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Il faut empêcher les commanditaires sportifs de promouvoir l’alcool

Une équipe de chercheurs des universités Monash et Manchester en Angleterre a analysé le lien entre les habitudes de consommation des sportifs et les commanditaires promouvant l’alcool.

Les données ont été récoltées à travers l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni, l’Irlande et l’Afrique du Sud. En tout, plus de 2000 personnes de niveau universitaire ont été interrogées.

Le tiers de ces athlètes ont admis être commandités par des industries reliées à l’alcool comme un bar ou une brasserie. Ceux qui étaient commandités par ces compagnies consommaient plus d’alcool, jusqu’à surconsommer et atteindre des niveaux considérés comme dangereux.

Si de façon générale les sportifs consommaient tous de l’alcool, la cote attribuée par le World Health Organization’s Alcohol Use Disorders Identification Test était plus élevée chez la moitié des athlètes commandités par l’industrie de l’alcool, en comparaison avec 39 % chez les autres.

Une cote élevée signifiait un besoin de suivi ou d’une brève thérapie. « Les commanditaires relatifs à l’alcool (et la culture de surconsommation que cela perpétue) apparaissent comme une raison évidente », indique le professeur Kerry O’Brien.

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L’alcool serait responsable d’une mort sur 10

Entre 2006 et 2010, on estime que 88 000 décès annuels ont été attribuables à un abus d’alcool. Comme l’indique Science World Report, trop d’alcool à long terme augmente les risques de cancer du sein ainsi que les maladies du foie et du cœur.

À court terme, ce sont les accidents de la route, l’empoisonnement et la violence qui sont les plus meurtriers.

Chez l’homme, boire avec excès représente plus de 5 consommations par semaine, alors que pour la femme, c’est plus de 4. Dans les sondages effectués, les « gros buveurs », chez les hommes, prenaient 15 consommations ou plus de façon hebdomadaire, l’équivalent étant de 8 pour les femmes.

Les spécialistes veulent « redoubler d’efforts pour implanter des stratégies de prévention », et ce, dans le but de réduire les coûts sur le système de santé.

Robert Brewer, médecin et responsable du programme de sensibilisation sur l’alcool aux CDC, a été « choqué » des résultats, puisque ces « adultes en âge de travailler » pourraient éviter bien des morts.

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La consommation de caféine a augmenté parmi les adolescents

Une étude effectuée par l’équipe de chercheurs de l’University of Buffalo School of Public Health and Health Professionals démontre que la caféine n’influence pas de la même façon filles et garçons.

Pour les filles, le rythme cardiaque et la pression sont altérés de façon plus importante, et en plus, ces réactions physiques sont différentes selon la phase du cycle menstruel, rapporte Science World Report.

Les spécialistes, lors de cette recherche, souhaitaient déterminer les différences des effets de la caféine sur les enfants, adolescents et adultes. Ils ont également ajouté le sexe des participants comme variable, afin de noter si celui-ci était avait un impact quelconque.

Il s’est avéré qu’il « existe une interaction entre le genre et la caféine, les garçons étant plus enclins à réagir à la caféine que les filles. Également, les réactions différaient à cause du genre après la puberté, mais pas avant », a indiqué Jennifer Temple, du département de l’exercice et de la science nutritionnelle.

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Les Canadiens « oublient » les deux tiers de leur consommation d’alcool

Les Canadiens « oublieraient » les deux tiers de leur consommation réelle d’alcool lorsque questionnés à ce sujet, selon une analyse rapportée par Radio-Canada.

Alors que l’énoncé est une porte ouverte aux blagues faciles, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un phénomène inquiétant pour le directeur de cette recherche, Tim Stockwell, du Centre de recherche en toxicomanie de l’Université de Victoria.

Selon Stockwell, les données analysées provenant de sondages sur la consommation d’alcool effectués auprès des Canadiens entre 2008 et 2012 ne collent pas avec les chiffres de ventes d’alcool obtenus au cours de cette même période.

Soit les répondants canadiens mentent volontairement lors de ces questions, soient ils s’avèrent nonchalant lorsque vient le temps de calculer leur consommation. Quoi qu’il en soit, l’étude démontre un phénomène de sous-estimation de la consommation générale d’alcool, particulièrement en ce qui concerne le vin, semble-t-il.

L’étude conclut également que les habitants des régions du nord du pays sont de plus grands consommateurs d’alcool, alors que ceux de l’est du Canada seraient plus raisonnables, en moyenne.

Les analyses du Centre de recherche en toxicomanie de l’Université sont proposées dans le magazine scientifique Addiction.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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La Californie veut des avertissements sur les boissons gazeuses

Les Californiens se dirigent vers une nouvelle façon de faire en matière de vente et d’étiquetage des boissons gazeuses, un peu à l’image de ce qui a été fait pour les paquets de cigarettes il y a quelques années.

MedicalNewsToday rapporte qu’une nouvelle étape a été franchie vers une réforme en la matière, alors que l’État de la Californie a approuvé une nouvelle législation concernant la vente de boissons gazeuses.

La législation rédigée et introduite par les sénateurs Bill Monning et Tem Darrell Steinberg propose des étiquettes spéciales afin de s’assurer que les citoyens de la Californie sont bien au fait des dangers liés à la consommation de boissons gazeuses, notamment l’obésité et le diabète.

« Les consommateurs ont le droit de savoir et de connaître les effets retour sur la santé d’une consommation fréquente de boissons gazeuses. La législation SB 1000 fait exactement ce que l’industrie estime devoir faire depuis longtemps, c’est-à-dire éduquer le public », lance non sans fierté M. Monning.

La Californie devient donc un État pionnier en la matière, et les étiquettes d’avertissement pourraient se retrouver sur les produits visés dans un avenir rapproché.

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Les boissons gazeuses diètes dangereuses pour la santé cardiaque des femmes?

La surconsommation de boissons gazeuses diètes serait possiblement dommageable pour la santé des femmes, selon une étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude américaine en provenance de l’Iowa estime que les femmes qui consomment de grandes quantités de ces boissons sont plus à risque que les autres de subir un infarctus ou de développer des troubles cardiovasculaires.

Cette nouvelle recherche, qui se base sur les données de plus de 60 000 dossiers de patientes en post-ménopause, contribue donc à détruire le mythe que les boissons gazeuses diètes sont « sans danger » pour la santé.

« Ce n’est pas la première étude à démontrer un lien entre la consommation de soda diète et le risque d’attaque et de maladies cardiaques. Ce ne devrait plus être une surprise désormais », déclare la professeure Susie Swithers, qui analyse les résultats sans prendre part à l’étude.

Les conclusions complètes de l’étude seront présentées lors du prochain congrès de l’American College of Cardiology, du côté de Washington.

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Alcool et marijuana : une consommation transmise de génération en génération

Une nouvelle étude sur les risques intergénérationnels en matière de dépendance aux drogues et à l’alcool estime que la consommation est une habitude qui peut être transmises aux générations suivantes, rapporte Top Santé.

Tout comme les bonnes habitudes et les bons exemples, les mauvais sont aussi calqués par les enfants, et il semble que ce soit particulièrement vrai dans le cas de l’alcool et des drogues douces comme le cannabis.

L’étude américaine sondait près de 2000 parents et leurs enfants, demandant à ces derniers de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes quant à l’alcool et au cannabis.

Le résultat est clair pour les chercheurs de la Sam Houston State University, Dre Kelly Chevalier en tête, et démontre que les risques sont nettement plus élevés pour les enfants de parents consommateurs et adeptes de ces drogues douces d’en faire eux-mêmes l’expérience sur une base régulière dans le futur.

On parle d’un risque cinq fois plus grand en matière d’alcool et deux fois plus grand concernant la marijuana, comparativement aux enfants de parents qui n’en consomment pas.

« Cette étude est unique et rare. Elle prédit l’usage de la substance sur plusieurs générations. Cette relation identifiée entre les générations peut fournir des informations importantes sur l’impact du comportement des parents dans l’adolescence et l’âge adulte de l’enfant », mentionne Dre Chevalier.

Les chercheurs croient donc qu’il est important pour les parents de revoir leurs habitudes à l’arrivée des enfants, ou de s’assurer de s’adonner aux vices des drogues douces et de l’alcool dans le plus grand secret, si absolument nécessaire.

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Des épices et herbes pour abaisser la consommation de sel

Une nouvelle étude vante les mérites des épices et des herbes pour contrer le phénomène de surconsommation de sel, un véritable fléau de l’ère moderne en alimentation, rapporte MedicalNewsToday.

L’étude en provenance de San Diego s’est intéressée aux substituts possibles du sel dans notre alimentation et a demandé à un groupe d’adultes de se prêter au jeu, en tentant d’incorporer des épices et herbes à leurs repas.

55 participants ont d’abord dû suivre un régime à faible teneur en sodium sur une période de quatre semaines. Le groupe a ensuite été scindé en deux, une moitié devant tenter de conserver une faible consommation de sel par sa seule volonté, et le deuxième par des herbes et épices.

Le deuxième groupe est parvenu à abaisser sa moyenne de consommation de sel quotidienne de près de 1000 milligrammes, un résultat non négligeable.

« Les personnes du groupe ont appris des stratégies pour régler le problème, utiliser des herbes et épices, comment faire le suivi de leur diète, comment choisir les bons aliments en commande et comment rendre une faible consommation de sel permanente », explique Cheryl A.M. Anderson, auteure de l’étude et professeure associée à l’Université de San Diego.

L’étude démontre donc que des substituts moins néfastes pour la santé permettent de lutter contre la surconsommation de sel dans l’alimentation quotidienne.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Hypertension et présentés lors d’une réunion de l’American Heart Association.