Catégories
Uncategorized

Baisse de popularité des boissons sucrées chez les jeunes Américains

Un nouveau rapport des CDC américains révèle une tendance qui a de quoi rendre les spécialistes et nutritionnistes de ce monde optimistes envers l’avenir.

Selon les statistiques rapportées par The National Library of Medicine, la popularité des diverses boissons à forte teneur en sucre serait à la baisse chez les jeunes Américains.

Comme on sait que les jus sucrés, les boissons énergisantes et les boissons gazeuses sont parmi les principaux facteurs qui expliquent le fléau du surpoids en Amérique du Nord, on peut se réjouir de voir que les campagnes de sensibilisation commencent à porter des fruits.

C’est également vrai du côté des adultes, ce qui laisse croire que le changement observable chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes pourrait aussi s’expliquer par de meilleurs choix parentaux.

Les chercheurs qui publient ces chiffres affirment se réjouir de ce résultat, mais blâment encore les compagnies de boissons sucrées et gazeuses qui, selon eux, font du marketing qui vise directement les jeunes.

Catégories
Potins

Lindsay Lohan aurait-elle enfin compris?

Selon une source, l’actrice serait en train de devenir une patiente modèle au Centre Betty Ford. Il se pourrait donc que cette 6e tentative de désintoxication soit finalement payante.

Sur Perez Hilton, nous apprenons que les gens ayant eu l’occasion de visiter Lindsay Lohan trouvent qu’elle semble aller beaucoup mieux. De plus, elle participerait volontiers à toutes les rencontres de groupe et individuelles avec les intervenants, malgré que ça demande de faire remonter beaucoup d’émotions négatives.

Samedi dernier (25 mai), Lohan a cité sur Twitter une phrase de la populaire chanson Somewhere over the rainbow interprétée par Judy Garland dans Le Magicien d’Oz. Elle a écrit : « Somewhere over the rainbow, blue birds fly. C’est à nous de faire le mieux avec ce qu’on a ».

Il est un peu tôt pour prédire quels seront les résultats de cette thérapie, mais la starlette semble sur la bonne voie. Avec un peu de volonté, Lohan verra peut-être finalement la lumière au bout du tunnel!

Le fait qu’ils aient interdit à son vendeur de drogue de se promener à proximité du centre et de lui avoir retiré son médicament Adderall a sûrement à voir avec son soudain changement de comportement.

Catégories
Potins

15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

Catégories
Potins

15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

Catégories
Uncategorized

Abuser de l’alcool tôt peut mener à des problèmes cardiaques rapidement

Les cas d’AVC et de troubles cardiovasculaires à un jeune âge chez les gens qui ont abusé de l’alcool très tôt dans leur vie sont fréquents, à tout le moins plus qu’on l’imagine.

Et ils pourraient être en hausse, car le phénomène du binge drinking (le fait de consommer beaucoup d’alcool dans un court laps de temps et de façon répétée) est de plus en plus populaire sur les campus et dans les établissements scolaires.

Les étudiants et les autres jeunes adultes croient à tort que la jeunesse est gage d’invincibilité, et que leur comportement n’aura pas vraiment d’incidence. Or, si c’est vrai pour certains, plusieurs autres pourraient avoir de mauvaises surprises, rapporte Santé Log.

Une étude américaine, parue dans le journal de l’American College of Cardiology, fait état de cas de plus en plus nombreux d’AVC et de problèmes cardiovasculaires directement liés à l’alcool, et qu’on peut relier à une consommation massive entre l’âge de 18 et 25 ans.

L’American College of Cardiologycroit qu’un travail colossal de sensibilisation est à faire auprès de la jeune génération, car on ignore pour l’instant si les dommages causés par le binge drinking sont réversibles.

Plusieurs études sur le sujet sont en cours…

Catégories
Uncategorized

Des emballages verts qui créent l’illusion

On apprend via Science Daily qu’une manœuvre publicitaire pourrait bien mener inconsciemment les consommateurs vers des produits qui donnent l’impression d’être bons et sains pour la santé, alors qu’ils ne le sont pas du tout.

Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’une pratique illégale ou de flouer directement le consommateur. C’est plutôt un choix dans la facture visuelle des emballages qui mènerait plusieurs consommateurs à faire un lien inexistant.

Le truc consisterait à vendre un produit dans un emballage vert, tout simplement!

C’est ce que rapportent des chercheurs de l’Université Cornell, qui en ont fait l’expérience. Même une barre de chocolat serait considérée plus « santé » lorsqu’elle est présentée dans un emballage vert!

« De plus en plus de tableaux caloriques et d’étiquettes des valeurs nutritives apparaissent à l’avant des emballages, incluant ceux des collations sucrées comme les barres de chocolat. Or, on ne prend pas toujours le temps de bien lire. »

« Nos recherches démontrent donc que la couleur de ces tableaux et étiquettes peut avoir un impact sur la perception que les gens ont d’un produit », résume le professeur de Cornell, Johanthon Schuldt.

Catégories
Uncategorized

Bien manger malgré les allergies

Il devient parfois bien difficile de se nourrir adéquatement lorsqu’on est allergique à un ou plusieurs aliments communément retrouvés sur le marché.

Selon le quotidien, il est possible de trouver des solutions afin d’assurer un régime alimentaire équilibré malgré tout.

Plusieurs « aliments de substitution » sont abordables, comme les fruits et légumes, qui consistent de toute façon en un choix judicieux pour votre santé.

On propose d’abord la volaille, certaines viandes, les produits laitiers et les légumineuses pour un apport suffisant en fibres. Viennent ensuite les précieuses vitamines, que l’on peut retrouver dans les produits de céréales (à grains entiers), les oranges et autres fruits de la même famille, les pois, les légumineuses, les graines et noix, les pommes de terre et le soya.

Voici déjà plusieurs apports nutritifs importants de réglés, et on termine le tout avec un apport suffisant en oméga-3. Attention, on ne conseille pas systématiquement la prise de suppléments d’oméga-3, bien au contraire, mais plutôt la consommation de poissons et de fruits de mer. Si vous êtes allergiques à ces produits, on suggère alors de vous tourner du côté des huiles à base de microalgues.

Avant de changer de régime alimentaire ou de commencer la prise de suppléments, on conseille de consulter votre médecin.

Catégories
Uncategorized

Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

Catégories
Uncategorized

Les Américains se lasseraient-ils de la malbouffe?

Un rapport aussi encourageant qu’improbable, en provenance des États-Unis, fait état d’une baisse de popularité de la malbouffe chez nos voisins du sud.

Pourtant reconnus comme capitale de la restauration rapide et des repas malsains dans le monde, les États-Unis voient leurs statistiques de consommation de malbouffe diminuer pour la première fois.

C’est Top Santé qui rapporte cette nouvelle étonnante, alors que l’organisation du NHANES (National Center For Health Statistics) constate certaines modifications dans la relation des Américains avec leurs chaînes de restauration rapide préférées.

« La baisse est significative, mais beaucoup d’efforts restent à faire », mentionne Cheryl D. Fryar, coauteure de ces recherches.

Cette dernière croit que la baisse enregistrée est en partie due à la sensibilisation massive effectuée au cours des dernières années en Amérique concernant les dangers reliés à la consommation de malbouffe.

Malgré tout, si on regarde les chiffres d’une autre façon, on constate que la malbouffe en général compte encore pour 11 % des calories ingérées quotidiennement par le peuple américain.

Catégories
Uncategorized

L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.