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Le timbre contraceptif au banc des accusés

Un groupe de gynécologues s’inquiète des effets possibles des nouvelles méthodes de contraception, dans ce cas-ci le timbre, rapporte Top Santé.

Ceci s’inscrit dans la lignée des vagues de prévention et d’avertissements de la part de plusieurs experts et agences de santé qui veulent sensibiliser les femmes (et leur amoureux) aux risques de certaines méthodes contraceptives.

Notamment, les fameuses pilules contraceptives de troisième génération font couler beaucoup d’encre depuis quelque temps. On leur attribue une liste de risques inhérents potentiels.

Au tour du timbre contraceptif, maintenant, de recevoir des blâmes de la part du Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof), qui explique que celui-ci contient le même type d’hormones que celles retrouvées dans les pilules de troisième génération.

« Les médecins doivent pouvoir évaluer objectivement la dangerosité de tous leurs actes sans attendre l’annonce d’un contentieux après la survenue d’un accident grave ou des informations diffusées par l’industrie pharmaceutique », s’indigne l’association.

Des cas de phlébite, d’embolie pulmonaire et autres problèmes graves de santé ont été rapportés à la suite de la prise des pilules de troisième génération.

Malgré tout, on note que ces nouvelles méthodes obtiennent néanmoins la note de passage, c’est-à-dire qu’il existe beaucoup plus de cas de femmes satisfaites que de victimes.

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Offrir des contraceptifs gratuitement réduit le nombre d’avortements

Une nouvelle étude publiée dans la revue médicale Obstetrics & Gynecology présente les conclusions d’un projet d’une durée de trois ans, ayant procuré des contraceptifs sans frais à 9256 adolescentes et femmes.

Celles-ci étaient conseillées sur la meilleure méthode contraceptive pour elles, et 76 % ont choisi une méthode dite de longue durée (par exemple les implants sous-cutanés et les dispositifs intra-utérins, aussi appelés stérilets).

Ces méthodes sont plus efficaces que les autres contraceptifs comme les anovulants et les préservatifs, mais sont moins utilisées, entre autres parce qu’elles sont plus coûteuses.

Cette étude est importante dans une perspective où environ la moitié des grossesses aux États-Unis ne sont pas prévues, ce qui coûte 11 milliards aux contribuables américains chaque année, ont remarqué les auteurs.

Ceux-ci soulignent que les taux d’accouchement chez les adolescentes participant à l’étude ont également diminué « beaucoup en deçà » des moyennes nationales.

La Dre Alice Mark a affirmé que l’étude procure « un soutien accru en faveur d’un plus grand accès à la contraception gratuite, particulièrement pour les femmes à haut risque ainsi que les très jeunes femmes, incluant les méthodes de longue durée », tel que rapporté par Medscape.

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L’OMS veut améliorer l’accès à la contraception dans tous les pays du monde

(Relaxnews) – À l’occasion du Sommet sur la planification familiale qui se déroule à Londres (Royaume-Uni), mercredi 11 juillet, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) s’est engagée à faciliter l’accès à la contraception « moderne » dans le monde, et notamment dans les pays en développement.

Cela devrait se traduire par un renforcement de l’évaluation de contraceptifs de qualité, par la mise en place de services de planification familiale dans les soins de santé, ou encore par une extension de la gamme des méthodes de contraception proposées.

Par cet engagement, l’OMS espère permettre aux femmes de chaque pays du monde d’accéder à des moyens de contraception efficaces, qu’ils soient temporaires ou durables, comme les dispositifs intra-utérins, les implants contraceptifs ou la stérilisation féminine.

« L’accès à la contraception moderne est un droit fondamental de chaque femme. Au même titre que ce droit, il importe de respecter la dignité des femmes en leur offrant un éventail d’options de planification familiale et la liberté de faire leur propre choix », affirme la Dre Margaret Chan, directrice générale de l’OMS.

D’après l’OMS, quelque 222 millions de femmes et de jeunes filles habitant dans des pays en développement et ne désirant pas devenir mères n’ont pas accès à des méthodes de contraception.

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La contraception : des milliers de mamans sauvées chaque année

Près de 250 000 femmes sont sauvées grâce à la contraception, et elles pourraient même être plus nombreuses. En effet, si toutes les femmes avaient en leur possession un moyen de contraception, elles seraient 100 000 de plus, selon une nouvelle étude britannique publiée dans la revue Lancet.

Cette recherche encourageante a été présentée la veille d’un sommet sur la régulation des naissances organisé à Londres par la Fondation Bill et Melinda Gates.

Par ailleurs, cette étude souligne également que la mortalité maternelle est à la baisse. Au cours des 20 dernières années, même si elle a chuté de 40 %, l’Afrique subsaharienne est montrée du doigt.

En effet, seulement 22 % des femmes mariées ou actives sexuellement y utilisent une méthode de contraception, un chiffre très bas si on le compare aux pays développés qui frôlent les 75 %.

Du côté des nourrissons, l’étude indique que près de 3 millions de bébés décèdent chaque année à la suite de grossesses qui se passent mal dans les pays développés.

Les femmes ne sont pas épargnées puisqu’elles sont près de 355 000 qui ont trouvé la mort à la suite notamment d’avortements dangereux.

Il est temps d’agir. En 2050, nous devrions être 9,3 milliards d’habitants, selon l’ONU.

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Clearblue lance son moniteur de contraception

En fait, ce moniteur suit les cycles menstruels des femmes et constitue un moyen entièrement naturel de contraception.

Le moniteur de contraception Clearblue est un petit boitier tactile qui indique à la femme quand elle peut avoir des rapports sans utiliser de contraceptif. Les jours où elle doit en porter sont indiqués en rouge, tandis que les autres sont marqués en vert.

Il suffit d’uriner sur les bâtonnets pour que le boitier évalue la concentration d’hormones.

Selon Clearblue, ce moniteur est fiable à plus de 94 % et doit être utilisé chaque matin.

L’appareil est déjà sur le marché en Espagne et en Italie et se vend 13 euros, alors qu’une boîte de 16 bâtonnets se vend 40 euros.

Rappelons toutefois que selon de récentes études, le stérilet demeurerait le moyen de contraception le plus fiable avec seulement 1 % de défaillance. On ne peut pas en dire autant de la pilule, du timbre transdermique ou de l’anneau vaginal.

En effet, il y aurait vingt fois plus de risques de tomber enceinte avec ces moyens de contraception féminins plutôt qu’avec le stérilet ou les implants.

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Bientôt une pilule contraceptive pour hommes?

Bien que leurs études soient encore préliminaires et encore effectuées auprès de souris, les chercheurs de l’Université d’Édimbourg spécialisés en fécondité ont découvert un gène qui est la clé de la production de sperme.

Appelé Katnal1, ce gène ne réussit pas à produire à maturité les spermatozoïdes s’il ne fonctionne pas correctement, révèle l’étude parue dans PLoS Medicine.

Ainsi, le Dr Lee Smith explique : « Si nous pouvons trouver un moyen de cibler ce gène dans les testicules, nous pourrions potentiellement développer un contraceptif non hormonal masculin », rassurant les hommes que.

Il ajoute que cette pilule ne pourrait pas provoquer une baisse de libido ou des effets secondaires désagréables et que la qualité et la force des spermatozoïdes ne seraient pas affectées.

« La chose importante est que les effets d’un tel médicament seraient réversibles, car Katnal1 affecte uniquement les spermatozoïdes dans les stades ultérieurs du développement, de sorte que les premiers stades de développement des spermatozoïdes et la capacité globale à produire des spermatozoïdes ne seraient pas entravés. »

La « vasectomie génétique » pourrait être également une option. Dans les hôpitaux, le gène Katnal1 serait retiré du corps de l’homme pour éviter toute future procréation.

Finalement, il y aurait même de l’espoir pour les hommes infertiles, en utilisant d’autres gènes pour corriger Katnal1.

Les chercheurs espèrent que d’ici 10 ans, ces trois options seront possibles chez l’humain.

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Contraception : le stérilet est la solution la plus fiable

On ne peut pas en dire autant de la pilule, du timbre transdermique ou de l’anneau vaginal. En effet, il y aurait vingt fois plus de risques de tomber enceinte avec ces moyens de contraception féminins plutôt qu’avec le stérilet ou les implants.

Non pas parce que ces produits sont moins efficaces, mais bien parce que plusieurs femmes oublient de prendre quotidiennement la pilule ou de changer hebdomadairement le timbre.

« Cette étude est la meilleure démonstration que les méthodes de contraception de longue durée sont nettement supérieures à la pilule, au timbre transdermique ou à l’anneau vaginal », souligne le Dr Jeffrey Peipert, professeur de gynécologie à la faculté de médecine de l’Université Washington, principal auteur de l’étude parue dans la revue The New England Journal of Medicine.

L’étude, réalisée auprès de 7500 femmes âgées de 14 à 45 ans, a également prouvé que le risque de tomber enceinte est près de deux fois plus élevé chez les jeunes femmes de moins de 21 ans qui choisissent la pilule, le timbre transdermique ou l’anneau vaginal que chez les femmes plus âgées qui ont recours au stérilet ou à l’implant.

Les États-Unis devraient penser à être le premier pays industrialisé à rendre accessibles les moyens de contraception « longue durée ». Chez nos voisins du sud, parmi les quelque trois millions de grossesses annuelles, 50 % ne sont pas prévues.

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La contraception masculine par ultrasons?

Cela peut paraître extrême, mais les expériences ont montré que les ondes sonores à haute fréquence ont pour effet de couper la numération des spermatozoïdes chez les rats.

Cela appauvrit le développement de cellules germinales dans le testicule et fait diminuer la taille des réserves de sperme.

Cette façon de faire non invasive pourrait entraîner la stérilité de façon temporaire chez l’homme.

Plusieurs études doivent cependant être faites pour voir si l’échographie peut être utilisée plusieurs fois sur une longue période et être sans danger et fiable pour cette cause, affirme le responsable de l’étude, le Dr James Tsuruta de l’Université de la Caroline du Nord.

Si c’est le cas, le sperm zapping, ultrasons envoyés en fortes doses (deux séances de 15 minutes sur les testicules chauffées à 37 °C) serait un moyen de contraception peu dispendieux, pratique et avec peu d’effets secondaires pour les hommes.

Une première tentative d’utiliser l’échographie comme contraceptif masculin a été signalée il y a 40 ans, alors que plusieurs patients atteints du cancer de la prostate devaient recevoir un traitement-choc aux testicules qui engendrait une perte radicale des cellules germinales. Ces hommes ont d’ailleurs déclaré que la procédure était sans douleur, alors qu’ils ressentaient plutôt une douce chaleur.

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La pilule remise en cause?

On lit sur Elle qu’une récente étude américaine remet en cause l’utilisation de certains moyens de contraception. Il semble que la pilule contraceptive et le timbre hormonal, entre autres, auraient des effets négatifs sur la sexualité de la femme.

Ces contraceptifs hormonaux feraient baisser la libido, selon des chercheurs du Center for Sexual Health Promotion (University of Indiana). Ils en viendraient même à empêcher leurs utilisatrices d’atteindre l’orgasme. Il semble aussi qu’ils seraient responsables d’une sécheresse vaginale.

Un peu plus de 1000 femmes ont participé à cette étude, et une différence quant à la vie sexuelle a été relevée entre celles qui utilisaient ces contraceptifs et les autres, lesquelles portaient un diaphragme, par exemple.

On conseille donc que les femmes soient mieux conseillées sur leur moyen de contraception, car une autre solution pourrait leur être proposée.

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Risque de VIH à cause du contraceptif par injection

On entend beaucoup parler du nouveau contraceptif par injection, et de grands espoirs l’accompagnent. Toutefois, une ombre au tableau s’annonce pour ce mode de contraception à base d’hormones.

Selon une récente étude parue dans The Lancet Infectious Diseases, une femme sous contraceptif par injection court deux fois plus de risques de contracter le VIH qu’une autre ne l’employant pas.

Il semble que le contraceptif en question amenuise les parois vaginales, ce qui provoquerait une augmentation des risques de transmission du VIH.

Les présents résultats ont été obtenus après avoir suivi près de 4000 couples provenant de 7 pays africains différents durant 18 mois. Rappelons que le contraceptif par injection gagne continuellement en popularité; en Afrique subsaharienne, par exemple, 6 % des femmes de 15 à 49 ans l’emploient, c’est-à-dire 12 millions de femmes.