Alors que les sushis ont pris d’assaut la planète entière et sont devenus en l’espace de quelques années une véritable tendance alimentaire, une nouvelle étude vient refroidir les ardeurs des fanatiques du mets japonais.
Selon MedicalNewsToday, qui rapporte l’étude américaine initialement publiée dans le Journal of Risk Research, des tests de mercure effectués sur quantité d’échantillons de sushis démontrent des taux beaucoup trop élevés de l’élément, mettant ainsi possiblement en danger la santé et la vie de nombreux Nord-Américains.
Les taux de mercure excèderaient tous les plafonds proposés par diverses organisations de la santé, par exemple la CDC et l’OMS, pavant ainsi la voie à de sérieux problèmes de santé cardiaque.
Ces résultats s’appliqueraient davantage aux sushis préparés avec du thon, qui contiendraient plus de mercure que les autres, comme ceux à base de saumon ou de crabe.
On suggère donc de minimiser sa consommation de sushis faits de thon, car non seulement sa surconsommation ferait grimper les risques de problèmes cardiovasculaires, mais mettrait également en danger plusieurs espèces en raison de la trop grande demande des consommateurs.