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La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

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Prévenir les intoxications par les oeufs

Les œufs sont un puissant allié de la santé lorsque consommé avec modération et intelligence, mais ils peuvent aussi se retourner contre le consommateur lorsque manipulés avec négligence.

C’est la mise au point que tenait à faire le CDC américain, des recommandations rapportée par The National Library of Medicine, qui traitent des précautions à prendre avec l’aliment, souvent en cause dans des cas d’intoxications alimentaires.

D’abord, et par cette chaleur, le CDC rappelle que les œufs doivent être conservés à une température de 40 degrés Fahreineit ou moins, soit 4,4 en Celcius, en moyenne.

Du même coup, on rappelle l’importance de se procurer les œufs chez des producteurs ou des établissements qui utilisent un système de réfrigération adéquat, et qu’il faut jeter tout œuf craquelé, sale, ou endommagé.

Il faut éviter de consommer des œufs qui auraient passé plus de deux heures à la température de la pièce, ou qui ne sont pas suffisamment cuits. Cette dernière recommandation s’applique souvent dans les restaurants…

Le CDC rappelle que la pasteurisation des œufs permet d’éliminer les germes et les risques de salmonelle, et qu’il est important de bien s’informer lors de l’achat ou en restaurant.

 

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Canicule : attention aux cafés glacés!

Ce ne sera pas une nouvelle pour personne d’annoncer qu’il fait chaud présentement au Québec… très chaud. Depuis quelques années, durant la saison estivale, la mode est aux cafés glacés, des boissons créées spécialement pour les amateurs de cafés qui ne cherchent pas à s’ébouillanter en pleine canicule.

Frappuccino, cappucino, mokaccino, presque tous les produits habituels sont offerts en version glacée. Malheureusement, selon le Daily Mail (G.-B.), ces boissons rafraîchissantes et réconfortantes sont servies avec leur part de calories et de sucre!

Les chercheurs et enquêteurs du Sunday Mirror qui publient ces recommandations sont scandalisés de voir autant de sucre présent dans ces produits populaires, des produits qu’ils n’hésitent pas à qualifier de « bombes sucrées toxiques », rien de moins.

Certains cafés glacés contiendraient parfois jusqu’à 18 cuillères à thé de sucre, alors que d’autres équivalent à 31 biscuits!

De quoi réfléchir avant d’abuser de ces produits qui, bien que succulents, cachent de lourds secrets sucrés. On rappelle également l’importance de consommer beaucoup d’eau en tout temps, et spécialement durant la saison estivale.

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Mercure, PCB, dioxines : deux portions de poisson par semaine, pas plus

L’agence de sécurité alimentaire (Anses) recommande de consommer deux portions de poisson par semaine, mais pas plus, un équilibre entre nos besoins nutritifs et les risques de contamination au mercure ou aux PCB.

Dans un avis rendu public vendredi (5 juillet), l’Anses précise que sur les deux portions recommandées, il faut une portion de poisson gras (saumon, sardine, maquereau, hareng ou truite fumée).

L’agence émet également de sérieux bémols sur la consommation de plusieurs espèces de poissons d’eau douce et de certaines autres espèces, en particulier par les populations les plus à risque comme les femmes enceintes ou les jeunes enfants.

L’Anses indique avoir « étudié différents scénarios » en tenant compte à la fois des « effets bénéfiques sur la santé » de la consommation des acides gras oméga-3 qu’on trouve principalement dans les poissons gras et du niveau de contamination des poissons en dioxine, MeHg (mercure organique) et PCB (polychlorobiphényles, isolant utilisé dans l’industrie) « dont l’action toxique est particulièrement importante pendant la période périnatale ».

Les effets positifs des oméga-3 ont fait l’objet de nombreuses études scientifiques ces dernières années, qu’il s’agisse de leur effet protecteur face à certains cancers, comme celui du sein, ou de leur intérêt pour le coeur. Ils pourraient également jouer un rôle dans le fonctionnement cérébral.

Toutefois, un nombre croissant d’experts s’inquiètent de l’aggravation de la pollution des eaux de mer et de rivières par des produits toxiques allant des hydrocarbures aux métaux lourds.

Les consommateurs sont incités à manger leurs deux portions de poisson « en variant les espèces et les lieux d’approvisionnement (sauvage, élevage, lieux de pêche) dans le cadre d’une alimentation diversifiée ».

La consommation de poissons d’eau douce fortement bio-accumulateurs (anguille, barbeau, brème, carpe, silure) est pour sa part limitée à 2 fois par mois pour la population générale, mais à une fois tous les deux mois pour les femmes en âge de procréer, enceintes ou allaitantes ainsi que les enfants de moins de trois ans, les fillettes et les adolescentes.

Les femmes enceintes ou allaitantes ainsi que les jeunes enfants sont également invités à limiter leur consommation de poissons prédateurs sauvages (lotte, loup ou bar, bonite, anguille, grenadier, flétan, brochet, dorade, raie, sabre, thon) et même à éviter celle d’espadon, marlin, siki et requin « en raison du risque lié au mercure ».

L’Anses relève que les produits de la mer et des rivières peuvent également être contaminés par des micro-organismes d’origine humaine ou animale, qui sont majoritairement détruits par la cuisson, et met en garde tout le monde contre la consommation de produits crus ou insuffisamment cuits, qu’il s’agisse de poissons ou de coquillages.

La consommation de ces produits est spécifiquement déconseillée aux populations « sensibles » (femmes enceintes, jeunes enfants, personnes âgées, ou immunodéprimées ou souffrant de pathologies comme le cancer ou le diabète) tout comme celle de crustacés décortiqués vendus cuits.

L’Anses rappelle enfin qu’il faut cuire le poisson de mer frais « à cœur » et qu’il faut « éviter la consommation de coquillages s’ils ne proviennent pas d’une zone d’élevage autorisée et contrôlée ».

Quant aux amateurs de sushis faits maison, il leur est conseillé de congeler le poisson utilisé « pendant 7 jours afin de détruire les parasites potentiellement présents ».

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La consommation pendant l’allaitement

Bien que ça puisse sembler logique pour plusieurs, ça ne peut faire de mal de rappeler aux femmes souhaitant allaiter leur bébé que ces substances ont toutes un effet sur le lait maternel.

Sur le site Famili.fr, un article explique les répercussions néfastes de la consommation post-accouchement. À peu près comme quand il était dans votre ventre, presque tout ce que vous consommez a un impact sur ce que vous refilez à bébé lors de la tétée.

Vous savez que l’alcool se rend directement dans votre sang. Il en est de même pour votre lait. En effet, le taux d’alcoolémie est identique dans les deux liquides. Cela veut dire que si vous buvez 2 verres et allaitez ensuite votre petit, vous l’intoxiquez.

Si l’occasion se présente de prendre un verre, il serait préférable de le prendre tout de suite après la tétée et d’attendre environs 5 heures avant la prochaine. Même chose pour la marijuana. Une autre solution serait de tirer votre lait avant de consommer.

Pour ce qui est de la cigarette, l’impact est moins dramatique, mais n’empêche, sa consommation nuirait à l’éjection du lait et lui donnerait même un goût et une odeur désagréable. Pas très plaisant pour bébé!

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Les protéines « modifiées » soulèvent des inquiétudes en santé

Ah, les protéines! Elles sont vantées par quiconque vous parlera de santé et de saine alimentation. Pour plusieurs, protéines riment avec énergie, ce qui est effectivement le cas.

Le problème, rapporte avec brio Nutrition News, c’est que trop de consommateurs vouent un culte aveugle aux protéines, ce qui provoque deux effets observables.

D’abord, les protéines ne font pas exception à la règle générale, et il est bel et bien possible d’en manger trop. Ensuite, les compagnies productrices de produits alimentaires connaissent très bien la montée de l’engouement pour les produits à forte teneur en protéines, et particulièrement ceux qui sont biologiques et « santé ».

On se tourne donc vers des sources comme les pois, par exemple, que l’on « adapte » de façon à maximiser l’impact des protéines. Comme cet ingrédient ne transforme pas le goût d’un aliment, on peut donc l’intégrer à une multitude de produits.

Mais cette adaptation, vous l’aurez compris, est en fait une modification génétique. Un OGM, en bref, ce que dénoncent de plus en plus de gens et d’observateurs.

Ces derniers suggèrent d’ailleurs de ne pas se détourner complètement de la viande animale et des autres végétaux, qui proposent des protéines « complètes » et non modifiées afin d’en enlever les autres nutriments.

Une loi visant à obliger l’affichage des OGM sur les produits devrait être en vigueur d’ici 2018. 

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Abus d’alcool : un traitement pour les cheveux comme solution?

Les gens qui abusent de l’alcool et qui souhaitent arrêter ou abaisser leur consommation et ainsi reprendre le chemin d’un régime de vie plus équilibré pourront peut-être compter sur une aide supplémentaire, selon The National Library of Medicine.

En effet, un traitement utilisé en prévention de la calvitie et de la perte des cheveux pourrait présenter une deuxième utilité et permettre de boire moins d’alcool.

C’est ce qui ressort d’une étude proposée par des chercheurs basés à Washington, qui en sont venus à découvrir cette intéressante facette du Propecia, un traitement bien connu, après avoir reçu le mandat d’en vérifier les effets secondaires.

Malheureusement, les chercheurs ont aussi découvert que le Propecia comprend bien d’autres effets possibles, dont une perte de libido. Ce serait justement ceux-là qui admettent ressentir un moins grand besoin de boire, par la même occasion.

« Des hommes qui admettent des effets secondaires sur leur sexualité malgré l’arrêt du traitement, deux tiers de ceux-ci ont remarqué qu’ils buvaient beaucoup moins d’alcool qu’avant », explique le Dr Michael Irwig, de la George Washington University.

Il faudra donc voir quelle utilisation on pourra faire de cette découverte, par ailleurs publiée dans l’édition du 13 juin du magazine Alcoholism : Clinical & Experimental Research.

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La prune officiellement bénéfique pour le système digestif, selon l’UE

L’Union Européenne et son organisation principale en santé viennent d’officialiser les bienfaits de la prune, selon ce que rapporte Medical News Today.

Ce qui peut sembler une nouvelle plutôt banale est en fait le résultat d’un long combat de la part des producteurs de prunes basés en Californie, qui désiraient voir l’Europe faire la promotion du produit.

On sait que la prune permet une meilleure digestion et s’avère donc un allié de la bonne santé, sauf qu’on tardait à en officialiser les bénéfices sur le territoire européen. Cela aura donc pris six ans au California Prune Board avant de remporter son pari afin que son produit soit inscrit comme allié officiel de la santé dans l’UE.

« Il faut dire que les fonctions des intestins sont des sujets difficiles en Angleterre, alors il est difficile de bien communiquer les informations… Pour fonctionner normalement, on recommande 25 grammes de fibre quotidiennement, et 80 % des Britanniques n’en mangent pas ou pas assez », lance Jeannette Higgs d’un ton très sérieux.

Bien que cette officialisation soit tardive et semble un brin inutile, on rappelle l’importance pour le public en général d’avoir accès à des informations justes et véridiques, et donc l’importance de ne pas laisser n’importe quel produit s’afficher comme « officiellement bon pour la santé ».

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La télé encouragerait les enfants à boire plus de sodas

Les enfants qui passent plus de temps devant leur téléviseur sont plus susceptibles de consommer des boissons sucrées, selon une étude suédoise.

Des chercheurs de l’Université de Göteborg sont arrivés à la conclusion que plus un enfant était exposé aux publicités à la télé, plus il était susceptible de consommer des boissons et des aliments très sucrés.

En fait, leur équation se résume ainsi : chaque heure passée devant l’écran familial accroit la probabilité que l’enfant consommera des sodas de 50 %.

Pour mener cette étude, parue dans la revue International Journal of Public Health, les chercheurs ont interrogé les parents de 1700 petits Suédois âgés de 2 à 4 ans sur le temps passé devant la télé et leur consommation de sodas.

Leurs travaux ont montré qu’un parent sur sept reconnaissait faire des efforts pour réduire l’exposition de ses enfants aux publicités, ce qui réduisait considérablement la consommation de boissons sucrées et minimisait le nombre de calories consommées à la fois par les enfants et les parents.

Par contre, les enfants dont les parents avaient des règles moins strictes sur la télévision étaient deux fois plus susceptibles de boire des boissons sucrées chaque semaine.

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Les réactions stupéfiantes du corps humain face aux boissons gazeuses

Le site drolesdimages.fr utilise des données publiées dans plusieurs articles pour créer un véritable décompte des réactions de l’organisme à la suite de la consommation d’une boisson gazeuse. Des révélations qui ont de quoi faire réfléchir…

D’abord, on apprend que les sept portions de sucre retrouvées dans chacune de ces boissons devraient nous rendre malades, mais que l’ajout d’acide phosphorique permet au corps de gérer le traumatisme.

Ensuite, l’énumération des organes touchés par ce qui semble être un geste pourtant banal (celui de boire une boisson gazeuse) a de quoi rendre perplexe.

Le pancréas et le foie, deux organes aussi uniques que vitaux, subissent des agressions sauvages découlant de la consommation de ces boissons, les obligeant à réagir de multiples façons, comme un mécanisme de défense.

Ainsi, le sucre se retrouve dans le sang de l’individu, expulsé par le foie, alors que le pancréas sécrète subitement de l’insuline. Le corps finira aussi par sécréter de la dopamine, ce qui crée un sentiment d’euphorie similaire à certaines drogues.

En bref, les moyens et les subterfuges utilisés par les multinationales permettent au corps de faire tout cela sans envoyer de signaux réellement perceptibles, ce qui donne l’impression au consommateur d’effectuer un geste banal, inoffensif.