la Temple University Fox School of Business. Publiés dans le Journal of Consumer Behavior, ils ont été le fruit de questionnaires donnés à 343 paires mère-fille.
Parallèlement, plus une jeune fille s’intéresse à la mode et plus son âge cognitif est élevé, moins elle aura tendance à considérer sa mère comme un modèle de consommation.
Selon les chercheurs, on offre ici une nouvelle avancée quant à la notion de socialisation inversée. On soutient encore une fois que les enfants et les adolescents ont un impact beaucoup plus grand qu’on le croit sur leurs parents.
Il s’agit, selon reporternews.com, d’une première étude menée par des chercheurs australiens, puis d’une seconde recherche publiée dans le journal de l’Académie américaine de psychiatrie pour enfants et adolescents.