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Le poisson diminue les risques cardiaques

Manger du poisson grillé ou cuit au four est très bénéfique pour le cœur. La revue Circulation rapporte qu’une consommation de poisson cinq fois par semaine réduit les risques de maladies cardiovasculaires de 30 %.
 
Attention toutefois avec le poisson frit, car même une fois par semaine, celui-ci augmente les risques de troubles cardiaques de 48 %.
 
L’étude menée à l’École de médecine Feinberg de l’Université Northwestern de Chicago a suivi 84 493 femmes ménopausées pendant 10 ans.
 
On a découvert que le saumon, le maquereau et le tassergal étaient les poissons les plus recommandés. En fait, les poissons à chair foncée contiennent plus d’oméga-3 et autres nutriments qui sont reconnus pour leurs bienfaits sur la santé cardiaque.
 
Il a également été démontré par le passé que les oméga-3 des poissons réduisaient l’inflammation et la tension artérielle.
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D’autres risques liés au TDAH

Une récente étude du Massachusetts General Hospital parue dans le Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry démontre un lien entre le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) et les problèmes de consommation.

On a suivi des patients dès l’âge de 11 ans, ces derniers vivant tous avec le TDAH. On a remarqué que 10 ans plus tard, leur trouble était un indicateur important d’une future dépendance, à la cigarette, aux drogues ou à l’alcool.
 
En comparaison à ces 268 enfants ayant le TDAH, on a suivi un groupe témoin formé de 229 enfants. Tous les participants avaient sensiblement le même âge au début de la recherche, soit 10,9 ans en moyenne dans le premier groupe et 11,9 ans en moyenne dans le second.

Selon les chercheurs, les enfants atteints du TDAH étaient trois fois plus enclins à développer une dépendance. En ciblant certains facteurs, ils en sont tout de même arrivés à un risque plus élevé de 1,5 fois chez ceux qui avaient un trouble du déficit de l’attention.

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Le bar cinq fois par semaine pourrait être bon pour vous

Une recherche démontre que visiter un bar cinq fois par semaine pourrait avoir des bienfaits pour la santé, mais il faut se limiter à un verre d’alcool par contre.
 
Selon le Daily Mail, le secret est de boire régulièrement de l’alcool, mais avec modération. Cela serait plus avantageux que de boire seulement de temps à autre ou pas du tout.
 
L’alcool demeure tout de même la principale cause de maladies du foie. Par contre, les chercheurs ont découvert que les personnes qui buvaient régulièrement, mais en petites quantités, avaient jusqu’à 60 % moins de risques de développer une maladie du foie que les autres.
 
Tout comme le vin rouge est bon pour le cœur, avec modération, ce serait la même chose pour le foie. Rappelez-vous donc qu’une consommation modérée d’alcool est la clé pour conserver une bonne santé.
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Le thé vert améliore la qualité de vie

Par le passé, on a démontré que la consommation de thé vert diminuait les risques de maladies dégénératives comme les maladies cardiovasculaires et l’ostéoporose.
 
Une nouvelle étude affirme que la consommation de thé vert combinée à la pratique régulière du tai-chi favorisait une bonne santé des os et réduisait l’inflammation pour les femmes ménopausées.
 
171 femmes en ménopause ont participé à cette recherche. Elles ont été divisées en quatre groupes. Un groupe recevait un placebo et un autre prenait des pilules de thé vert. Le troisième groupe recevait un placebo et pratiquait le tai-chi trois fois par semaine et le dernier groupe recevait le thé vert et pratiquait le tai-chi également.
 
Après avoir analysé des échantillons d’urine et de sang et mesuré la force musculaire des participantes, on constate qu’une consommation de 4 à 6 tasses de thé vert par jour, combinée à la pratique du tai-chi, améliore la santé osseuse en trois mois et la force musculaire en six mois. De plus, on note une amélioration de la santé émotionnelle et mentale des participantes.
 
Ces données ont été présentées lors du congrès Experimental Biology en avril.
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Un mode de vie sain réduit les risques de cancer du sein de moitié

Les experts affirment que la moitié des cas de cancer du sein pourraient être évités si les femmes adoptaient un mode de vie sain.
 
Ainsi, en réduisant leur consommation d’alcool, en se nourrissant bien et en faisant 30 minutes d’exercices par jour, elles auraient moins de risques de développer la maladie.
Cela ne protège pas à 100 % contre le cancer du sein, mais ce mode de vie réduit tout de même les chances d’être malade.
 
Il a été démontré que la consommation d’alcool favorise l’apparition du cancer du sein. Ainsi, on devrait limiter la consommation à un verre de boisson quotidiennement maximum.
 
Le World Cancer Research Fund recommande également de perdre du poids, sans toutefois tomber dans l’insuffisance pondérale. Ainsi, il est préférable d’éviter le gras, le sel et le sucre, de diminuer sa consommation de viandes rouges et transformées et d’opter plutôt pour les fruits, légumes et légumineuses notamment.
 
Ces nouvelles données, rapportées par le Telegraph, démontrent qu’il y a encore un long chemin à faire afin de promouvoir la prévention du cancer du sein par de saines habitudes auprès des femmes.
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La carence en iode des adolescentes serait causée par une faible consommation de lait

Le lait a de nombreux bienfaits pour la santé. Malheureusement, il a aussi mauvaise presse, car certains croient qu’il est lié à une prise de poids, alors qu’il n’en est rien.
 
Cette fausse croyance a eu comme impact de diminuer considérablement la consommation de lait, surtout chez les adolescentes qui souhaitent ressembler à leurs idoles sveltes. Ainsi, cela provoque des carences en iode chez les jeunes filles, selon ce que croient des chercheurs qui se sont penchés sur la question.
 
Dans les dix dernières années, la consommation annuelle de lait est passée de 96 litres à 82 litres par personne, rapporte le Daily Mail.
 
Pourtant, le lait n’est pas seulement pour les enfants. Il est riche en nutriments et vitamines et il apporte notamment le calcium qui renforce les os. Un verre de lait de 200 ml comporte environ 134 calories, ce qui est nettement moins qu’une barre de chocolat.
De plus, il existe une panoplie de laits enrichis, biologiques et même de soya pour ceux qui seraient intolérants au lactose. Il faut toutefois éviter de consommer le lait cru, car n’ayant pas été pasteurisé, il est plus susceptible de contenir des bactéries nuisibles pour la santé.
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Permettre aux jeunes de boire augmente leurs risques de problèmes d’alcool

Longtemps, on a cru que laisser les jeunes boire de petites quantités d’alcool à la maison était une façon efficace de démystifier l’alcool et d’encourager une consommation responsable. Cependant, une nouvelle étude dévoile que cela provoque surtout l’effet contraire.
 
Permettre aux jeunes de consommer de l’alcool envoie des signaux mixtes. Ainsi, ces jeunes sont susceptibles de consommer plus et de subir les conséquences de l’alcool, comme des évanouissements ou le désir de se bagarrer.
 
Selon le Journal of Studies on Alcohol and Drugs, il serait préférable de garder l’alcool inaccessible aux jeunes ou du moins d’établir des règles strictes et claires quant à la consommation de boissons alcoolisées.
 
L’étude a recueilli les données sur 1 900 jeunes de 12 et 13 ans suivis pendant deux ans. On constate qu’il y avait plus de problèmes d’alcool chez ceux qui avaient le droit de consommer sous la surveillance d’adultes.
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Effet inattendu de l’alcool sur la mémoire

Alors que l’on attribue habituellement la consommation d’alcool à une perte de mémoire, voici qu’une nouvelle étude, dirigée par le chercheur Hitoshi Morikawa de l’Université du Texas, affirme plutôt le contraire.
 
Selon le site slate.fr, la consommation d’alcool permettrait d’accroître la mémoire subconsciente, mais affecterait négativement la mémoire consciente.
 
« Notre inconscient apprend et se souvient également, et l’alcool peut en fait augmenter notre capacité à apprendre à ce niveau. Lorsque nous consommons de l’alcool (ou des drogues), notre “subconscient” apprend à consommer plus. Mais il ne s’arrête pas là. Nous devenons plus réceptifs à la formation de souvenirs et d’habitudes par rapport à la nourriture, la musique, les personnes et les situations sociales », explique M. Moritawa.
 
Donc, les alcooliques seraient plus accrocs à cet effet de l’alcool qu’à la notion de plaisir ressenti. « Les gens voient le plus souvent la dopamine comme un neurotransmetteur de plaisir, mais c’est plus précisément un neurotransmetteur d’apprentissage. Il renforce les synapses qui sont activées lorsque la dopamine est libérée », ajoute le chercheur.
 
Cette découverte pourrait donc ouvrir la voie à de nouvelles thérapies pour vaincre l’alcoolisme.
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Les buveuses de bière plus atteintes de psoriasis

Une étude américaine parue dans Archives of Dermatology nous apprend que la bière peut entraîner le développement du psoriasis chez les femmes.

Ayant porté sur 82 000 femmes âgées de 27 à 44 ans, elle a démontré que la consommation régulière de bière doublait les risques de psoriasis, alors que celle de la bière légère et d’autres sortes d’alcool n’avait pas cet effet.

On a statué à cinq bières par semaine la quantité pouvant augmenter les risques. Différents éléments entreraient en ligne de compte, mais l’orge est pointée du doigt. Cette céréale utilisée pour faire fermenter la bière contient du gluten.

Pour les femmes qui sont déjà à risque de maladie de peau, on recommande donc de boire de la bière de façon modérée.

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L’addiction à la caféine serait génétique

Faites-vous partie des gens qui ne peuvent pas passer une journée sans boire de café? Si oui, votre dépendance est peut-être génétique.
 
Des scientifiques ont découvert que les personnes qui possédaient deux versions de deux gènes spécifiques étaient plus susceptibles de désirer fortement la caféine.
 
De plus, ces personnes seraient capables de métaboliser ou décomposer le stimulant plus efficacement, ce qui les rendrait donc plus tolérantes.
 
Le Daily Mail rapporte que les chercheurs ont étudié les gènes CYPIA2 et AHR de 47 000 personnes, en plus de les soumettre à un questionnaire sur leur consommation de café, thé, soda et chocolat.
 
Le premier gène agit dans le métabolisme de la caféine et le deuxième, dans la façon dont le premier est réglementé. Les deux influencent ensemble la dégradation de la caféine dans le foie.
 
On a été surpris de constater que les deux gènes étaient liés à la caféine à travers 300 000 marqueurs génétiques. Ainsi, les personnes qui possèdent ces deux gènes ont tendance à boire plus de café, mais aussi à mieux tolérer les effets de la caféine.
Cette découverte pourrait ouvrir la voie à de nouvelles recherches sur les effets de la caféine sur l’anxiété et les troubles du sommeil, par exemple.