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Le chocolat noir à la rescousse de la maladie artérielle périphérique

Ce sont des chercheurs de l’Italie, rapporte Science World Report, qui ont découvert cette nouvelle vertu du chocolat noir. Les antioxydants qu’il contient peuvent aider les gens aux prises avec des difficultés au niveau des artères.

« Les nutriments sont un composant clé de la santé et de la maladie », a expliqué le Dr Lorenzo Loffredo, responsable de la recherche, à Fox News.

La recherche comprenait 20 adultes âgés de 60 à 78 ans. Les participants souffraient tous de la maladie artérielle périphérique (MAP), caractérisée par une obstruction des artères, principalement celles des jambes.

Les chercheurs ont soumis les patients au même exercice, soit une marche sur un tapis roulant, alors qu’un des groupes avait pris du lait au chocolat avant l’exercice, et l’autre groupe du chocolat noir.

Le premier groupe n’a démontré aucune amélioration au fil du temps, alors que ceux qui avaient consommé du chocolat noir parcouraient une plus grande distance et marchaient plus longtemps.

« Les nutriments riches en polyphénols pourraient représenter une stratégie thérapeutique efficace pour contrecarrer les complications cardiovasculaires », affirme Dr Francesco Violi.

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Il n’est pas trop tard pour améliorer votre santé

Medical News Today rapporte les résultats d’une étude menée par la Northwestern Medicine et qui mentionne que notre cœur n’est pas rancunier.

Les adultes de 30 à 49 ans qui effectuent des modifications de vie pour éliminer les facteurs de risque de maladies coronariennes peuvent arrêter et même renverser les dommages engendrés aux artères cardiaques.

L’étude a été publiée dans la revue spécialisée Circulation. « Il n’est pas trop tard », y explique Bonnie Spring, responsable de la recherche.

Ce sont plus de 5000 participants qui ont été examinés quant à la calcification des artères et de leur épaisseur. Les facteurs de santé à modifier étaient : cesser de fumer, être actif physiquement, éviter le surpoids, consommer peu d’alcool et manger sainement.

Chaque facteur ajouté diminuait le risque de développer des maladies coronariennes.

Ainsi, les chercheurs affirment que deux mythes ont été démystifiés. Ce n’est pas vrai que les gens ne sont pas prêts à apporter des changements à leur vie, et il est faux de croire que les dommages causés sont automatiquement irréversibles.

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La consommation de fer peut augmenterait les risques de maladies cardiaques

Une étude vient renforcer le lien établi entre la consommation de viande rouge et la hausse des risques de maladies cardiaques, rapporte MedicalNewsToday.

Se concentrant sur la consommation de fer, l’étude en provenance de l’Université de l’Indiana trace un parallèle évident entre celle-ci et les risques de décès à la suite d’un problème coronarien ou cardiovasculaire.

On parle même d’un risque accru de 57 % chez les grands consommateurs de viande, rapporte cette même source, alors que l’on peine à établir un tel parallèle avec le fer retrouvé dans les sources végétales.

Il est également étonnant d’apprendre que le fer se stocke dans le corps de telle manière qu’il est presque impossible de l’éliminer. Donner du sang serait l’une des seules options possibles. La consommation de café pourrait cependant empêcher ou ralentir l’absorption du fer dans le sang.

L’étude confirme donc une nouvelle fois que la consommation de viande rouge doit être modérée, et qu’il est préférable de se tourner vers des options végétales dans les choix alimentaires

Cette nouvelle étude a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Percée technologique pour l’imagerie cardiaque chez les enfants

Selon Science Daily, une étude a été présentée du 14 au 17 juillet à la réunion scientifique annuelle de la Société de tomodensitométrie cardiovasculaire à Denver. Il s’agit d’une percée technologique de l’imagerie coronarienne.

Chez les jeunes enfants, les risques encourus lors de l’imagerie des artères sont très nocifs. « Traditionnellement, les patients qui ont besoin d’imagerie des artères coronaires ont subi un cathétérisme cardiaque, impliquant une forte dose de rayonnement, qui nécessite sédation ou anesthésie pour tous les patients », explique la Dre Kelly Han, cardiologue pédiatrique à Minneapolis.
 
La recherche de Han vise la diminution des risques pour les enfants. Le projet d’étude a débuté en juin 2007 et s’est terminé en 2011. Le nouveau scanneur mis en place dégage infiniment moins de radiation que les 2 générations précédentes (de 4 à 7 fois moins). D’autre part, les enfants âgés de 7 ans et plus n’auront plus besoin de sédatifs.
 
La difficulté habituelle, avec les enfants, est que le cœur bat trop rapidement pour obtenir une image claire. Cette fois-ci, avec la combinaison de médication diminuant le rythme cardiaque et la nouvelle génération de scanneur, les risques sont grandement diminués et les enfants ayant des anomalies coronariennes pourront être détectés beaucoup plus facilement.
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La solitude, dure pour les artères

Une étude menée par la Dre Rebecca C. Thurston et son équipe, de la Faculté de médecine de l’Université de Pittsburgh, démontre que l’incidence de maladies coronariennes augmente de 76 % chez les femmes qui avouent se sentir seules.

L’analyse des dossiers médicaux de plus de 3 000 adultes a permis à la chercheuse et ses collègues de conclure que cette disparité entre les sexes est attribuée à l’importance accrue que les femmes accordent aux relations interpersonnelles. De plus, ils croient que celles-ci sont plus stressées que les hommes par ces relations lorsqu’elles sont insatisfaisantes.

Cette recherche réalisée par la Dre Thurston s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont associé la sociabilité et l’isolement aux maladies cardiovasculaires.

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Le sel, pas si nocif pour le coeur

Une nouvelle recherche a causé la surprise en annonçant ses résultats : proscrire le sel de son alimentation serait pire pour le coeur que consommer trop de sel.

Le Dr Hillel W. Cohen et ses collègues se veulent toutefois prudents dans leurs conclusions en affirmant que les personnes consommant peu ou pas de sel ont 80 % plus de risques de souffrir d’une maladie cardiovasculaire, comparativement aux personnes qui consomment beaucoup de sel.

Pour en arriver à ces résultats, les scientifiques ont analysé les dossiers médicaux de 8 700 Américains âgés de plus de 30 ans.

Cette découverte médicale détruit donc le mythe voulant que le sel augmente l’incidence de haute pression et ainsi le risque de crise cardiaque.