Un groupe de gynécologues s’inquiète des effets possibles des nouvelles méthodes de contraception, dans ce cas-ci le timbre, rapporte Top Santé.
Ceci s’inscrit dans la lignée des vagues de prévention et d’avertissements de la part de plusieurs experts et agences de santé qui veulent sensibiliser les femmes (et leur amoureux) aux risques de certaines méthodes contraceptives.
Notamment, les fameuses pilules contraceptives de troisième génération font couler beaucoup d’encre depuis quelque temps. On leur attribue une liste de risques inhérents potentiels.
Au tour du timbre contraceptif, maintenant, de recevoir des blâmes de la part du Syndicat national des gynécologues obstétriciens de France (Syngof), qui explique que celui-ci contient le même type d’hormones que celles retrouvées dans les pilules de troisième génération.
« Les médecins doivent pouvoir évaluer objectivement la dangerosité de tous leurs actes sans attendre l’annonce d’un contentieux après la survenue d’un accident grave ou des informations diffusées par l’industrie pharmaceutique », s’indigne l’association.
Des cas de phlébite, d’embolie pulmonaire et autres problèmes graves de santé ont été rapportés à la suite de la prise des pilules de troisième génération.
Malgré tout, on note que ces nouvelles méthodes obtiennent néanmoins la note de passage, c’est-à-dire qu’il existe beaucoup plus de cas de femmes satisfaites que de victimes.