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Surconsommation de sucre : Nouvelle posologie suggérée par l’OSM

La population en général mange trop de sucre, on le sait. Les études et analyses sur le sujet abondent depuis un bon moment déjà et pressent les consommateurs de réduire considérablement, et le plus rapidement possible, les apports en sucre de leur alimentation.

Oui, mais alors, quelle serait la « bonne quantité » de sucre à respecter? L’OSM propose de nouvelles suggestions en la matière, avec une posologie claire et précise.

Six morceaux de sucre par jour pour les adultes et trois morceaux de sucre par jour pour les enfants, voilà les doses maximales quotidiennes recommandées par l’OMS.

S’en tenir à cette posologie peut sembler plus facile à dire qu’à faire. Car si l’OMS est précise, les industries le sont beaucoup moins quand vient le temps d’afficher le nombre de « morceaux » de sucre que leurs produits contiennent.

L’OMS mentionne quelques exemples. Le ketchup comprend un morceau de sucre par cuillère à soupe, et une canette de boisson gazeuse en comprend sept.

On demande aux consommateurs de s’informer et d’être vigilants, car une majorité d’aliments retrouvés sur le marché contiennent beaucoup trop de sucre.

Boire de l’eau, éviter les produits transformés et usinés, et s’en tenir aux fruits et légumes demeure le type de comportement à adopter.

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Prévenir la consommation de cannabis des adolescents passe par la communication

Selon Top Santé, le premier pas consiste à être attentif, à l’écoute, plutôt que de tomber dans le harcèlement trop incisif. Le pédopsychiatre Olivier Revol a répondu à quelques questions que se posent les parents.

Si vous savez que les copains de votre ado consomment du cannabis, il ne faut pas juger, critiquer ou l’empêcher de les fréquenter. Vous devez plutôt instaurer un climat de confiance et lui donner vos conseils, sans trop le questionner. Laissez-le s’ouvrir plutôt que le forcer.

Il semble qu’il soit inutile de plaider la cause de la santé. Mieux vaut mettre l’accent sur l’information. Entre autres, les effets désagréables, notamment l’angoisse et le délire parfois associés à la marijuana. Appuyez-vous sur de vraies expériences, des faits… et insistez sur la dépendance.

Si vous le prenez la main dans le sac ou que l’école le fait à votre place, il est encore préférable d’insister sur le côté judiciaire que de lui faire la morale.

Prônez par l’exemple. Si vous fumez vous-même et qu’il vous pose des questions, évitez de mentir. Mieux vaut cesser avant qu’il ne vous questionne.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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Boisson énergisante : facteur de consommation de drogue, alcool et cigarette chez l’adolescent

Une étude publiée dans le Journal of Addiction Medicine et rapportée par Medical News Today affirme que le tiers des adolescents américains sont de fervents consommateurs des boissons énergisantes.

Selon la chercheuse Yvonne M. Terry-McElrath et ses collègues de l’Institute for Social Research à l’Université du Michigan, ces doses d’énergie instantanée sont consommées dans le même état d’esprit que pour la drogue, l’alcool ou la cigarette. Il y a les notions « de recherche de risque et de sensation ».

Les données analysées regroupent les informations de près de 22 000 étudiants du secondaire. Environ 30 % des répondants ont affirmé consommer des boissons énergisantes format régulier ou en shot. Les données rapportent également que ce sont les plus jeunes (secondaire 1) qui consomment le plus de ces boissons.

En plus, parmi les consommateurs de boissons énergisantes, on retrouvait de 2 à 3 fois plus d’adolescents utilisant d’autres substances (drogue, alcool, cigarette), comparativement aux étudiants qui ne prenaient pas ce type de boisson.

« Cette étude démontre clairement que la consommation de boissons énergisantes est très répandue chez les adolescents et qu’elle risque d’être reliée à d’autres dépendances », a écrit Terry-McElrath. 

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Cesser de boire complètement pourrait être moins bénéfique qu’une consommation modérée

Le Daily Mail (UK) fait état d’un phénomène baptisé le « Dry January », qui consiste à cesser complètement de boire lors du mois de janvier, afin de se libérer des « toxines » accumulées au cours du temps des fêtes.

Plusieurs personnes, et pas seulement en Angleterre, se lanceraient le défi chaque année depuis quelque temps, souvent avec succès. La manœuvre, qui peut sembler logique, ne serait pourtant pas la meilleure avenue, selon quelques spécialistes qui prônent plutôt une consommation d’alcool modérée tout au long de l’année.

« Plusieurs personnes ne réalisent pas que le fait de boire avec modération possède des bénéfices significatifs pour la santé, et que les buveurs modérés ont une plus grande espérance de vie que les non-buveurs », lance notamment le professeur Charles Bamforth, de l’Université de la Californie.

Bamforth sait bien que la consommation excessive d’alcool est très nocive pour la santé, mais croit que « la clé est de boire un peu, et souvent ».

Des propos un peu étonnants qui donnent envie de trinquer à sa santé, à condition de pouvoir s’arrêter après un verre ou deux.

On vante notamment les bienfaits de certaines bières et, bien entendu, du vin, qui possèdent plusieurs caractéristiques bienfaitrices pour la santé.

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Quand l’alcool affecte sérieusement les capacités cognitives chez les hommes

Si une consommation d’alcool par jour peut toujours passer, il semble que quatre soit le seuil critique à ne pas atteindre chez les hommes, notamment ceux ayant franchi le cap de la cinquantaine.

Top Santé rapporte en effet les conclusions d’une étude sur le sujet, qui dévoile des conséquences potentiellement catastrophiques pour les hommes consommant de trois à quatre verres d’alcool quotidiennement.

Même si la cinquantaine peut sembler un âge plus avancé pour les plus jeunes, il s’agit somme toute d’un palier assez jeune, surtout si l’on considère que c’est la première fois qu’une étude du genre s’attarde à cette portion de la population (les études précédentes visant surtout les 65 ans et plus).

« Notre étude est basée sur des personnes âgées en moyenne de 56 ans lors des premiers tests cognitifs, ce qui est relativement jeune par rapport aux études précédentes sur ce sujet. Elle suggère qu’une forte consommation d’alcool serait associée à un déclin cognitif plus rapide dans tous les domaines cognitifs étudiés », résume Séverine Sabia de l’University College, auteure de la recherche.

Les conséquences d’une trop forte consommation d’alcool quotidienne chez l’homme peuvent varier entre un déclin de la mémoire, de l’attention et du raisonnement.

Les résultats de l’étude sont publiés dans le magazine Neurology.

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Une consommation modérée d’alcool pourrait améliorer le système immunitaire

Les buveurs modérés auront une raison de plus de célébrer durant le temps des fêtes, alors qu’une nouvelle étude rapportée par le ScienceWorldReport fait état d’un possible lien entre la consommation d’alcool et une amélioration du système immunitaire.

On parle bien entendu d’une consommation d’alcool modérée, puisque la surconsommation mène à plusieurs problèmes de santé, et parfois même à la mort, à long terme.

Mais des habitudes contrôlées peuvent réellement mener à un meilleur système immunitaire, selon les chercheurs de l’équipe menée par Ilhem Messaoudi.

Messaoudi décrit l’expérience menée auprès de macaques possédant de multiples caractéristiques communes avec l’homme, et conclut qu’une consommation modérée d’alcool aide bel et bien le système immunitaire à lutter contre les virus et infections.

Autre fait surprenant, les singes impliqués dans la recherche ont démontré des habitudes de consommation volontaire variables, tout comme chez l’humain. Ceux qui ont choisi d’abuser de l’alcool se sont retrouvés en mauvaise santé, alors que ceux qui ont su se contrôler et apprécier la modération ont affiché un meilleur système immunitaire, meilleur encore que ceux qui ne buvaient pas du tout.

Ces conclusions vont de pair avec celles de plusieurs études précédentes, qui ont déjà démontré dans le passé que les buveurs modérés ou occasionnels affichaient de meilleurs bilans de santé, notamment au niveau cardiovasculaire, et seraient moins à risque de décès prématuré.

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James Bond : Le porte-parole idéal pour sensibiliser à la surconsommation d’alcool

Une cocasse étude menée par des médecins britanniques trace un sombre portrait de l’agent secret le plus connu de la planète, James Bond, en lien avec sa consommation effrénée d’alcool, selon Top Santé

Les statistiques relevées en analysant la consommation d’alcool de Bond dans les divers livres le mettant en vedette le qualifie haut la main comme porte-parole idéal pour n’importe quelle campagne de sensibilisation contre la surconsommation d’alcool!

Alors que l’OMS trace la ligne de la « consommation normale » à trois verres de vin maximum par jour, soit 210 grammes d’alcool par semaine, 007 en consommerait quant à lui pas moins de… 736 grammes.

« On ne voudrait pas que James Bond désactive une bombe nucléaire », lance Patrick Davies, de l’hôpital de Nottingham, à la blague, mais en rappelant que la surconsommation d’alcool mènerait à près de trois millions de décès par année, toujours selon l’OMS.

À quand une campagne de prévention mettant en vedette le célèbre personnage de Ian Flemming?

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Attention, recrudescence d’ecstasy chez les adolescents

« Ce n’est que la pointe de l’iceberg », affirme Steve Pasierb, président-directeur général de Drugfree.org. « On ne parle ici que des cas qui se sont retrouvés en salle d’urgence, et ça devrait sonner l’alarme. »

Comme l’indique webmd.com, plus de 10 000 jeunes en 6 ans ont été hospitalisés. D’ailleurs, la U.S. Substance Abuse and Mental Health Services Administration (SAMHSA) rapporte que dans la majorité des cas, la combinaison avec de l’alcool a été relevée.

L’ecstasy augmente la sensation d’euphorie et redonne de l’énergie, et ce, en raison d’une altération du fonctionnement chimique du cerveau. Mais en parallèle, les effets secondaires regroupent la déshydratation, l’augmentation marquée de la température corporelle et de la pression sanguine, et un rythme cardiaque rapide. Des symptômes qui peuvent mener à un arrêt cardiaque ou un dysfonctionnement rénal.

Si vous entendez parler de Molly, méfiez-vous d’autant plus. Il s’agit d’une nouvelle forme d’ecstasy, en poudre, qui peut facilement être recoupée avec d’autres ingrédients hallucinogènes, potentiellement mortels.

Les autorités sont plus alertes depuis le retour de décès en lien avec la surdose d’ecstasy, et demandent aux parents d’en faire de même.

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Un dirigeant de Cola-Cola croit qu’il est temps de changer les choses

Incroyable revirement de situation, ou subite crise de conscience, alors qu’un des grands dirigeants de l’une des compagnies productrices de boissons gazeuses les plus connues au monde sort de l’ombre et donne son opinion concernant les habitudes alimentaires de ses clients, et sur les changements qu’il souhaite voir se produire dans le futur.

Cet homme, c’est James Quincey, rapporte le Daily Mail (UK), président de Coca-Cola pour le territoire européen.

Quincey affirme en entrevue que « les choses doivent changer », concédant que les grands formats de boissons gazeuses devraient être relégués aux oubliettes, et que les gens doivent se conscientiser davantage aux portions astronomiques de sucre que contient ce genre de produit, dont le sien.

« Les gens ne réalisent pas toujours combien de sucre renferme une boisson gazeuse. Les grands formats doivent être réduits », lance James Quincey, avant d’ajouter dans un soudain regain de lucidité professionnelle que son produit n’est pas plus calorique qu’un « croissant ou un capucino ».

Ces déclarations de la part d’un dirigeant de Cola-Cola semblent aller de pair avec certains des efforts récents de l’entreprise pour lutter contre l’obésité, un geste perçu par plusieurs comme fort hypocrite.

Un « petit contenant » de boisson gazeuse comme le Coke vendu au cinéma contiendrait 23 cuillères à thé de sucre, alors qu’un « grand contenant » en comprenant 44.

De quoi donner des armes à Michael Bloomberg!