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Les mûres aident à contrôler le taux de sucre dans le sang

En fait, des composantes contenues dans cette boisson aideraient à inhiber une enzyme impliquée dans l’absorption des hydrates de carbone, qui sont issus de la transformation des aliments riches en glucose.

Les chercheurs ont découvert que ces composantes se trouvaient dans le vin de bleuets et de mûres. Ils souhaitent créer une boisson qui les contient, mais qui ne serait pas alcoolisée.

Cette boisson garderait le taux de sucre bas chez les diabétiques de type 2, en plus de conserver les vertus anti-inflammatoires du vin.

Ce sont les anthocyanines qui réduisent l’inflammation. Du même coup, ils préviennent le développement de plusieurs maladies chroniques comme le cancer, les maladies métaboliques et les problèmes cardiovasculaires.

« Des études préliminaires ont montré que les anthocyanines peuvent avoir des effets positifs sur les capacités cognitives et la santé générale du cerveau en le protégeant des effets du vieillissement, comme l’Alzheimer et la perte de mémoire », indique la professeure Elvira de Mejia.

Rappelons que les hommes qui mangent des baies pourraient réduire de 40 % leurs risques de contracter la maladie de Parkinson.

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Contrôler ses gestes par la pensée

En contrôlant leurs gestes par leur pensée, les personnes handicapées physiquement pourraient gagner un peu d’autonomie et ainsi améliorer leur qualité de vie.

Le mouvement des muscles est contrôlé par le cerveau. Cependant, une lésion de la moelle épinière, un AVC ou des troubles neuromusculaires peuvent empêcher ce mouvement et, par le fait même, causer la paralysie.

Les chercheurs de la Brown University, du Massachusetts General Hospital et de la Harvard Medical School ont donc créé une interface cerveau-ordinateur, le BrainGate, qui rétablit la connexion entre le cerveau et un dispositif à l’extérieur du corps.

En fait, l’appareil détecte l’activité des cellules du cerveau et transforme ces signaux en données numériques qui activent les appareils externes.

Rappelons qu’une nouvelle approche d’intervention a vu le jour l’an dernier en Alberta dans le but de mieux traiter la paralysie cérébrale chez les enfants. Au lieu de se baser sur la posture ou les aptitudes à faire des mouvements, cette méthode d’intervention porte plutôt sur le milieu de vie de l’enfant et le jeu.