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Deux verres d’alcool pour rester mince

Les femmes d’âge moyen qui consomment deux verres d’alcool par jour prennent moins de poids que celles qui se tiennent loin de l’alcool.
 
Selon les Archives of Internal Medicine, une équipe de l’hôpital Brigham and Women’s de Boston a suivi un groupe de 19 220 femmes américaines pendant 13 ans. On a étudié leur consommation d’alcool durant tout ce temps.
 
Les femmes qui buvaient deux verres d’alcool quotidiennement avaient pris moins de poids que celles qui n’avaient rien consommé.
 
Les participantes avaient consommé de la bière, du vin blanc, du vin rouge et des spiritueux.
 
Par contre, les chercheurs ne recommandent pas l’alcool pour lutter contre le fléau de l’obésité, car sa consommation est aussi liée à des effets psychosociologiques.
 
Au cours de l’étude, il semble que ce soit le vin rouge qui était le plus efficace. Tout comme nous savions déjà que ce dernier avait des effets bénéfiques sur les maladies cardiaques.
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La consommation de marijuana liée aux maladies psychiques

Le lien entre la marijuana et les maladies psychiques se confirme de plus en plus.
 
Une nouvelle étude australienne, effectuée à l’Université du Queensland et publiée dans les Archives of General Psychiatry, confirme que la consommation à long terme du cannabis augmente les risques de psychoses, d’hallucinations, aussi bien auditives que visuelles, et de délires.
 
Sur les 3 800 jeunes interrogés pour l’étude, 14 % disaient consommer de la marijuana depuis au moins six ans.
 
Les chercheurs ont constaté que la consommation prolongée de ce type de drogue doublait les risques de psychoses comme la schizophrénie. Les risques d’hallucinations sont également doublés, alors que les personnes ont quatre fois plus de risques de vivre des délires avec le cannabis.
 
Par contre, il est encore impossible d’établir clairement si les maladies psychiques précèdent la consommation de marijuana ou si elles sont une conséquence de la consommation. Il a d’ailleurs été observé que les personnes ayant des symptômes de troubles psychotiques avaient plus tendance à consommer.
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Les Américains s’attaquent à la consommation de sel

On demande maintenant aux restaurateurs et aux compagnies d’aliments de la ville de diminuer la quantité de sel qu’ils ajoutent dans leurs plats.

On estime que 80 % du sel consommé par les Américains provient des aliments auxquels on en a ajouté avant de les commercialiser ou de les servir. Les consommateurs peuvent donc encore en ajouter, mais ils ne peuvent jamais en retirer.

Les autorités ont établi une liste de 61 catégories de produits sous emballage et 25 types de restaurants afin de les aider dans le processus de réduction de sel. On leur demande de réduire de 25 % la quantité de sel sur une période de cinq ans. Au bout du compte, cela permettra de diminuer la consommation de sel de la population de 20 %, ce qui évitera certains décès prématurés.

Les Américains consommeraient deux fois plus de sel que la quantité recommandée. Pourtant, sa surconsommation peut entraîner de l’hypertension artérielle, des risques de crise cardiaque et d’attaque cérébrale.

On souhaite que d’autres villes suivent l’exemple new-yorkais.

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Attention à une consommation précoce de l’alcool

Selon une étude québécoise (Alcool et santé), une consommation d’alcool à un âge précoce peut avoir des effets très néfastes sur le développement physique et psychologique des adolescents.

Selon les auteurs de l’étude, l’alcool à un jeune âge peut causer des dommages au cerveau et provoquer des difficultés dans la gestion des émotions et un dysfonctionnement physique.

Les adolescents sont souvent exposés à une consommation précoce d’alcool parce que leur habileté à réfléchir n’est pas entièrement développée, parce qu’ils sont attirés par des sensations fortes ou encore en raison de pressions sociales.

On recommande fortement aux adolescents de réfléchir et de retarder le plus possible l’âge de leur première consommation d’alcool. On demande également aux parents de surveiller la première consommation de leur enfant et de discuter ouvertement avec eux des dangers et des effets nocifs que peut avoir l’alcool sur leur vie.

La prévention demeure le meilleur moyen d’éviter le plus possible la surconsommation et les intoxications chez les adolescents.