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Megan Fox craint d’être mal interprétée

Megan Fox semble développer une peur bleue des entrevues, car l’actrice craint d’être mal interprétée, rapporte BANG Media International.

Il semble que cette peur soit fondée et se base sur des expériences vécues par l’actrice. En effet, Megan Fox affirme être constamment mal interprétée en entrevue, surtout parce que tout ce qu’elle dit serait perçu de manière littérale.

« Malheureusement pour moi, je ne peux faire de blagues. Je ne peux pas être comme Will Arnett en entrevue, parce que tout ce que je dis est imprimé de manière littérale. Il semble y avoir un besoin de me présenter comme une folle ou une vilaine coincée. Il n’y pas de marge de manœuvre pour moi pour relaxer et être juste moi-même. On me prend toujours hors contexte », explique Megan Fox au Herald Sun.

La star de Teenage Mutant Ninja Turtles n’en fait toutefois pas un drame. Elle estime que la situation s’explique probablement par son physique, qui l’a toutefois aidé largement à se bâtir une carrière.

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Megan Fox craint d’être mal interprétée

Megan Fox semble développer une peur bleue des entrevues, car l’actrice craint d’être mal interprétée, rapporte BANG Media International.

Il semble que cette peur soit fondée et se base sur des expériences vécues par l’actrice. En effet, Megan Fox affirme être constamment mal interprétée en entrevue, surtout parce que tout ce qu’elle dit serait perçu de manière littérale.

« Malheureusement pour moi, je ne peux faire de blagues. Je ne peux pas être comme Will Arnett en entrevue, parce que tout ce que je dis est imprimé de manière littérale. Il semble y avoir un besoin de me présenter comme une folle ou une vilaine coincée. Il n’y pas de marge de manœuvre pour moi pour relaxer et être juste moi-même. On me prend toujours hors contexte », explique Megan Fox au Herald Sun.

La star de Teenage Mutant Ninja Turtles n’en fait toutefois pas un drame. Elle estime que la situation s’explique probablement par son physique, qui l’a toutefois aidé largement à se bâtir une carrière.

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L’importance du babillage dans le développement de la parole chez l’enfant

« Notre analyse démontre que le babillage du bébé, lors de l’échange entre le parent et l’enfant, représente un indice important du développement présent et futur de la parole », a déclaré Patricia Kuhl, coauteure de la recherche, dans un communiqué.

Pour les besoins de la recherche, les enfants participants, âgés d’un an, portaient des vestes contenant des enregistreurs audio. L’objectif était de relever des indices sur l’environnement sonore de chaque enfant sur une période de 8 heures, pendant 4 jours consécutifs. On calculait ainsi le nombre d’interactions sociales.

D’autre part, les chercheurs ont analysé des milliers d’extraits vocaux de 30 secondes entre des parents et leur bébé pour relever la répétition de schémas spécifiques.

Il appert que les parents qui mettent l’accent sur les voyelles et changent le ton de leur voix ont une meilleure réponse de la part de l’enfant. Celui-ci tente plus souvent de reproduire les mots.

« Il ne faut pas simplement parler, parler, parler à l’enfant », explique Kuhl. « Il est plus important de travailler l’interaction et l’intérêt autour du langage. »

Les détails de l’étude peuvent être consultés ici

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La mémoire des enfants est-elle suffisamment développée en 1re année?

Selon Vladimir Sloutsky, chercheur et professeur de psychologie à l’Ohio State University : « Les enfants de moins de 7 ans sont capables de se souvenir des événements sur une base individuelle. Nos résultats suggèrent cependant qu’il leur est très difficile de placer ces événements dans le bon contexte, au bon endroit et dans le bon ordre chronologique ».

Donc, la structure de la mémoire est plus complexe qu’il n’y paraît. Et elle continue à se développer après l’âge de 7 ans, surtout en ce qui a trait à la superposition d’éléments, rapporte medicalxpress.com.

Les tests effectués auprès d’enfants de 4 à 7 ans, puis également testés chez des adultes, démontrent clairement que les enfants ont de la difficulté à retenir des éléments qui s’entremêlent. Ainsi, lorsque des images présentées étaient regroupées par paires, puis distribuées dans la maison rouge ou la maison bleue, la mémoire des enfants s’arrêtait à la paire formée. Seuls les adultes pouvaient replacer les images dans leur contexte.

Coauteur de la recherche, Simon Dennis, de l’Université de Newcastle en Australie, explique : « Ces résultats démontrent que les enseignants et auteurs de livres pour enfants devraient tenir compte des limitations de la mémoire des jeunes enfants ».

Il ajoute également que les tribunaux ne devraient pas faire venir à la barre des enfants trop jeunes, puisque leur mémoire ne leur permet pas de séquencer les éléments de façon appropriée.