Catégories
Uncategorized

Les sushis pourraient augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires

Alors que les sushis ont pris d’assaut la planète entière et sont devenus en l’espace de quelques années une véritable tendance alimentaire, une nouvelle étude vient refroidir les ardeurs des fanatiques du mets japonais.

Selon MedicalNewsToday, qui rapporte l’étude américaine initialement publiée dans le Journal of Risk Research, des tests de mercure effectués sur quantité d’échantillons de sushis démontrent des taux beaucoup trop élevés de l’élément, mettant ainsi possiblement en danger la santé et la vie de nombreux Nord-Américains.

Les taux de mercure excèderaient tous les plafonds proposés par diverses organisations de la santé, par exemple la CDC et l’OMS, pavant ainsi la voie à de sérieux problèmes de santé cardiaque.

Ces résultats s’appliqueraient davantage aux sushis préparés avec du thon, qui contiendraient plus de mercure que les autres, comme ceux à base de saumon ou de crabe.

On suggère donc de minimiser sa consommation de sushis faits de thon, car non seulement sa surconsommation ferait grimper les risques de problèmes cardiovasculaires, mais mettrait également en danger plusieurs espèces en raison de la trop grande demande des consommateurs.

Catégories
Uncategorized

L’alcool est calorique, mais pourrait ne pas vous faire engraisser

L’alcool comporte, outre ses plaisirs évidents, une bonne dose de calories, confirment tous les spécialistes. Mais selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), l’alcool ne ferait pas systématiquement engraisser, ce qui a de quoi surprendre.

C’est en effet la conclusion à laquelle arrivent plusieurs chercheurs, à commencer par l’éminent et regretté Charles S. Lieber, de Harvard.

Ce dernier était tout sauf un allié de l’alcool, martelant les effets potentiellement dangereux de la surconsommation et établissant pour la première fois le lien direct entre celle-ci et des problèmes aux reins et au foie.

Or, il a également affirmé en 1991 que l’alcool n’avait pourtant pas d’effet direct sur la prise de poids, une théorie maintenant récupérée et démontrée de nouveau par certains de ses homologues.

C’est le cas de Tony Edwards, qui publie un livre dans lequel on retrouve ses observations en matière d’alcool. Après avoir suivi le cas de 9000 femmes au cours d’une période de 13 ans, il dépose ses conclusions qui démontrent de façon évidente que celles qui ont pris le plus de poids n’étaient pas les plus grosses buveuses, au contraire. En fait, les femmes ayant consommé le plus d’alcool étaient celles qui affichaient les tailles les plus minces, un résultat stupéfiant.

Bien entendu, tout cela ne demeure que des études isolées, et le phénomène reste à prouver, mais de plus en plus de spécialistes en arrivent au constat que l’alcool ne fait pas systématiquement engraisser, sans toutefois parvenir à l’expliquer clairement.

Catégories
Uncategorized

Refuser le dernier verre préviendrait certains ennuis de santé

Top Santé rapporte une nouvelle campagne de sensibilisation, lancée en France, qui s’attaque au « verre de trop », après qu’une recherche ait démontré que refuser une seule consommation supplémentaire pouvait grandement aider à prévenir certains problèmes de santé.

Juste à temps pour le temps des fêtes, cette campagne vise ce qu’on appelle communément la tranche des « 18-34 », c’est-à-dire les jeunes adultes qui ont l’habitude des nuits en boîte et des soirées bien arrosées.

« Déjà utilisée dans des campagnes de prévention contre l’alcool aux États-Unis ou en Australie, cette technique permet de renforcer la capacité de celui qui ose dire non à un verre supplémentaire sans aucune stigmatisation. S’il est communément admis que refuser un verre peut donner l’impression de gâcher le moment festif, les publicités de cette campagne de prévention s’emploient à montrer justement l’inverse. Dire non à l’alcool devient simple, possible sans passer pour un ringard », explique l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), instigatrice de cette campagne.

On souhaite ainsi sensibiliser aux bienfaits d’une consommation modérée non seulement sur la santé, mais aussi en matière de sécurité routière, dont le bilan s’alourdit souvent au cours du temps des fêtes.

Catégories
Uncategorized

La taxe sur les boissons sucrées peut réellement fonctionner, selon une étude

Le Telegraph (UK) rapporte une étude britannique qui conclut à l’efficacité probable d’une taxe sur les boissons gazeuses et sucrées, à tout le moins à long terme.

Ce sont des experts des universités Reading et Oxford qui se sont penchés sur le sujet, alors que de plus en plus d’autorités de la santé et politiques souhaitent voir augmenter le prix de la malbouffe et, en ce qui nous concerne ici, des boissons gazeuses ou trop sucrées.

Le groupe de spécialistes arrive à la conclusion, un peu en surprise, qu’une telle mesure serait effectivement efficace et qu’elle permettrait une réduction globale de la consommation de ces produits, et donc une baisse du poids moyen des individus.

« Notre travail suggère qu’une taxe sur les boissons sucrées aurait un meilleur impact en termes de réduction de l’obésité chez les jeunes adultes », confirme le Dr Oliver Mytton, qui participe à l’étude.

Plusieurs régions sont en train d’étudier une telle possibilité, notamment du côté de Mexico, San Francisco, New York et même ici, au Québec.

Catégories
Uncategorized

Ces régimes ruinés par l’alcool

Le DailyMail (UK) rapporte des statistiques intéressantes concernant les régimes et ceux qui les suivent, et les conséquences d’une consommation d’alcool simultanée.

Un sondage réalisé par la firme Forza révèle qu’une bonne proportion de ceux qui tentent de perdre du poids en se mettant au régime ruinent leurs efforts en sortant le soir et en consommant trop d’alcool.

C’est quatre individus sondés sur dix, et ayant répondu oui à la question « Suivez-vous un régime? », qui admettent continuer de boire de l’alcool.

Le problème, c’est qu’une virée dans une boîte de nuit peut se transposer en plus de 1000 calories, ce qui peut contrer les effets d’un régime en un rien de temps. Plus du quart des répondants consommerait d’ailleurs le quart de leurs calories en alcool chaque semaine, un problème souvent mésestimé par les gens qui désirent perdre du poids.

De plus, il existe une corrélation claire entre faire la fête et sombrer dans la nourriture grasse et calorique par la suite, ce qui rend la statistique alors complètement catastrophique. 

Ce sondage confirme donc la vision d’une majorité de chercheurs et de spécialistes, qui conseillent justement de d’abord couper dans l’alcool lorsqu’une personne entame un régime!

Catégories
Uncategorized

La consommation d’alcool serait influencée par le choix du verre

Santé Log rapporte des conclusions intéressantes en matière de consommation d’alcool, parues dans une étude que publie le magazine PLoS ONE.

Cette dernière parle des impacts de facteurs, qui semblent pourtant anodins, sur la quantité d’alcool consommée par un individu dans une situation donnée. Par exemple, il semble que le choix du verre soit une donnée très importante.

La largeur, la couleur et la position du verre ont un impact sur la quantité ingérée par un individu, comme le démontre cette étude menée sur un groupe de 73 étudiants.

On a proposé aux sujets, tous amateurs de vin, différents types de verres. Ils devaient ensuite y verser leur boisson préférée, tout simplement.

Les étudiants qui avaient reçu un verre plus large ont versé instinctivement 11,9 % plus de vin qu’à l’habitude, alors que ceux qui ont utilisé un verre de la même couleur que la boisson ont augmenté leur consommation de 9,2 %.

Outre le contenant, la façon de placer le verre au moment de verser le vin aurait aussi une incidence. Ainsi, c’est en gardant son verre à la main qu’on risque le plus de surconsommer, avec une moyenne de 12,2 % plus de vin versé dans cette position, contrairement à laisser son verre sur la table.

Des données intéressantes, qui peuvent aider les gens souhaitant faire baisser légèrement leur consommation d’alcool à y parvenir. 

Catégories
Uncategorized

Un spécialiste demande des campagnes plus agressives contre le sucre

« La drogue qui crée la plus forte dépendance et la plus dangereuse de notre temps », lance un spécialiste de la santé néerlandais.

Une réplique accrocheuse et spectaculaire, reprise par le Telegraph (UK), et qui lance un véritable avertissement aux autorités de la santé à travers le monde en matière… de sucre.

L’auteur de cette déclaration est Paul van der Velpen, dirigeant du service de la santé d’Amsterdam, une ville pourtant réputée pour son ouverture d’esprit.

Mais c’est justement sur ce clou que frappe van der Velpen, affirmant que si les autres drogues sont nocives, elles le sont de façon connue et affirmée, contrairement au sucre qui fait des ravages dans l’ombre.

« Tout comme l’alcool et le tabac, le sucre est en fait une drogue. Il y a un rôle important pour le gouvernement. La consommation de sucre devrait être découragée, et les consommateurs devraient être mieux avertis des dangers », lance le spécialiste, mécontent.

Il suggère notamment de placer des avertissements sur les produits qui contiennent beaucoup de sucre, à l’image de ceux retrouvés sur les paquets de cigarettes.

« Ça peut sembler tiré par les cheveux, mais le sucre est la drogue la plus dangereuse de notre temps et s’acquière partout. Quiconque consomme du sucre en voudra davantage », poursuit van der Velpen, en conclusion.

Les plus avisés seront sans aucun doute d’avis que le dirigeant néerlandais marque un point fort intéressant.

Catégories
Uncategorized

Des lendemains de veille moins difficiles en vieillissant?

Top Santé rapporte une étude qui propose des conclusions inusitées, alors que des chercheurs britanniques constatent une meilleure capacité à gérer l’alcool en vieillissant.

Alors qu’on serait pourtant porté à croire que les lendemains de veille s’aggravent en prenant de l’âge, il semble que le vieillissement permette de mieux composer avec les effets retours de l’alcool, à commencer par la bonne vieille gueule de bois.

Appelés à répondre à un sondage exhaustif, des groupes de sujets de tous les âges ont vu leurs habitudes de consommation et leurs lendemains de veille respectifs être scrutés à la loupe par Richard Stephens et son équipe.

Stephens constate que les répondants âgés de plus de 60 ans semblent boire plus que leurs jeunes homologues et qu’ils subissent nettement moins les effets de la gueule de bois, le lendemain d’une soirée arrosée.

« Les chercheurs ne savent pas réellement pourquoi les personnes âgées souffrent moins des symptômes de la gueule de bois. Ils sont peut-être plus avertis sur la façon de les éviter ou sont tout simplement plus tolérants à la consommation d’alcool. Peut-être que la combinaison de ces deux facteurs pourrait également être en jeu », résume Richard Stephens.

Finalement, on apprend également qu’un quart de la population serait « immunisé » contre la gueule de bois! Un super-pouvoir inusité, mais franchement pratique!

Catégories
Uncategorized

L’huile de poisson pourrait contrer les effets de l’alcool sur le cerveau

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui se veut encourageante et qui prétend démontrer que la consommation d’huile de poisson peut contrer les effets dévastateurs de l’alcool sur le cerveau.

Une grande quantité d’alcool consommée régulièrement peut mener à des torts cérébraux irréparables et même à de la démence, qui est directement associée à ce type de problème de consommation d’alcool.

Selon les chercheurs de l’European Society for Biomedical Research on Alcoholism en Pologne, les oméga-3 retrouvés dans l’huile de poisson pourraient bien venir en aide aux gens qui se retrouvent dans cette grave situation.

Publiée et déposée dans le cadre du 14e congrès de l’ESBRA, l’étude démontre un effet positif vérifiable sur des rats.

Un groupe test de rongeurs s’est vu imposer un régime à forte teneur en alcool, alors qu’un deuxième a subi le même sort, mais doublé d’une consommation à forte teneur en oméga-3.

Les résultats sont aussi éloquents qu’étonnants, puisqu’on constate 95 % moins de dommages au cerveau des rats du deuxième groupe!

Les chercheurs, malgré leur enthousiasme devant cette belle découverte, ont tôt fait de mettre en garde les gens qui seraient tentés de continuer d’abuser de l’alcool, mais en avalant simplement des gélules d’huile de poisson.

Cependant, cette étude pourrait mener à plusieurs percées médicales intéressantes dans le futur.

Catégories
Uncategorized

Les problèmes mentaux et la drogue plus meurtriers que le sida

S’il est plus facile d’apposer des étiquettes et des statistiques sur des maladies précises comme le sida, par exemple, les troubles mentaux et de consommation de drogues demeurent, eux aussi, un grand fléau en cette ère moderne.

C’est exactement le constat que rapporte Santé Log, à la suite d’une étude publiée sur le sujet, qui classe maintenant les problèmes psychologiques et de drogues comme plus meurtriers que le sida et la tuberculose.

Selon les chercheurs américains et australiens qui se sont penchés sur des statistiques mondiales pour en arriver à ces conclusions, les décès liés à la consommation d’alcool et de drogues sont dramatiquement élevés.

Même chose pour les troubles et désordres psychologiques comme la dépression, les troubles bipolaires et du développement, la schizophrénie et l’anxiété chronique.

Les deux types de problèmes sont parfois intrinsèquement liés et mènent trop souvent à des suicides, des surdoses ou encore à d’autres problèmes de santé graves.

L’étude presse donc les organisations et spécialistes de la santé de partout dans le monde à placer ces troubles comme une priorité absolue des campagnes de sensibilisation et de prévention, dans le futur.