Sans se fatiguer et surtout en respectant son rythme, marchez et montez des escaliers. La tête du bébé sera ainsi portée à «frapper» le col de l’utérus. Cette pression favorisera la sécrétion de l’ocytocine, l’hormone secrétée par le cerveau durant l’accouchement.
Vous pouvez également vous promener en voiture et surtout ne pas contourner les bosses! Elles aideront beaucoup à la pression, suggère le site Famili, pour provoquer un accouchement.
Pourquoi ne pas faire d’une pierre deux coups? En faisant le grand ménage avant l’arrivée de bébé, exercice qui incitera sa naissance. En effet, il semblerait que laver un plancher à quatre pattes est une position parfaite pour dilater le col de l’utérus, alors que laver ses fenêtres les bras en l’air peut entraîner des contractions.
Joindre l’utile à l’agréable en faisant l’amour. Des hormones appelées prostaglandines cachées dans le sperme aideraient à dilater le col de l’utérus. Chez la femme, le sexe encouragerait également la sécrétion d’ocytocine.
N’hésitez pas à vous masser ou demander à votre partenaire de vous caresser les seins, cela pourrait avoir un pouvoir magique.
La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.
Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.
Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.
« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »
Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.
La recherche provient de l’Hôpital Mont Sinaï de Toronto, au Canada. La prise de sang validera si les contractions utérines représentent le travail réel d’accouchement ou si la mère peut retourner chez elle sans s’inquiéter.
Lors d’une première grossesse, vers la fin du terme, les femmes ont tendance à se rendre souvent à l’urgence lorsque de fausses contractions surviennent. Les scientifiques ont donc effectué des tests auprès de 150 femmes enceintes en Australie.
Même si le taux de succès s’est avéré de 70 %, Stephen Lye, professeur à l’Institut de recherche de l’Hôpital Mont Sinaï, croit que les résultats sont concluants.
« Les études indiquent que certains marqueurs présents dans le sang des futures mamans sont en mesure d’indiquer si celles-ci sont sur le point d’accoucher ou non. »
Comme l’indique Top Santé, à la base, pour déterminer si vos contractions sont réelles ou fausses, allongez-vous et détendez-vous. En principe, elles se dissiperont. Si le travail est commencé, l’intervalle et l’intensité se régulariseront.
Depuis des générations, les médecins ont tous la même réponse lorsque vous ressentez des contractions avant le temps ou que trop tôt durant la grossesse, vous traversez quelques complications. Selon l’étude soumise auprès de 646 femmes, l’alitement devrait au contraire être évité.
Les candidates avaient été séparées en plusieurs groupes. Les facteurs tenus en compte étaient l’arrêt partiel ou total de vie sexuelle et l’arrêt ou non au travail. De même, le repos suggéré était pris en considération. Certaines devaient être alitées en permanence, d’autre de façon partielle.
Au terme de l’étude, 37 % des femmes alitées avaient accouché avant terme, contre seulement 17 % chez les femmes qui avaient poursuivi leurs activités quotidiennes.
Les résultats obtenus démontrent non seulement l’inefficacité de l’alitement, mais les chercheurs suggèrent également que cette méthode augmente considérablement le stress et l’anxiété, des facteurs directement reliés aux accouchements prématurés.
De plus, Famili rappelle que les longues périodes au lit entrainent une atrophie musculaire et osseuse, en plus de créer un risque supplémentaire de formation de caillots de sang.
D’autres études seront nécessaires, mais le Collège américain des obstétriciens, déjà, soutient cette recherche.
Des chercheurs néerlandais ont constaté que cette approche, qui consiste en une surveillance accrue, n’augmente pas les risques pour la santé des femmes et de leur bébé.
Cependant, des recherches supplémentaires seront réalisées pour confirmer que l’induction au travail n’améliore réellement pas l’issue des grossesses.
Si la grossesse qui n’a pas atteint 40 semaines de gestation peut réussir à gagner quelques heures ou journées de plus, il serait préférable de patienter pour un début de travail naturel.
En effet, c’est en observant le cas de 500 femmes qui avaient perdu leurs eaux avant terme (entre 34 et 37 semaines), les divisant en deux groupes (surveillance accrue et déclenchement du travail), que les experts sont arrivés à cette conclusion.
Il a été démontré qu’il n’y avait pas de différence significative dans le nombre de bébés nés avec une infection du sang ou des problèmes pulmonaires entre les deux groupes de femmes.
Le risque d’un accouchement par césarienne était également similaire dans les deux groupes.
Les chercheurs ont noté que le risque d’infection maternelle était légèrement plus faible chez les femmes dont on avait déclenché le travail que chez celles qui avaient été suivies.
Or, cette conclusion de privilégier un suivi médical plutôt qu’un déclenchement du travail ne s’applique pas à tous les types de femmes et de grossesses, ni aux pays à faible revenu qui détiennent peu ou pas d’antibiotiques pour traiter les cas qui auraient des besoins précis.
L’étude est parue dans la revue PLoS Medicine en avril.
Mise en garde quant à l’acupuncture
Plusieurs femmes recherchent des moyens naturels de soulager la douleur durant le travail lorsqu’elles accouchent.
Or, selon une récente étude parue dans BJOG, l’acupuncture ne serait pas une solution. Du moins, il semble que l’acupuncture ne réduirait que très peu la douleur reliée à l’accouchement.
Pour tirer ces conclusions, on a suivi 105 femmes qui allaient accoucher pour la première fois. Les participantes ont toutes été provoquées.
Parmi elles, 52 avaient reçu un traitement d’acupuncture avant le début des contractions. Elles n’ont remarqué aucune différence quant à leur douleur par la suite et les deux tiers ont eu recours à l’épidurale durant le travail.
En comparaison, celles qui avaient reçu un faux traitement d’acuponcture ont demandé l’épidurale à 56 %, contre 77 % pour celles qui n’avaient rien reçu du tout.
En conclusion de cette recherche, on a retenu que les différences entre les trois groupes ne se démarquaient pas. Cela corrobore ce qui a déjà été démontré dans de précédentes études sur le sujet.