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Camille Felton s’insurge contre les effets nocifs de la pilule contraceptive

La comédienne Camille Felton partage sa colère face aux effets nocifs que la pilule contraceptive peut procurer!

En effet, c’est sur son Instagram que la vedette québécoise a pris la parole afin de lire et dénoncer tous les effets secondaires qu’une personne peut avoir en prenant quotidiennement le moyen de contraception qu’est la pilule!

«Oui, donc, en fait, je viens de prendre mes pilules, bien d’aller chercher mes pilules, puis j’ai décidé que j’allais regarder c’est quoi les effets secondaires (…) alors lisons-les ensemble, allons-y!», s’est-elle écriée en sortant la feuille d’explication, qui disons-le, est tout simplement immense!

«Allons-y, tout simplement, on va commencer avec les mises en garde à connaître. Donc, il pourrait y’avoir des formations de caillots sanguins dans les jambes, les poumons, le coeur ou le cerveau. Ce n’est pas tout, vous pourriez peut-être avoir le cancer, cancer du sein, cancer du col de l’utérus, maladie de la vésicule biliaire, saignement down there…euh… grossesse, bon, c’est si t’arrêtes ça, c’est correct, mais là y a plein d’affaires aussi qui s’en viennent!», a expliqué Camille dans tous ses états!

«Bon là vous allez me dire: Ouin, Camille là tu y vas intense!, attendez, ça c’est la liste! Quels sont les effets secondaires qui pourraient être associés à Lolo, Lolo qui est ma pilule? Alors je vous les lis, j’espère que vous êtes prêts! Donc, douleur abdominale, nausée, vomissement, modification du poids, crampes menstruelles, infections, virus du papillome humain, nice… infection des voies respiratoires supérieures comme une bronchite, écoulement nasal, congestion, grippe, acné, sensibilité des boobies, anxiété, dépression, humeurs variables, mal de tête, prise de poids, c’est tout écrit, j’adore, merci!», a-t-elle continué.

«Puis là, que j’en vois pas un venir me dire que ça, c’est bon, ok? Puis, oui, ok, je vais continuer à le prendre parce qu’on a un problème. Le stérilet, il y a des histoires d’horreur associées à ça, pour vrai, si vous avez un stérilet vous êtes vraiment des warriors parce que moi aucune chance que j’aille ça (…) d’autres moyens de contraception que je trouve moins pratiques que de prendre une pilule, c’est correct on est habitués, mais ce serais-tu le fun qu’on ait quelque chose, qu’on n’ait plus besoin de se scrapper le corps avec un paquet d’hormones de même qui nous fait peur là, lire ça! Bref, sur ce, ma petite montée de lait, merci de m’avoir écoutée, au revoir et à la prochaine et j’espère que les hommes vous allez prendre la pilule contraceptive byeeee!», a témoigné l’ex-candidate de Big Brother, elle qui semble vraiment découragée de cette situation!

Felton a conclu en nous partageant un autre moyen de contraception qui pourrait s’avérer être une alternative à la fameuse pilule

Et vous, que pensez-vous de ce moyen de contraception?

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Devrait-on offrir gratuitement la contraception aux adolescentes?

En moyenne, rapporte livescience.com, 16 % des adolescentes sexuellement actives tomberont enceintes dans l’année courante. Mais chez celles qui ont reçu de la contraception gratuitement, ce taux chute à 4 %.

L’étude a été menée au Royaume-Uni et publiée dans la revue scientifique The New England Journal of Medicine.

À travers cette recherche, on a également découvert que lorsque les adolescentes ont le choix de la méthode de contraception, elles sont près des trois quarts à sélectionner le dispositif intra-utérin (stérilet) ou l’implant hormonal.

D’ailleurs, l’American Academy of Pediatrics a récemment révélé qu’il s’agissait des deux meilleures méthodes pour les adolescentes, puisqu’il n’y a pas « d’oublis » comme pour la prise de la pilule anticonceptionnelle.

Malheureusement, ce sont les coûts qui empêchent les adolescentes de réellement utiliser le stérilet et les implants hormonaux. « Le dispositif à lui seul peut valoir jusqu’à 700 $ et ensuite, les implants hormonaux peuvent facilement atteindre 1000 $ ».

On espère donc que le système de santé considèrera le coût d’une grossesse et des mères adolescentes versus un coût moins élevé et donc plus accessible pour la contraception.

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Certaines pilules contraceptives augmentent le risque de cancer du sein

Selon les nouvelles données du Fred Hutchinson Cancer Research Center à Seattle, publiées dans la revue Cancer Research, les femmes qui prennent des pilules contraceptives contenant une dose élevée d’oestrogène sont deux fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de cancer du sein, comparativement à celles qui utilisent d’autres formes de contraceptifs oraux à faibles niveaux d’œstrogène. 

En examinant l’historique de contraception de 1102 femmes victimes d’un cancer du sein et un groupe de femmes non touchées par la maladie, il s’est avéré que celles qui prenaient une pilule à forte dose d’œstrogène depuis un certain nombre d’années étaient 50 % plus susceptibles de développer un cancer que celles qui n’avaient jamais utilisé ou cessé de prendre la pilule plus d’un an avant l’étude.

Les chercheurs mettent toutefois en garde les femmes en leur mentionnant d’interpréter avec prudence ces données et de ne pas arrêter de prendre la pilule pour autant. Ils conseillent plutôt de se renseigner auprès d’un professionnel de la santé sur les possibilités d’obtenir un contraceptif oral à plus faible dose d’œstrogène, du moins le temps que les études soient davantage approfondies.

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Pilule du lendemain : les femmes obèses sont à l’abri

D’anciennes recommandations publiées notamment en novembre 2013 concluaient que les médicaments qui servent de contraception d’urgence contenant du lévonorgestrel (comme le Norlevo) ainsi qu’un autre composant, l’ulipristal, présent notamment dans Ellaone (autre contraception d’urgence) étaient moins efficaces chez les femmes de 75 kg et plus et ne servaient complètement à rien chez celles de plus de 80 kg.

Pour le Comité des médicaments à usage humain (CHMP) associé à l’Agence européenne du médicament (AEM), la pilule du lendemain est ce qu’il faut, et ce, peu importe le poids d’une femme pour celles qui craignent une grossesse non désirée après une relation sexuelle non protégée.

Un rapport de l’AEM mentionne d’ailleurs : « Les avantages de la pilule du lendemain sur les personnes de poids élevé sont supérieurs aux effets secondaires », rapporte Parents.

Il y a plus d’un an, l’Agence nationale du médicament souhaitait notamment aviser les femmes rondes et indiquer sur les étiquettes des médicaments qu’ils étaient peu efficaces pour certaines d’entre elles.

Le CHMP a toutefois considéré que ces dernières études n’étaient pas assez fondées pour qu’une telle mention écrite alerte ces femmes. Le comité désire donc que les femmes obèses soient au courant de l’existence de ces études et constats, mais que la pilule du lendemain ne leur soit pas totalement contre-indiquée.

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Sexualité et désir après la grossesse

Après la naissance de votre enfant, vous pouvez calculer environ 6 à 8 semaines avant le retour des menstruations. Pendant cette période, il serait tout indiqué de laisser le temps à votre corps de se remettre de l’accouchement avant de recommencer vos relations sexuelles.

La contraception ne doit pas attendre à ce stade, puisque votre corps est déjà prêt pour une nouvelle grossesse. En attendant de discuter avec votre médecin, utilisez toujours des préservatifs. Assurez-vous cependant d’avoir un rendez-vous rapidement pour reprendre une méthode de contraception efficace.

Faites attention au mythe de l’infertilité pendant l’allaitement. Donner le sein à bébé empêcher normalement l’ovulation, mais n’élimine pas totalement le risque de grossesse, d’autant plus si vous alternez avec le biberon.

En ce qui a trait au désir sexuel, Top Santé indique que la prolactine sécrétée pendant l’allaitement peut avoir un effet d’inhibition de la libido, du moins temporairement. Elle dure environ 3 mois, puis le corps s’adapte.

En outre, le père qui s’implique beaucoup dans les soins de bébé peut lui aussi sécréter de la prolactine, ce qui aura le même effet.

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Encore 86 000 filles-mères annuellement aux États-Unis

C’est un nouveau rapport publié par les Centers for Disease Control and Prevention qui révèle ces récentes données, indique Medical News Today.

Le taux le plus bas de naissances chez les adolescentes de 15 à 17 ans a été enregistré en 2012. Cependant, durant cette année, plus de 86 000 jeunes filles ont eu un enfant.

C’est comme si toutes les campagnes de sensibilisation et la communication sur les différents moyens de contraception ne se rendaient pas à elles. « Malgré un progrès significatif pour réduire les grossesses, il y en a encore beaucoup trop », dit le Dr Tom Frieden, directeur des CDC.

« Les naissances des adolescentes sont celles qui comportent les plus grands risques de mauvaises conséquences médicales, sociales et économiques. »

Ce taux doit être considéré comme très élevé, puisque 73 % des adolescents de cet âge n’ont pas encore eu de relation sexuelle. Chez ceux qui sont actifs, plus de 80 % n’ont eu aucune forme d’éducation sexuelle.

Le taux de naissance est particulièrement élevé au niveau des adolescentes hispaniques, noires non hispaniques et des Indiennes américaines/natives de l’Alaska.

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Une nouvelle méthode contraceptive qui protège aussi du VIH

Top Santé rapporte la mise à l’essai d’une nouvelle méthode de contraception féminine, capable non seulement de prévenir les grossesses, mais aussi de certaines infections transmissibles sexuellement comme le VIH.

Il s’agit d’un anneau féminin qui possèderait de multiples vertus protectrices, grâce à un principe de diffusion moléculaire des plus fascinants. Une fois installé, l’anneau relâcherait en effet deux types de molécules, le lévonorgestrel et le ténofovir, respectivement utilisés en contraception et dans la lutte au VIH.

On vante également la souplesse et la facilité d’utilisation de l’anneau, sans compter ses nombreuses applications possibles.

« Dans la communauté scientifique, tous ceux qui luttent pour la prévention du sida cherchent depuis longtemps à développer un anneau de ce type. Combiner l’effet contraceptif avec un effet protecteur contre les infections par le VIH serait un grand pas dans la prévention du sida dans les pays aux bas revenus », estime Rowena Johnson, la vice-présidente de la Fondation américaine contre le sida.

Les essais cliniques doivent maintenant se poursuivre, et on souhaite pouvoir commercialiser le produit au cours des cinq prochaines années.

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Encore 10 ans avant la pilule contraceptive pour homme

Ce sont les scientifiques de la Monash University qui viennent de faire part de leur découverte. Ils seraient en mesure de bloquer le mouvement du sperme pendant l’éjaculation.

La recherche a été publiée le 3 décembre dernier dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Science.

L’équipe de chercheurs a découvert, selon spirehealthcare.com, que 2 protéines des cellules musculaires qui déclenchent le transport du sperme pouvaient être inhibées. Le tout sans causer d’effets secondaires indésirables, notamment une perte de libido ou une éventuelle infertilité irréversible.

Les spécialistes ont fait les tests sur des souris. En l’absence des protéines α1A-adrenocepteur et P2X1-purinocepteur, les souris mâles devenaient infertiles, sans que leur comportement sexuel soit altéré.

« Le sperme est encore là, mais le muscle ne reçoit pas le message chimique de déclencher l’expulsion », a déclaré le chercheur principal, Sab Ventura.

Les recherches précédentes ont tenté de trouver un moyen hormonal d’intervenir sur la fertilité de l’homme. Cette fois, les scientifiques croient avoir trouvé la clé pour la pilule contraceptive pour homme. Il faudra cependant patienter d’ici 10 ans pour voir la mise en marché de ce nouveau mode de contraception.

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Barack Obama permettra la vente libre des contraceptifs oraux d’urgence

Barack Obama et son équipe, qui en ont déjà plein les bras ces temps-ci, permettront finalement la vente libre de contraceptifs oraux d’urgence, aussi appelés « pilule du lendemain ».

C’est ce qu’annonce le New York Times, qui rapporte la fin d’une bataille juridique qui aura finalement duré huit ans. Le gouvernement fédéral devra aller à l’encontre de son opinion initiale, selon ce que l’on comprend, et permettra aux femmes de tous les âges de mettre la main sur ce type de contraception, sans prescription.

Un juge doit tout de même approuver la décision finale, mais il semble que ce ne soit qu’une formalité.

Le débat fait donc rage à la suite de l’annonce de cette nouvelle, mais il est évident que le temps n’est plus à l’argumentation.

Cela étant dit, les débats houleux entourant l’avortement vont de pair avec ceux-ci, puisqu’un plus grand accès à ce type de produits contraceptifs permettrait peut-être des statistiques moins alarmantes en matière d’avortement. 

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Les femmes de plus en plus méfiantes envers les méthodes de contraception

Ce qu’il serait convenu d’appeler « le scandale des contraceptifs de nouvelles générations » commence à se transposer dans le comportement des femmes en matière de contraception, rapporte Santé Log.

En effet, même si les changements rapportés sont pour l’instant minimes, ils indiquent ce que les spécialistes croient être un changement de philosophie de la part des femmes.

C’est l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) qui publie ces statistiques. Selon elle, certaines données laissent entrevoir quelques problèmes possibles dans l’avenir.

C’est qu’un pourcentage de femmes a déjà commencé à abandonner les méthodes de troisième et quatrième génération au profit des anciennes ou des méthodes pourtant reléguées aux oubliettes jusqu’ici.

Pire encore, on avance que certaines femmes délaisseraient complètement la contraception à la suite des rapports troublants concernant plusieurs méthodes, ce qui inquiète les spécialistes.

Outre une hausse des grossesses imprévues et, par conséquent, des avortements, les praticiens craignent que les femmes se tournent vers les moyens contraceptifs « d’urgence », qui ne sont pas produits pour ce type d’utilisation et qui peuvent s’avérer dangereux pour la santé.

Plusieurs autres études sur le sujet sont attendues, car ces chiffres ne sont que préliminaires.