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COVID-19: Un test de moins de 13 minutes approuvé par Santé Canada

Santé Canada vient tout juste de donner le feu vert à l’utilisation d’un « nouveau » test de dépistage de la COVID-19, plus rapide que ceux présentement utilisés au pays.

Le test ID Now, produit par l’entreprise Abbott Diagnostics, fournit en effet des résultats en moins de 13 minutes, et serait utilisé aux États-Unis depuis plusieurs mois déjà. D’ailleurs, sur le site web du fabricant, il est mentionné que non seulement ce test fournit un résultat hyper rapide, mais qu’il peut aussi être effectué l’endroit même où le prélèvement est recueilli.

Cependant, malgré que ce test soit en vigueur depuis un bon moment chez nos voisins du Sud et ait largement prouvé son efficacité, on ne sait pas encore à quelle date précise il sera distribué au Canada. Ni le fabricant, ni le gouvernement fédéral n’ont voulu spécifier. On peut toutefois s’attendre à son entrée dans les cliniques de dépistage canadiennes dans « les prochaines semaines ».

Mardi passé, le gouvernement Trudeau révélait aussi avoir conclu une entente d’achat de 7,9 millions de tests de dépistage et 3 800 appareils ID Now effectuant le processus d’analyse — appareils d’analyse portatifs, qui pèsent moins de 3 kg et peuvent être transportés presque partout, éliminant ainsi le besoin d’analyse en laboratoires.

Finalement, selon une porte-parole de la ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Anita Anand, 2,5 millions de ces « nouveaux » tests devraient être disponibles au Canada d’ici la fin de l’année.

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Alex Lapointe partage une vidéo très comique de ses prévisions pour l’Halloween!

Même avant l’annonce d’une 2e vague de la pandémie de coronavirus au Québec et la mise en « alerte rouge » de certaines régions, plusieurs se posaient la question à savoir: « Qu’en sera-t-il de l’Halloween cette année? »

Bien que l’interrogation touche majoritairement les familles, qui se demandent si les enfants pourront aller cogner aux portes afin de récolter des bonbons, nombreux sont ceux qui sont simplement fans de la fameuse fête costumée et ont envie de pouvoir célébrer la « saison de l’horreur » comme il se doit — malgré la Covid-19.

Alex Lapointe, humoriste, chroniqueur et animateur, a répondu (de façon humoristique, bien sûr) à la question.

Mais à quoi ressemblera l’Halloween cette année? 🙄 🎃

Mais à quoi ressemblera l’Halloween cette année? 🙄 🎃

Posted by Alex Lapointe on Monday, September 28, 2020

Dans une vidéo publiée lundi 28 septembre, sur sa page Facebook, il met en scène plusieurs personnages susceptibles de répondre aux « Halloweeneux » qui viendraient ramasser des friandises cette année.

Tout y passe: des personnes ultra prudentes aux fameux complotistes, Alex Lapointe se glisse dans la peau de plusieurs genres de citoyens québécois — et le résultat est hilarant.

L’humoriste amène cependant un bon point (plutôt cocasse), alors qu’il rappelle que plusieurs avaient « annulé/reporté » l’Halloween l’an dernier, puisqu’il faisait mauvais temps (pluie et rafales de vent). Il va sans dire que c’est un peu paradoxal de vouloir permettre aux enfants de sonner à toutes les maisons en temps de pandémie mondiale, mais de se laisser dissuader par de mauvaises températures…

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Rémi-Pierre Paquin et Martin Juneau s’inquiètent pour leurs restaurants

Dur coup pour les bars, salles à manger, salles de spectacles et cinémas des régions qui passeront en zone rouge à compter de ce jeudi 1er octobre. Le premier ministre québécois François Legault a en effet ordonné la fermeture de tous ces endroits le temps de 28 jours pour éviter que la deuxième vague qui frappe actuellement le Québec ne devienne hors de contrôle. Tant d’efforts avaient pourtant été mis par la grande majorité des propriétaires pour respecter les consignes sanitaires. C’est d’ailleurs ce que déplore Rémi-Pierre Paquin et Martin Juneau, qui s’inquiètent tous les deux de l’avenir de leurs entreprises.

C’est par les réseaux sociaux que les deux entrepreneurs se sont prononcés, le coeur gros, sur les nouvelles mesures qui prendront place dans la nuit de mercredi à jeudi.

Pour le comédien Rémi-Pierre Paquin, c’est au premier ministre québécois qu’il s’adresse. Selon lui, la fermeture des salles à manger ne fait de sens puisqu’il est beaucoup plus facile de contrôler l’environnement des restaurants que celui des lieux privés, comme les maisons. Il se questionne donc sur les raisons qui ont empêché le gouvernement de ne pas opter pour la mise en place des mesures plus strictes pour les propriétaires récalcitrants. Après tout, c’est la survie de son entreprise et celle de ses employés qui est en jeu.

« Bonjour Monsieur le premier Ministre, je suis copropriétaire de trois pubs irlandais à Montréal et Québec. Depuis la réouverture des restaurants l’été dernier, nous avons travaillé à l’application des mesures sanitaires imposées avec rigueur et professionnalisme. Tout comme la majorité de nos collègues restaurateurs, nous avons réussi à offrir un espace sécuritaire à notre précieuse clientèle. Malgré la capacité d’accueil réduite à 50%, nous étions fiers et heureux de pouvoir payer nos comptes et d’assurer un salaire à nos employés. Nous sommes devenus des pros de la socialisation supervisée.

« La fermeture des restaurants jumelée au temps frais qui s’en vient favorisera les regroupements dans les espaces privés intérieurs. Vous le savez mieux que quiconque, ces regroupements sont légalement impossibles à contrôler. Pourquoi ne pas nous confier ce rôle en accentuant la supervision de nos établissements? En punissant les restaurateurs délinquants? », peut-on lire dans son message.

Il en revient ensuite à la confiance du gouvernement. Il souhaite que celui-ci permette aux restaurants d’être les lieux de refuge des Québécois qui commencent à avoir le coeur lourd de toute cette crise.

« Faites-nous confiance, Monsieur Legault. Nous sommes tout à fait conscients du danger qui s’abat sur notre société. Mais nous considérons que les efforts déployés afin d’appliquer les mesures de la santé publique méritent d’être reconnus. Laissez-nous offrir une évasion contrôlée aux Québécois qui en ont tant besoin en ces temps douloureux », a-t-il finalement conclu.

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Du côté de Martin Juneau, son message vise plutôt les récalcitrants qui ont participé à l’augmentation du nombre de cas en faisant fi des règles. Sa colère est d’ailleurs bien palpable.

« Nous avons investi dans nos locaux afin d’améliorer les salles à manger pour respecter les distanciations…
Je me suis même fâché contre du staff…
Je n’ai pas serré la main ni pris dans mes bras mes amis proches depuis 6 mois…
Nous avons été SUPER prudents et vigilants à tous les niveaux…

Et pourtant nous devons fermer nos établissements DE NOUVEAU!!!
Je n’en veux pas au gouvernement, j’en veux aux IDIOTS : à cause de votre manque de sensibilité et surtout d’intelligence, mes entreprises risquent fortement de ne pas  » passer à travers « , cette fois-ci. Je vous emmerde », a-t-il écrit sans retenue.

Malgré tout, il demeure positif et continue d’espérer que lui et ses copropriétaires s’en sortiront avec l’appui du public. Nous vivons en effet une crise collective, c’est donc ensemble que nous vaincrons ce satané virus!

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Par ailleurs, durant le point de presse de cet après-midi, le premier ministre a réitéré qu’il comprenait que les nouvelles mesures étaient difficiles et avaient été reçues comme « un coup de masse » chez la population, mais que le tout était fait pour limiter les contacts prolongés comme c’est maintenant la transmission communautaire qui génère le plus de cas de COVID-19 au Québec.

En espérant que ce 28 jours ne se prolongera pas…

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COVID-19: En zone rouge, voici tout ce qui est permis, ouvert, fermé ou interdit!

Tel qu’annoncé lors du point de presse d’hier soir par notre gouvernement provincial, les villes de Québec, de Montréal ainsi que Chaudière-Appalaches entreront officiellement en alerte rouge dans les prochaines 48 heures, et devront « reconfiner » partiellement durant 28 jours, à compter du 1er octobre 2020, à minuit.

Malgré que le gouvernement ait tenté de simplifier les paliers de propagation du virus pour chaque région grâce à un code de couleur (jaune, orange et rouge), il n’en reste pas moins que les citoyens des zones les plus affectées se posent actuellement énormément de questions quant au « reconfinement » partiel à venir, ainsi qu’aux activités qui seront maintenant et celles qui devront cesser temporairement.

Voici donc un petit guide pratique à savoir ce qui est permis ou non, fermé ou ouvert pour les zones du Québec en alerte rouge:

Les rassemblements privés – Interdits

Tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Peu importe le nombre de personnes. « On n’accepte pas d’invitation, on ne fait pas d’invitation. Les personnes qui sont dans la maison sont les personnes qui habitent là », expliquait notre premier ministre, François Legault. Sauf exception pour les personnes qui habitent seules, qui peuvent recevoir un seul invité. Les personnes qui ont besoin d’avoir recours à un proche aidant, à une gardienne ou à un plombier (par exemple) pourront aussi faire exception à la règle, toujours selon le premier ministre.

Les bars et restaurants – Fermés (livraison ou commande à emporter seulement)

Ainsi, toutes les salles à manger des restaurants, des bars, des brasseries, des tavernes et des casinos seront fermées pour une durée de 28 jours, à compter du premier octobre. Les livraisons et les commandes pour emporter seront tout de même permises.

Les services de soins personnels et d’esthétique – Ouverts

Les salons de coiffure, centres de soins esthétiques et ainsi de suite demeurent donc ouverts pour le moment.

Gyms et centres d’entraînement – Ouverts

Les gyms et les centres d’entraînement poursuivent leurs activités.

Déplacements interrégionaux – À éviter le plus possible

On limite donc les déplacements entre les régions uniquement à l’essentiel. « On recommande fortement qu’il n’y ait pas de déplacements entre les régions, a rappelé François Legault. On ne l’interdit pas, mais on le recommande fortement. » Des barrages routiers pourraient notamment être mis en place afin que les policiers transmettent les nouvelles consignes aux personnes se déplaçant d’une zone rouge à une autre zone.

Les salles de spectacle, les musées, les cinémas et les bibliothèques – Fermés

Et ce, à compter de jeudi, et pour les 28 jours suivants. Cependant, les tournages let es captations de spectacles seront toujours permis.

Les services professionnels et de santé en cabinet privé – Ouverts

Seulement pour les services d’urgence ou nécessitant une présence en personne.

Bureaux de travail – Ouverts

Avec toutefois un maximum de 25% de l’effectif permis dans les bureaux.

De plus, les proches aidants seront admis dans les résidences pour aînés, à raison d’un proche aidant à la fois et d’un maximum de deux personnes par jour en CHSLD pour le prochain mois.

Finalement, les manifestations seront permises, mais les manifestants devront obligatoirement porter un masque en tout temps.

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Léa Clermont-Dion accouche et découvre être porteuse de la COVID-19

Ça y est, Léa Clermont-Dion a mis au monde son deuxième enfant, une petite fille cette fois. Mais l’heureux événement a vite pris une tournure aussi angoissante qu’inattendue, puisqu’elle s’est fait annoncer qu’elle était porteuse de la COVID-19 quelques minutes à peine après avoir accouché.

C’est sur Instagram que l’autrice et animatrice en a fait l’annonce, montrant du même coup une première photo de son nouveau-né. Moins d’une heure après l’arrivée de sa fille, qui fut par ailleurs « magique », Léa Clermont-Dion a dû se reloger dans la zone rouge de l’hôpital. « En isolement dans cette zone lugubre tant appréhendée. Un corridor obscur. Je me retrouve seule avec bébé. J’étouffe. La peur, celle d’avoir contaminé mes proches, celle de mettre en danger ma superbe. Cette peur intarissable au ventre. Je ne la connaissais pas », écrit-elle.

Son récit devient alors de plus en plus bouleversant : « Dans cette chambre lugubre, sans cesse, un bruit assourdissant pendant 48 heures. Cette machine à conversion à air, au son insupportable, un vacarme en continu. Je ne savais pas qu’un bruit pouvait faire mal. Une impression de baigner dans un poison. Les infirmières qui entrent et qui sortent. Celle aussi qui me parle de mon amoureux loin de moi. Elle a le trémolo dans la voix. Elle retient ses larmes. »

Heureusement, elle est depuis rentrée chez elle et ne semble pas avoir développé de symptômes incommodants. « Mais voilà. 48 heures ont passé. Au final, je me considère choyée dans ma malchance. Toujours pas de symptôme de cette vipère. Je retourne chez moi retrouver les miens, en isolement dans une partie de la maison », assure-t-elle.

Elle conclut en insistant sur le travail que nous aurons à faire collectivement pour s’en sortir : « Malgré mon hypervigileance, je suis devenue une statistique. Je pense à ce qui s’en vient, aux intervenants de la santé, aux malades qui subiront le pire. Et je nous envoie une bonne dose d’empathie, de solidarité et de prudence. Cette maladie est une géante. »

Toutes nos félicitations à Léa Clermont-Dion! Rappelons-nous de nous laver les mains, de porter notre masque et, surtout, d’éviter les rassemblements.

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Ma fille est arrivée un soir de septembre en coup de vent. Dans un instant ultime de liberté. Comme un souffle qui fait tanguer. Ce fut magique, malgré la crispation ultime de la douleur. Elle est née et c’est une superbe. Cela n’aura pas pris une heure pour que notre lune de miel s’arrête brusquement. On entre dans ma chambre pour me dire que je suis porteuse de la Covid-19. Je quitte immédiatement les lieux. En un instant, ma joie béate se transforme. En anxiété stridente mode survie. En isolement dans cette zone lugubre tant appréhendée. Un corridor obscur. Je me retrouve seule avec bébé. J’étouffe. La peur, celle d’avoir contaminé mes proches, celle de mettre en danger ma superbe. Cette peur intarissable au ventre. Je ne la connaissais pas. Dans cette chambre lugubre, sans cesse, un bruit assourdissant pendant 48 heures. Cette machine à conversion à air, au son insupportable, un vacarme en continu. Je ne savais pas qu’un bruit pouvait faire mal. Une impression de baigner dans un poison. Les infirmières qui entrent et qui sortent. Celle aussi qui me parle de mon amoureux loin de moi. Elle a le trémolo dans la voix. Elle retient ses larmes. Mais voilà. 48 heures ont passé. Au final, je me considère choyée dans ma malchance. Toujours pas de symptôme de cette vipère. Je retourne chez moi retrouver les miens, en isolement dans une partie de la maison . Je peux difficilement contenir mon anxiété devant la souffrance de celles et ceux qui ont enduré la mort, seuls. De celles et ceux, qui ont bravé la maladie, seuls. Mais nous sommes seuls ensemble. Malgré mon hypervigileance, je suis devenue une statistique. Je pense à ce qui s’en vient, aux intervenants de la santé, aux malades qui subiront le pire. Et je nous envoie une bonne dose d’empathie, de solidarité et de prudence. Cette maladie est une géante. Ma fille, tu es la force tranquille au coeur de la tempête. Déjà, je t’aime à l’infini. Merci à mon amoureux, @sarahluneb et @jacyntheladoula pour votre appui inestimable dans cette épreuve que je n’oublierai pas.

Une publication partagée par Léa Clermont-Dion (@leaclermontdion) le 28 Sept. 2020 à 3 :57 PDT

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Francis Reddy testé positif à la COVID-19

Alors que les cas de COVID-19 dans la province ne cesse de monter en flèche, on apprenait vendredi que l’animateur Francis Reddy avait à son tour contracté le coronavirus.

Celui qui anime l’émission Les saisons de Francis sur ICI Musique et qui collabore à l’émission Le 15-18 sur les ondes d’ICI Première a annoncé la nouvelle via les réseaux sociaux, mentionnant au passage qu’il ne serait pas en ondes dans les prochains jours.

« Chers auditeurs des Saisons de Francis et du 15-18. La COVID, vous le savez, est bien ratoureuse et elle a décidé que je vivrais cette expérience. Le test a été positif. Je vais très bien et je n’ai à peu près pas de symptômes, mais la sagesse me dicte de ne pas être des vôtres ce samedi et ce dimanche matin sur ICI musique, ni non plus à l’émission du 15-18 à laquelle je collabore le vendredi sur ICI Première. J’éprouve le besoin de l’écrire, car même en ayant été vigilant depuis le début de la pandémie, j’ai attrapé le virus. C’est donc une invitation à ne prendre aucun risque. Je vous retrouverai après mon isolement, avec bonheur, dans quelques jours », a-t-il indiqué en rassurant ses auditeurs.

On lui souhaite de la prudence, du repos et que le virus quitte rapidement sa vie, bien évidemment!

Crédit:Facebook d’ICI Musique
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Voici tous les programmes fédéraux d’aide financière qui viendront remplacer la PCU

Alors que la Prestation canadienne d’urgence (PCU) prendra fin demain, le 27 septembre 2020, le projet de loi qui assurera l’aide financière aux Canadiens « post-PCU » était officiellement déposé hier matin.

Selon Ottawa, environ trois des quatre millions de prestataires de la PCU passeront à l’assurance-emploi, et c’est ce pour quoi le gouvernement compte y faciliter l’accès. Ainsi, dans le cadre du projet de loi C-2, trois nouvelles prestations (annoncées le mois dernier) seront créées pour ceux qui ne pourront pas compter sur « l’assurance-emploi modifiée ».

Voici les différentes aides financières gouvernementales qui pourront être accordées:

Assurance-emploi modifiée

  • Accessible après seulement 120 heures travaillées, quel que soit le taux de chômage dans la région habitée.
  • Le chômeur pourra recevoir 400 $ par semaine, au minimum, et ce, pendant 26 semaines.

Prestation canadienne de maladie pour la relance économique (PCMRE): 10 jours de congé de maladie

  • 10 jours de congé de maladie payés aux travailleurs, à raison de 500 $ par semaine, pendant une ou deux semaines.
  • Une déclaration en ligne sera suffisante, pas besoin d’un certificat médical — le gouvernement fédéral se fie sur l’honnêteté du citoyen.

Elle reste cependant inaccessible si l’employeur ou une assurance couvre déjà les congés de maladie du travailleur.

Prestation canadienne de la relance économique (PCRE)

  • 500 $ par semaine, disponibles pendant 26 semaines, jusqu’au 26 septembre 2021.
  • Il sera possible de travailler tout en recevant la PCRE.
  • Si le revenu annuel dépasse 38 000 $, le travailleur devra toutefois rembourser 50 cents pour chaque dollar de prestation.

Prestation canadienne de la relance économique pour proche aidant (PCREPA)

  • 500 $ par semaine pour ceux qui se retrouvent obligés de s’occuper d’un enfant, dont l’école ou la garderie ferme.
  • Les parents qui garderont leurs enfants à la maison par choix n’y auront cependant pas accès.

Toutes les demandes pour ces trois nouvelles prestations pourront être soumises à partir d’octobre, et elles seront toutes disponibles pendant un an (jusqu’en septembre 2021).

Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site du Gouvernement Canadien et de la PCU.

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COVID-19: Trudeau reprend les points de presse quotidiens en vue d’une 2e vague

À compter d’aujourd’hui, vendredi 25 septembre, notre premier ministre, Justin Trudeau, se joindra à nouveau aux responsables de la santé publique du Canada pour leurs points de presse quotidiens sur la pandémie de la COVID-19 au pays.

Trudeau recommencera ainsi à tenir des mises à jour sur une base régulière, aux côtés de l’administratrice en chef de la santé publique, la docteure Theresa Tam, et son adjoint, le docteur Howard Njoo — un signe indiquant la gravité de la situation face à l’arrivée de la « deuxième vague » de COVID-19 au Canada.

Right now, we have an opportunity to contain the COVID-19 pandemic and build back better. When it comes to our health, the economy, jobs, equality, and the environment, we must take bold action. Here’s our plan to meet the challenges we’re facing: https://t.co/c1UBwqF7mI. More ⤵️

— Justin Trudeau (@JustinTrudeau) September 23, 2020

Pour le point d’aujourd’hui, il est prévu que le premier ministre fasse « une annonce sur les efforts continus de son gouvernement pour protéger les Canadiens et lutter contre la propagation du nouveau coronavirus ».

On se rappelle que lors de la première vague au printemps dernier, notre premier ministre au fédéral avait tenu des conférences de presse chaque jour au moment où le virus connaissait son apogée; mais avait ensuite graduellement espacé celles-ci, avant qu’elles ne finissent par se dissiper complètement, lorsque la pandémie s’est momentanément essoufflée au cours de l’été.

Alors que le virus est de retour en force depuis les dernières semaines, et que le nombre de cas confirmés a rapidement décuplé dans les quatre plus grandes provinces au pays, Trudeau déclarait mercredi dernier qu’une deuxième vague pourrait s’avérer encore pire que celle qui avait entraîné un confinement généralisé au Canada.

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COVID-19: Finis les partys, les rassemblements et les réunions de famille…

Alors que la province connaît actuellement une recrudescence quant au nombre de cas de COVID-19, le premier ministre François Legault expliquait hier, 16 septembre 2020, lors d’un point de presse que, pour le moment, il est « difficile pour le gouvernement, les policiers ou qui que ce soit de pouvoir contrôler la situation dans les maisons. » « Est-ce qu’on demande aux policiers de rentrer sans mandat dans les maisons ? Ce n’est pas simple » ajoutait-il.

Et il a bien raison. Essayer de remédier à la propagation fulgurante du virus des dernières semaines dans plusieurs rassemblements privés est un sujet délicat, puisqu’au Québec, pour pouvoir entrer dans les maisons, un mandat est nécessaire.

Mêlée de presse | 16 septembre 2020

🔴 EN DIRECT | Je réponds aux questions des journalistes. 🎥 Suivez ma mêlée de presse 👇

Posted by François Legault on Wednesday, September 16, 2020

Toutefois, selon La Presse, monsieur Legault aurait confirmé que « des discussions sont bel et bien en cours entre la Sécurité publique et le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) pour se doter de meilleurs moyens d’intervention dans les demeures », tandis que les événements de grands groupes seraient en majeure partie responsables pour cette reprise de force du coronavirus à travers la province.

Ainsi, les policiers pourraient bientôt obtenir le pouvoir d’imposer des grosses amendes, et ce, sur-le-champ, pour des rassemblements à domicile de plus de 10 personnes. Contrairement, à l’heure actuelle, un policier doit d’abord rédiger un rapport d’infraction général qui est ensuite transmis au DPCP, et peut mener à une amende de 1000 $ à 6000 $. Le constat n’est cependant pas remis instantanément au contrevenant.

Le DPCP autoriserait notamment les corps policiers à sévir à l’aide de « constats rapides », ou « constats portatifs », et ceux-ci interviendraient uniquement à la suite de plaintes — les autorités en question ne feront donc pas de « pêche au hasard » en frappant aux portes de façon aléatoire pour procéder à des inspections.

Il s’agirait pour le moment du « moyen privilégié » par le gouvernement québécois afin d’intervenir pour restreindre les rassemblements dans les résidences privées — qu’il s’agisse de réunions de famille, de soupers ou de partys entre amis.

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COVID: Le mystère de la perte d’odorat élucidé

Ce symptôme appelé anosmie est l’un des premiers à affecter les malades du coronavirus.

Les scientifiques de l’École de médecine de l’université de Harvard aux États-Unis ont analysé diverses bases de données pour trouver que la COVID-19 attaque des cellules qui supportent certains neurones qui détectent et transmettent le sens de l’odorat au cerveau.

«Nos recherches indiquent que le nouveau coronavirus change le sens de l’odorat des patients, non pas en infectant directement les neurones, mais en infectant les fonctions des cellules les supportant», explique un professeur de neurobiologie, coauteur de l’étude.

La bonne nouvelle selon les chercheurs, c’est qu’il est improbable que le virus puisse causer des dommages permanents au circuit neural olfactif et que les patients devraient retrouver leur sens de l’odorat.

«Je pense que c’est une bonne nouvelle, car lorsque l’infection est guérie, le circuit neural olfactif n’aura pas à être remplacé ou rebâti de toute pièce», ajoutent les scientifiques dans un communiqué.

Les chercheurs ajoutent qu’ils «ont besoin de plus de données pour avoir une meilleure compréhension des mécanismes sous-jacents pour confirmer cette conclusion».

L’étude de l’université de Harvard a été publiée hier dans le journal Science Advances.

Photo : Cover Images