Les premiers ministres du Canada et du Québec, soit Justin Trudeau et François Legault, en plus des ministres de l’Environnement et la mairesse de Montréal Valérie Plante, étaient présents lors de l’ouverture de la 15e conférence des parties à la Convention sur la diversité biologique des Nations unies (COP15) qui s’est ouverte mardi au Palais des congrès de Montréal.
Évidemment, Trudeau, Legault, Plante, mais aussi Steven Guilbault et Benoît Charette, notamment, ont pris la parole lors de cette journée d’ouverture, où se retrouvait également Antonio Guterres, le secrétaire des Nations unies et Huang Runqiu, le ministre de l’Écologie et de l’Environnement de la Chine.
Lorsque Plante a pris la parole, elle a été incisive en soulignant, entre autres, qu’on devait parler tous «le même langage» lorsqu’il est question d’évoquer de sauver la planète.
Le ministre de l’Environnement canadien, Steven Guilbault, a mentionné que c’était «l’occasion d’une génération de collaborer pour mettre un frein à la perte de biodiversité et renverser cette tendance», rapporte Le Journal de Montréal.
La mission du Canada est de réussir à regrouper les individus «afin de protéger et conserver 30% des terres et des océans d’ici 2030».
Entre le 7 et 19 décembre, plusieurs représentants des gouvernements du monde se rassembleront dans le but d’étaler un plan à suivre concernant la nature lors des prochains dix ans. Environ 17 000 participants en provenance de 192 pays seront donc réunis à Montréal afin de dresser une entente.