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La Corée du Nord lance son propre téléphone intelligent

Le régime totalitaire de la Corée du Nord, qui contrôle d’une main de fer les faits et gestes de ses citoyens, referme encore plus l’étau sur les libertés individuelles.

Le nouveau téléphone, qui a toutes les allures d’un iPhone ou d’un téléphone Android, semble avoir été conçu en Chine, selon l’agence sud-coréenne Daily NK.

La particularité de ce nouvel appareil, c’est qu’il est incapable d’utiliser de signaux WiFi provenant de l’étranger. Il ne peut de plus de plus ouvrir des images ni d’autres sonneries.

Parmi les contenus que le nouveau téléphone propose, on remarque des images préembarquées mettant en vedette de hauts dirigeants du régime dictatorial, des applications permettant d’apprendre le mandarin et l’anglais, une application météo, ainsi qu’une encyclopédie approuvée par le régime.

On retrouve aussi une librairie s’apparentant à l’application Apple Books. Les livres qui y sont proposés sont tous approuvés par le régime communiste.

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Environ 40% des Nord-Coréens utilisent un téléphone intelligent, selon une étude de la North-East Asia Community ICT.

Photo : PEN NEWS

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The Interview parachuté sur la Corée du Nord

Des activistes sud-coréens ont l’intention de parachuter des copies du film The Interview en Corée du Nord.

Selon ce que rapporte le quotidien anglais The Guardian, 10 000 copies du film interdit The Interview seront parachutées sur le territoire nord-coréen afin que la population locale puisse avoir accès à la comédie mettant en vedettes James Franco et Seth Rogen.

Les activistes ont prévu utiliser des ballons pour larguer des copies du film ainsi que 500 000 tracts politiques le 26 mars prochain.

Cette date a été choisie pour coïncider avec le cinquième anniversaire du naufrage d’un navire sud-coréen ayant fait 46 morts. Le gouvernement sud-coréen accuse son voisin du nord d’être responsable de l’attentat ayant mené à ce naufrage.

Rappelons que le film The Interview, qui parodie le dictateur Kim Jong-un, n’a jamais pu être présenté en salles comme prévu à la suite de menaces de représailles du gouvernement nord-coréen envers le studio Sony. 

Photo : The Interviews

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The Interview parachuté sur la Corée du Nord

Des activistes sud-coréens ont l’intention de parachuter des copies du film The Interview en Corée du Nord.

Selon ce que rapporte le quotidien anglais The Guardian, 10 000 copies du film interdit The Interview seront parachutées sur le territoire nord-coréen afin que la population locale puisse avoir accès à la comédie mettant en vedettes James Franco et Seth Rogen.

Les activistes ont prévu utiliser des ballons pour larguer des copies du film ainsi que 500 000 tracts politiques le 26 mars prochain.

Cette date a été choisie pour coïncider avec le cinquième anniversaire du naufrage d’un navire sud-coréen ayant fait 46 morts. Le gouvernement sud-coréen accuse son voisin du nord d’être responsable de l’attentat ayant mené à ce naufrage.

Rappelons que le film The Interview, qui parodie le dictateur Kim Jong-un, n’a jamais pu être présenté en salles comme prévu à la suite de menaces de représailles du gouvernement nord-coréen envers le studio Sony. 

Photo : The Interviews

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George Clooney part en guerre contre Kim Jong-un

Le scandale Sony continue de faire couler beaucoup d’encre au lendemain de l’annonce par Sony du retrait de son film The Interview. Cette fois, c’est George Clooney qui monte aux barricades.

 

Le célèbre acteur a fait parvenir une pétition aux personnes les plus influentes d’Hollywood afin qu’elles se tiennent debout face aux menaces terroristes profanées par la Corée du Nord.

 

Selon ce qu’a appris TMZ, Clooney écrit : « Nous savons que de plier face à ces criminels ouvre la porte à d’autres groupes qui voudraient bafouer la liberté d’expression et les libertés individuelles. Nous devons nous tenir devant la peur. »

 

Clooney a confié à Deadline que personne n’a voulu, jusqu’à maintenant, être le premier signataire. La situation fruste la vedette : « Nous ne pouvons nous faire dire quoi faire par quelqu’un comme Kim Jong-un. »

 

Rappelons qu’à la suite de menaces terroristes provenant du régime totalitaire du dictateur Kim Jong-un , la société Sony a décidé de ne pas aller de l’avant avec la présentation de son nouveau film The Interview qui devait prendre l’affiche dans les prochains jours.

Photo : BANG/BIG

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Des Américains skieront bientôt… en Corée du Nord

Quelques jours après l’inauguration de la station de ski du mont Masik en Corée du Nord, le 1er janvier 2014, un voyagiste américain basé du New Jersey, Uri Tours, a dévoilé un voyage organisé de cinq ou sept jours à la neige réservé aux touristes américains.

La station de Masik est décrite par le voyagiste comme « la destination de ski la plus exotique au monde » pour les Américains.

L’organisateur de voyages a reconnu au micro de la radio Voice of America que cette offre n’attirait pas les foules, mais six Américains ont déjà réservé leur place. Ils figureront parmi les premiers étrangers à dévaler les pistes nord-coréennes dans quelques jours.

L’ouverture de cette station était prévue pour octobre 2013, mais elle a accumulé les retards, notamment parce que la Suisse a interdit l’envoi de remontées mécaniques à la République nord-coréenne aux entreprises helvètes. Les autorités ont donc dû se rabattre sur du matériel chinois.

La station Masik Pass est loin de pouvoir concurrencer les grandes stations américaines ou alpines, elle dispose de neuf pistes, quatre télésièges et culmine à 1360 m d’altitude. Mais ce n’est qu’un début pour le dirigeant suprême, Kim Jong Un, qui a lui-même inauguré la station de sports d’hiver le 31 décembre dernier.

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La Corée du Nord construit un domaine skiable de classe mondiale

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un a inspecté le chantier d’un domaine skiable « de classe mondiale » alors que la Corée du Sud se prépare à accueillir les Jeux olympiques d’hiver en 2018, ont rapporté les médias officiels du régime communiste.

Kim a visité le site en développement sur le mont Masik, dans le nord-est du pays, selon l’Agence de presse centrale nord-coréenne KCNA.

Kim Jong-Un, qui a suivi une partie de sa scolarité en Suisse, a affirmé la volonté du Parti du travail nord-coréen de « faire du domaine skiable un site de classe mondiale » et mis en demeure les ouvriers d’achever l’ouvrage pour la prochaine saison hivernale.

La station sud-coréenne de Pyeongchang accueillera les JO d’hiver de 2018. Certains avaient avancé l’idée de présenter une délégation commune, comme lors des JO d’été de 2000 à Sydney et de 2004 à Athènes.

Mais les relations intercoréennes se sont détériorées, et les deux pays se sont alignés séparément à Pékin en 2008 et Londres en 2012.

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Corée du Nord : une nouvelle ville ouverte aux touristes occidentaux

La ville frontalière était depuis longtemps fréquentée par les touristes chinois, qui pouvaient facilement y passer la journée. « Nous en demandions l’accès depuis des années », raconte Simon Cockerell David, cofondateur de Koryo, la principale agence de voyages vers la Corée du Nord, basée à Pékin.

La semaine dernière, il a été accueilli en grande pompe pour sa première visite dans la ville. Un message lumineux affichait : « Nous accueillons chaleureusement Simon Cockerell David ».

Pour ce Britannique de 35 ans, Sinuiju n’est pas une ville comme les autres. « L’atmosphère est différente, car l’essentiel du commerce avec la Chine passe par là. Les gens sont inondés de produits chinois et voient tous les jours la riche ville chinoise de Dandong, de l’autre côté du fleuve (Yalu, qui marque la frontière). »

L’argument économique est aussi mis en avant. Gareth Johnson est directeur de Young Pioneer Tours, une agence qui propose des voyages à bas coût. « Pour aller en Corée, c’était trois jours minimum. Même avec nos offres premier prix, ça reste cher », regrette-t-il.

L’ouverture de Sinuiju permettra de passer une seule journée en Corée du Nord, ce qui pourrait intéresser les touristes qui visitent la Chine. Les deux compagnies espèrent pouvoir emmener les premiers touristes à Sinuiju début juin.

Cette nouvelle option ne va pas pour autant changer le fonctionnement du tourisme en Corée du Nord. « Nous avons une liste de villes autorisées, parmi laquelle nous piochons », explique Simon Cockerell David.

Pour les cinq principales agences de voyages, qui se partagent 4000 à 5000 touristes occidentaux par an, la Corée est un petit marché en croissance.

« Évidemment, ce n’est pas du tourisme de masse. Ce sont des gens qui s’intéressent aux questions sociales et politiques et qui aiment découvrir », analyse M. Cockerell. « On ne va pas en Corée du Nord pour se détendre au bord d’une piscine. »

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Fermeture d’un poste-frontière entre la Chine et la Corée du Nord pour les touristes

Mercredi (10 avril), un responsable des douanes de Dandong (nord-est de la Chine) a déclaré que le poste-frontière de cette ville, le plus important poste-frontière chinois avec la Corée du Nord, était dès à présent fermé aux touristes.
 
« Les agences de voyages ne sont pas autorisées à aller là-bas, car le gouvernement nord-coréen demande aux étrangers de quitter le pays. Pour autant que je sache, les hommes d’affaires peuvent entrer et sortir de Corée du Nord librement », a dévoilé ce responsable qui a tenu à rester anonyme.
 
La responsable d’une agence de voyages de Dandong à pour sa part tenu à préciser que cette décision avait été prise par le gouvernement nord-coréen.
 
« Mardi à 9 h du soir, nous avons reçu un appel du bureau du tourisme chinois nous informant qu’à cause de la situation tendue à Pyongyang, les agences de voyages de Dandong n’étaient plus autorisées à amener des groupes en Corée du Nord », a-t-elle indiqué, précisant également que si elle savait que cette fermeture débutait mercredi matin, elle ignorait combien de temps cette situation perdurerait.
 
Le gouvernement chinois, par le biais de son ministère des Affaires étrangères, a quant à lui reconnu que dernièrement, des agences de voyages chinoises avaient annulé des excursions prévues en Corée du Nord. Il n’a cependant pas confirmé de fermeture de la frontière, déclarant même que la situation était « normale » à la frontière.
 
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La cartographie de la Corée du Nord s’améliore

On connaît peu de choses de la Corée du Nord, à cause de son régime communiste très secret et très particulier. Jusqu’à récemment, si un utilisateur visitait Google Maps, la carte du pays ne présentait rien d’autre que la position de sa capitale, Pyongyang.

Google vient toutefois de remplacer cette carte « blanche » par une nouvelle, qui offre des détails comme d’autres villes plus mineures, des routes, des camps de goulag, des hôtels, des routes, des hôpitaux et des chemins de fer.

Ces informations ont été compilées sur l’outil collaboratif Google Map Maker grâce à l’aide de nombreux « citoyens cartographes » bénévoles qui se trouvent, il faut le spécifier, à l’extérieur du pays.

Jayanth Mysore, qui est gestionnaire de projet principal chez Google, a affirmé que la compagnie « sait que cette carte n’est pas parfaite. Une des choses les plus excitantes en cartographie, c’est que le monde est en évolution constante. Beaucoup de gens sur la planète sont fascinés par la Corée du Nord, mais cette carte est particulièrement importante pour les Sud-Coréens, à cause de liens ancestraux ou familiaux qui existent encore entre les deux pays », rapporte le Daily Mail.

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Une nouvelle croisière en Corée du Nord

La première croisière à bord du Man Gyong Bong a été lancée en Corée du Nord, sur la côte est du pays. Souhaitant attirer plus de touristes, le pays propose des voyages de 21 heures à bord de ce bateau de presque 40 ans.

On pourra découvrir cette partie de l’Asie depuis le port de Rajin et le mont Kumgang. Ce dernier constitue le site touristique le plus important de la Corée du Nord. Ce projet a été élaboré par les autorités de Rason ainsi que le Taepung International Investment Group nord-coréen.

La zone côtière que comprend Rason, soit le nord-est du pays, n’avait pas encore connu son envolée, même si elle est établie depuis le début des années 90. Il semble que les coupures d’électricité fréquentes, l’absence d’investisseurs et d’infrastructures en soient la cause.

Mentionnons que le pays n’est ouvert aux touristes occidentaux que depuis 1987, et ce, en voyage en groupe seulement. De plus en plus de régions s’ouvrent maintenant au tourisme. Encore aujourd’hui, ces voyages de groupe ne peuvent se faire que sous une surveillance serrée, et les touristes ne peuvent entrer en communication qu’avec leur guide, certaines personnes de l’industrie du détail et de l’hôtellerie.

En ce moment, la majorité des touristes en Corée du Nord sont chinois; on estime qu’il en vient en moyenne 150 par jour durant la saison estivale. On espère inaugurer dès l’an prochain un bateau en meilleur état que le Man Gyong Bong, lequel pourrait accueillir 100 passagers.