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Boissons énergisantes : ce que les parents doivent savoir

Que les parents se le tiennent pour dit, 40 % des incidents d’empoisonnement à ce type de boisson concernent des enfants de 6 ans ou moins. C’est ce que le dernier rapport de l’American Heart Association a dévoilé.

L’instigateur de la recherche, le Dr Steven Lipshultz de l’hôpital pour enfants de Détroit au Michigan, affirme que les spécialistes ont analysé 55 cas d’empoisonnement entre octobre 2010 et septembre 2013.

Les effets secondaires graves dans plusieurs cas incluaient un rythme cardiaque irrégulier, des convulsions et une tension artérielle excessivement élevée.

Les enfants de moins de 6 ans ont apparemment pris la boisson énergétique dans le réfrigérateur de la maison, informe Tech Times.

Or, même chez les adultes, on déconseille fortement la consommation de boissons de type énergétique dès que vous avez des troubles cardiaques, de l’épilepsie ou une pression irrégulière.

Selon Dr Lipshultz, il ne s’agit pas uniquement de la caféine contenue dans ces boissons, mais aussi d’autres ingrédients dont la combinaison n’a pas été testée sur des jeunes.

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La marijuana médicinale pour enfant

Aussi choquant que cela puisse paraître, cette pratique n’est plus exactement inhabituelle. Dix-huit États, plus Washington, D.C., permettent l’utilisation de la marijuana médicinale.

Certains d’entre eux fournissent aussi des prescriptions pour les enfants, sous supervision parentale, afin de traiter une foule de maux, allant de l’autisme au cancer en passant par les convulsions.

Un article paru sur le site web de NBC News explique que certaines critiques, dont l’American Academy of Pediatrics, soutiennent que le recours n’a pas été testé cliniquement chez les enfants et peut avoir des conséquences à long terme.

Cependant il est aussi question de l’histoire de Zaki Jackson, un enfant souffrant de graves convulsions épileptiques depuis qu’il était bébé. Dès qu’il a commencé son traitement à la marijuana, à l’âge de 10 ans, ses problèmes ont cessé.

La drogue de Zaki est fournie spécialement pour lui par une équipe de frères qui cultivent légalement de la marijuana médicinale. Elle a été conçue avec un faible niveau de THC, mais des niveaux plus élevés d’un autre cannabinoïde appelé cannabidiol.

« Bien que les deux cannabinoïdes ont une incidence sur les douleurs, les nausées et les convulsions, le cannabidiol n’est pas psychoactif », a déclaré la Dre Margaret Gedde de l’Institut des cliniciens en médecine de cannabis.

Cela signifie que les enfants qui utilisent ce type de marijuana ne se « gèlent » pas.

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Les enfants ayant subi des convulsions prolongées montrent des retards de développement

Des chercheurs ont effectué un suivi auprès de 54 enfants âgés de 1 mois à 3 ans, qui avaient eu au moins un épisode d’un type de convulsions appelé activité épileptique continue (AEC), durant 30 minutes ou plus.

Contrairement aux autres types de convulsions, l’AEC se produit plus fréquemment durant les trois premières années de vie d’un enfant.

Tous les petits participants ont subi une évaluation neurologique complète et ont passé des tests d’imagerie du cerveau, six semaines après le dernier épisode d’AEC, puis un an plus tard.

Les enfants ayant souffert d’AEC montraient déjà des problèmes de développement six semaines après l’épisode, et ces problèmes ne s’étaient pas résorbés après un an.

« Nous avons trouvé des troubles développementaux chez les enfants à la suite d’un épisode d’AEC, même chez ceux qui ne démontraient pas de problèmes neurologiques avant l’épisode. Le fait que ces problèmes sont toujours présents après un an suggère que les convulsions ont un impact à long terme sur le développement futur des enfants, à travers une réorganisation permanente du fonctionnement du cerveau », a conclu l’auteure de l’étude, la Dre Marina Martinos, selon EurekAlert!.

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Les bébés ayant survécu à un AVC ont plus de risque d’avoir des convulsions ou de l’épilepsie

Chaque année aux États-Unis, 6,4 nouveau-nés et très jeunes enfants sur 100 000 auront un accident vasculaire cérébral, incluant environ la moitié qui sont causés par une hémorragie.

Des chercheurs ont étudié le cas de 73 enfants et jeunes ainsi que de 20 nouveau-nés qui avaient survécu à un AVC. Parmi ceux-ci, 60 % des nouveau-nés ainsi que 43 % des enfants un peu plus vieux avaient eu des signes de convulsions, soit durant l’AVC, soit jusqu’à une semaine après l’événement, selon Medical News Today.

28 % des patients qui ont été suivis à l’aide d’un électroencéphalogramme ont eu des convulsions qui n’auraient pas été détectées autrement. 13 % de tous les patients ont développé l’épilepsie dans les deux années subséquentes. Les bébés et les enfants qui avaient subi une pression élevée au cerveau étaient plus susceptibles de développer des convulsions et de l’épilepsie ensuite.

Les résultats de cette étude ont été présentés lors du récent congrès de l’American Stroke Association.

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Identifier les enfants à risque de développer l’épilepsie à la suite de convulsions

Selon une étude réalisée par l’autorité en santé américaine, National Institutes of Health, des imageries du cerveau effectuées quelques jours après qu’un enfant ait fait des convulsions fébriles prolongées peuvent révéler des lésions au niveau de l’hippocampe, une partie du lobe temporal en lien avec l’épilepsie.

3 à 4 % des enfants ont des convulsions fébriles lorsqu’ils font de la forte fièvre, et si cette condition est habituellement bénigne, les médecins croient qu’elle augmente le risque d’épilepsie.

30 à 40 % des enfants qui ont eu un ou des épisodes de convulsions fébriles durant 30 minutes ou plus développeront ainsi ce trouble neurologique plus tard.

Dans le cadre de l’étude, 191 enfants ont passé un test de résonnance magnétique quelques jours après des convulsions fébriles, prolongées ou non. Parmi ceux qui avaient fait des convulsions fébriles prolongées, 11,5 % présentaient des lésions à l’hippocampe, tandis qu’on pouvait observer des anormalités de cette structure cérébrale chez 11,5 % des enfants. Seulement 2,1 % des enfants qui avaient fait des convulsions simples avaient ces problèmes.

45,2 % des enfants ayant plutôt passé un encéphalogramme présentaient aussi des anormalités, et il y avait une corrélation entre les résultats des deux tests, ont noté les chercheurs, selon Medical News Today.

Les données ont été publiées dans la revue médicale Neurology.

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Grossesse : les oméga-3 inefficaces contre les complications

Une étude a prouvé qu’il n’existait aucune différence quant aux risques de complications comme le diabète gestationnel et la prééclampsie entre les femmes consommant beaucoup d’acide gras oméga-3 et les femmes n’en consommant pas.

Cependant, les résultats de l’étude pourraient bien relever en partie du hasard, puisque l’écart entre les résultats du groupe de femmes ayant reçu un placebo ainsi que le groupe de femmes ayant consommé des acides gras oméga-3 est statistiquement irrecevable, faute d’une assez grande différence.

Malgré tout, les acides gras oméga-3 pourraient tout de même avoir des effets positifs. Lors de l’expérience, ils ont « réduit le taux de naissances avant terme », explique le docteur de l’University of Adelaide, Mari Makrides.

De plus, dans le groupe ayant consommé ce type d’acides, aucune convulsion n’est survenue chez les bébés, et 3 femmes sont décédées durant l’accouchement, tandis que dans le groupe ayant consommé un placebo, on comptait cinq cas de convulsions et 12 décès.

Rappelons que d’autres bénéfices de l’huile de poisson ont déjà été remis en question. Selon de récentes études menées par des chercheurs sud-coréens, les suppléments d’huile de poisson ne feraient pas de miracle pour le coeur.

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Les convulsions liées au système respiratoire

Des chercheurs auraient découvert une autre explication des convulsions fébriles. Les enfants qui en souffrent présentaient en fait une alcalose respiratoire. Précisément, elle se reconnaîtrait par un pH sanguin élevé et de faibles taux de dioxyde de carbone – ce qui est causé par l’hyperventilation.

Le fait est que les convulsions fébriles n’ont pas été remarquées chez des enfants qui avaient fait de la fièvre durant une gastro-entérite. On lit donc dans Epilepsia que des chercheurs croient qu’un faible pH sanguin pourrait avoir un effet protecteur.

On a pu tirer ces conclusions après avoir suivi 433 enfants qui présentaient une fièvre semblable ou égale. Ils avaient été admis à l’hôpital soit pour des convulsions fébriles, soit pour une gastro-entérite. On a pris le pH sanguin et le taux de dioxyde de carbone de chaque jeune patient lors de son arrivée.

Les convulsions fébriles sont assez courantes chez les enfants, en touchant 1 sur 25. Elles surviennent de façon générale entre six mois et cinq ans.

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Effets des retards de croissance foetale

Les convulsions sont un problème de santé que vivent de nombreux enfants. Des chercheurs ont tenté de connaître les différentes sources de celles-ci, notamment durant la grossesse.

Selon leurs résultats parus dans Pediatrics, un retard de croissance fœtale est fortement lié à de plus grands risques de convulsions durant les deux premières années de vie de l’enfant.

Dans le cadre de l’étude, afin de déterminer quels sujets accusaient un retard de croissance, on a évalué diverses caractéristiques de la croissance fœtale à l’aide d’ultrasons. Parmi celles-ci, on trouve la circonférence de la tête et celle de l’abdomen, la longueur du fémur et l’estimation du poids fœtal.

Toutes ces données ont été recueillies durant le deuxième et le troisième trimestre de grossesse. Par la suite, on a évalué l’occurrence des convulsions chez les bébés entre leurs 12e et 24e mois. Au total, on comptait 3 372 bébés dans cette recherche.

En regard aux résultats obtenus, on souligne une fois de plus les impacts des facteurs génétiques et ceux liés à l’environnement durant la grossesse, car ils peuvent aussi influencer le développement des convulsions chez l’enfant.

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La santé du bébé reliée à la vitamine D

Les spécialistes rappellent que les femmes enceintes devraient être mieux suivies et évaluées quant à leur taux de vitamine D.

Une carence de cette vitamine peut mener à des convulsions, des problèmes cardiaques et un rachitisme chez son enfant. D’autres problèmes peuvent aussi être liés à une telle carence, dont le diabète et l’asthme.

De plus, on peut lire dans le Journal of Medical Screening que la source principale de vitamine D est bien l’exposition au soleil et à la lumière du jour, avec un taux de 90 %.

On recommande donc de faire passer des tests sanguins durant la grossesse afin d’évaluer quelles sont les femmes (et leur bébé) le plus à risque. À l’heure actuelle, les femmes enceintes sont encouragées à prendre des suppléments de vitamine D.