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Les revenus et la télévision affectent la consommation de malbouffe

Les enfants d’âge préscolaire qui viennent de quartiers plus pauvres et ceux qui passent plus de deux heures par jour devant la télévision seraient plus attirés par la malbouffe et les boissons sucrées que les autres.

En fait, 54,5 % des enfants quatre et cinq ans de quartiers plus pauvres boivent au moins un soda par semaine. Ces enfants boivent aussi moins de lait.

« Si vous buvez beaucoup de soda et de jus de fruit, cela peut remplacer la consommation d’eau et de lait, qui sont importants non seulement pour étancher la soif, mais pour développer les os et les dents, et la santé et le bien-être général », explique l’un des auteurs de la recherche, Kate Storey.

Des résultats similaires ont été observés chez les enfants qui passaient beaucoup de temps à jouer aux jeux vidéo ou à regarder la télévision.

Puis, seulement 30 % des enfants dans cette situation mangeaient assez de fruits et de légumes. Toutefois, ces enfants consommaient assez de viande et buvaient assez de lait.

Rappelons que la malbouffe, qui ne contient pas tous les éléments nutritifs dont le corps à besoin, nuirait au développement des enfants, selon une étude de l’University of Adelaide.

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Le mariage aiderait à stabiliser la consommation d’alcool

Durant le mariage, les femmes consommeraient un peu plus d’alcool, et les hommes un peu moins, selon une étude dévoilée lors de la réunion annuelle de l’American Sociological Association.
 
En fait, la consommation d’alcool est plus élevée chez les célibataires, les gens divorcés et les veufs.
 
Les femmes consommeraient un peu plus d’alcool durant le mariage, sans doute en raison du fait que leur mari consomme plus d’alcool. À l’inverse, comme les femmes consomment moins de boissons alcoolisées dans leur vie, les hommes mariés auraient tendance à boire moins d’alcool.
 
Une fois divorcés, les hommes sont beaucoup plus susceptibles de se mettre à boire.
 
En résumé, cette nouvelle étude démontre que chaque partenaire aurait donc une influence sur la consommation d’alcool de l’autre durant le mariage.
 
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Mise à jour sur le lien entre la consommation de sel et le cancer de l’estomac

En réduisant la consommation quotidienne de sel à 6 g par jour maximum, on pourrait éviter un cas de cancer de l’estomac sur sept.
 
Selon le dernier rapport du Fonds mondial de recherche sur le cancer, 14 % des cas de cancers de l’estomac sont évitables simplement en réduisant l’apport de sel tous les jours.
 
Ainsi, il nous faut éviter les aliments transformés, puisque 75 % du sel que nous prenons tous les jours provient de ces aliments. Ensuite, 15 % de la quantité de sel est présente naturellement dans les aliments, et le dernier 10 % provient du sel de table que l’on ajoute à nos plats.
 
Le cancer de l’estomac est difficile à traiter efficacement, car son diagnostic se fait généralement tardivement.
 
De nombreux facteurs de risque favorisent l’apparition de la maladie, dont une alimentation salée qui est liée à la gastrite atrophique, une inflammation de la muqueuse de l’estomac, ce qui favorise le cancer.
 
Dans le rapport du Fonds mondial, on souligne aussi que 21 % des cas de cancers de l’estomac pourraient être évités simplement en consommant plus de fruits et légumes.
 
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Une femme sur 13 dit consommer de l’alcool durant la grossesse

Ce sont 14 000 femmes enceintes qui ont participé à l’enquête téléphonique nationale des Centers for Disease Control aux États-Unis.

À la question demandant si elles avaient bu au cours du mois dernier, parmi celles qui ont répondu positivement, une sur 5 a avoué avoir le coude léger et avoir consommé quatre verres ou plus dans les 30 derniers jours.

Bien que ces résultats soient basés sur une étude qui s’est déroulée entre 2006 et 2010,  mais dont les conclusions ont été publiées hier (19 juillet), et soient plus encourageants et moins élevés qu’au début des années 2000, l’organisation des centres de prévention tient à rappeler que l’alcool, et en particulier la consommation excessive durant la grossesse, peut endommager le développement du cerveau du fœtus.

Également, parmi les femmes enceintes qui ont répondu au sondage, la consommation d’alcool serait davantage vécue par celles qui ont de 35 à 44 ans, contrairement à ce que pourrait penser la population en pointant des femmes enceintes au début dans la vingtaine.

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Les traumatismes durant l’enfance conduisent plus de filles à fumer

Anxiété, dépression, divorce et consommation de substances par les parents, sévices physiques, psychologiques ou sexuels et négligence durant la petite enfance sont tous des éléments qui peuvent déclencher la consommation de tabac chez un adulte, en particulier chez le sexe féminin.

Selon une étude récente où plus de 7000 personnes fumeuses ont répondu à un questionnaire, dont plus de la moitié étaient des femmes, 60 % d’entre elles avaient été victimes de l’une de ces situations malsaines durant la petite enfance.

En excluant le fait que le participant ait pu grandir dans un milieu où ses parents fumaient ou encore qu’il ait consommé de l’alcool au cours du dernier mois avant l’étude, il est ressorti que les femmes qui avaient été physiquement ou émotionnellement abusées étaient 1,4 fois plus susceptibles de fumer.

Celles qui avaient eu un parent en prison pendant la petite enfance doublaient leurs chances de tabagisme également.

La détresse psychologique augmente les chances que toute personne fume. Toutefois, les hommes qui ont subi des traumatismes durant l’enfance peuvent avoir d’autres mécanismes d’adaptation que leurs homologues féminins, a expliqué l’auteure principale de l’étude, Dre Tara Strine.

Pour la spécialiste et le BioMed Central, qui ont publié leurs conclusions dans le journal Substance Abuse Treatment, Prevention, and Policy, un événement troublant durant l’enfance peut effectivement avoir un effet à long terme et conduire à un comportement de dépendance plus tard dans la vie.

« Voilà pourquoi les actuelles stratégies et campagnes de désaccoutumance au tabac devraient se fier au passé de leurs patients pour comprendre la relation potentielle entre traumatisme de l’enfance et détresse psychologique ultérieure sur le rôle du tabagisme, et ce, en particulier chez les femmes », affirme Dre Strine.

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Une consommation modérée d’alcool améliore la qualité de vie

Les personnes qui consomment modérément et régulièrement de l’alcool auraient une meilleure qualité de vie que les personnes qui ne boivent pas du tout, révèle une étude publiée dans le Journal of Study on Alcohol and Drugs.
 
5404 personnes de 50 ans et plus au début de l’étude ont été suivies par une équipe de chercheurs de l’Université de Boston. On constate que pour la majorité des gens, la consommation d’alcool demeure stable pendant environ six ans.
 
Les consommateurs modérés prenaient en moyenne 1 à 3 boissons alcoolisées par semaine, mais pas plus de trois par jour pour les femmes et quatre par jour pour les hommes.
 
31,4 % des gens ont réduit leur consommation au cours de l’étude pour des raisons qui demeurent floues. On croit toutefois qu’avec l’âge, l’interaction sociale devient moins grande, ce qui peut également réduire la consommation d’alcool.
 
Comparativement aux abstinents, l’étude révèle que les buveurs modérés ont une meilleure qualité de vie, et ce, dès le début de l’étude. Cela a perduré tout au long de la recherche.
 
Par contre, ceux qui ont réduit leur consommation ont aussi vu leur qualité de vie être réduite.
 
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Une faible consommation d’alcool ne nuit pas au foetus durant la grossesse

En 2010, une première étude affirmait qu’une consommation d’alcool faible ou modérée durant la grossesse ne posait aucun problème sur le fœtus.

Aujourd’hui, une autre étude confirme ces résultats dans le Journal of Osbtetrics and Gynecology.

Durant le processus de la recherche, 1 628 femmes enceintes ont été suivies et classées selon leur consommation d’alcool.

Ainsi, pour la prise de 1 à 4 verres par semaine, elles étaient dans la catégorie de faible consommation, de 5 à 8 verres, leur consommation était modérée et à 9 verres et plus on parlait d’une consommation importante.

Les enfants issus de ces grossesses ont été évalués à l’âge de 5 ans. La seule différence observée se situait au niveau de l’attention et fut remarquée chez les enfants nés d’une mère ayant consommé plus de 9 verres d’alcool par semaine.

Toutefois, cette nouvelle étude inquiète les médecins qui eux préconisent une consommation zéro alcool pour les futures mères. « En effet, le niveau d’une consommation d’alcool dénuée de risque n’est pas défini. Si l’on tablait sur trois verres par semaine, par exemple, une femme enceinte pourrait se croire autorisée à les boire au cours d’une même soirée, chaque semaine. Or à chaque verre, quel que soit l’alcool ingéré, le cœur du fœtus accélère et peut battre jusqu’à 150 fois par minute, soit l’équivalent d’un sprint pour nous. C’est à ce stress que le fœtus risque d’être exposé, de manière répétée », explique le Dr Alain Rigaud.

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La façon de consommer de l’alcool influence beaucoup la santé

Le journal Artherosclerosis mentionne que la façon dont les gens consomment de l’alcool peut être tout aussi dommageable que la quantité qu’ils prennent.
Récemment, les scientifiques mentionnaient qu’une consommation modérée de 14 verres par semaine était bénéfique pour le cœur, soit environ deux verres par jour.
 
Seulement, si vous prenez 14 verres en un week-end, les dommages à votre santé seront tout aussi nocifs qu’une trop grande consommation d’alcool.
 
Boire modérément réduit aussi les risques d’athérosclérose qui durcit et rétrécit les artères, ce qui peut causer des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux.
 
Une consommation modérée d’environ deux verres par jour peut aider à réduire le mauvais cholestérol. C’est ce qui a été constaté sur des souris, qui ont vu leur mauvais cholestérol chuter de 40 %.
 
Toutefois, chez les souris qui consommaient le week-end, le mauvais cholestérol a plutôt grimpé de 20 %.
 
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Boire de l’eau pour manger des légumes

Selon une étude l’Université de l’Oregon aux États-Unis, les enfants qui boivent plus d’eau font des choix alimentaires plus sains, ont une meilleure ouverture d’esprit et un appétit plus grand envers les légumes.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont observé les boissons et les légumes consommés par 75 enfants âgés de trois à cinq ans.

Il s’est avéré que les enfants qui buvaient de l’eau au lieu d’une boisson gazeuse durant le repas mangeaient plus de légumes crus comme des carottes ou des poivrons.

La professeure Bettina Cornwell, coauteure de l’étude, explique cette tendance par le fait que très tôt, les enfants apprennent à associer les boissons gazeuses riches en calories à des aliments gras et salés comme les frites.

Pour mener à une vie saine, contrer l’obésité infantile et le diabète chez les jeunes adultes, la spécialiste croit que les parents, tout comme les restaurateurs, devraient proposer davantage l’eau avec les repas pour enfants et même faire payer un supplément aux familles lorsque les petits veulent des boissons sucrées, rapporte le Daily Mail qui s’est basé sur l’étude parue dans la revue scientifique Appetite.

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Grossesse : la consommation de tabac, drogues et alcool varie selon la race

Selon une enquête publiée cette semaine et dont les données ont été recueillies entre 2002 et 2010 par l’organisme américain Substance Abuse and Mental Health Services Administration, le taux de consommation de drogues, de tabac et d’alcool dépend de la race de la future mère.

Ainsi, il a été démontré que chez les femmes enceintes de race blanche, presque 22 % d’entre elles ont fumé à l’intérieur des 30 jours précédant l’accouchement, comparativement à 14 % des femmes noires et 6,5 % des hispaniques.

Si les femmes noires se retrouvent au deuxième rang en matière de tabac, elles grimpent au premier échelon en ce qui a trait à la consommation de drogues illicites. En effet, elles ont été dénombrées à 7,7 %, comparativement à 4,4 % chez les blanches et environ 3 % chez les femmes hispaniques.

Quant au plaisir de prendre un verre, le taux de consommation était pratiquement similaire chez les femmes de race noire et blanche (12,8 % et 12,2 %), alors qu’il était relativement plus bas chez les femmes hispaniques (7,4 %).

Selon l’organisme, même si les dangers d’abus de ce type de substances sont connus pour les mères et les bébés, il est important de trouver ce qui pousse les femmes enceintes de différentes ethnies à consommer, car chaque personne peut avoir ses motifs.