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Art de vivre

Nouveauté : Des masques pour cocktails

Ces
masques qui permettent d’y entrer une paille pourraient être en
demande alors que le déconfinement
progressif
s’installe dans plusieurs régions du monde.

Comme
de nombreux
designers de mode
, l’artiste Ellen Macomber s’est mise à
faire des masques de protection. La designer habite La Nouvelle-Orléans aux
États-Unis, l’une des villes les plus festives du monde. C’est ainsi que l’idée
de créer ces masques
2.0
lui est venue.

Les
masques-cocktails intègrent un petit trou à anglerecouvert
d’un volet. Cela
permet d’y faire pénétrer une paille pour siroter sa
consommation. Lorsque la paille
est retirée, le volet recouvre l’ouverture et le masque redevient étanche.

Ellen
Macomber a pris soin d’indiquer que ses masques-cocktails ne sont pas conçus
pour les professionnels de la santé, mais qu’ils constituaient tout de même une
protection minimale pour les gens qui veulent socialiser à distance.

Photo : Ellen Macomber

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Divertissement

Les créateurs de «Tiger King» s’intéressent à Siegfried & Roy

Le
projet aurait reçu un coup d’accélérateur à la suite du décès dans les derniers
jours de Roy
Horn
du coronavirus.

Selon
ce qu’a appris le Hollywood
Reporter
, le projet télé reviendrait sur l’énorme succès du duo Siegfried
& Roy alors qu’il présentait un spectacle permanent au Mirage Resort and
Casino
de Las
Vegas
de 1990 à 2003.

En
2003, les activités de Siegfried & Roy avaient été dramatiquement arrêtées
lorsque Roy Horn avait été attaqué sur scène par l’un de
leurs tigres
blancs
.

L’événement
tragique avait gravement blessé Horn, le laissant partiellement paralysé. Ce n’est qu’à la
suite de nombreuses interventions
chirurgicales
que le magicien avait
pu remarcher en
2006
.

Le
vendredi 8 mai dans
un hôpital de Las Vegas, Roy Horn est décédé du coronavirus à l’âge
de 75 ans.

Photo : Cover Images

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Divertissement

Shanghai Disneyland rouvre ses portes

Signe encouragent en ces temps de pandémie, un premier parc d’attractions de Disney vient d’accueillir ses premiers visiteurs après des mois de confinement.

Shanghai Disneyland est la première attraction touristique d’envergure à renouer avec sa clientèle en Chine. Le pays qui a été le premier touché par la CoVID-19 tente de se déconfiner prudemment.

La prudence est justement le mot d’ordre dans cette réouverture. Tous les visiteurs subissent un test température avant d’entrer sur le site. Ils doivent dorénavant porter un masque de protection, dont certains aux couleurs de Disney, et respecter les règles de distanciation physique.

La capacité d’accueil du parc a été revue à la baisse. Normalement, 80 000 visiteurs et 12 000 employés se côtoient sur le site. Pour cette ouverture, la capacité de Shanghai Disneyland avait été réduite à 30%.

Malgré cela, la majorité des manèges étaient en service. Seuls les jeux pour enfants interactifs n’étaient pas accessibles.

Les personnages mythiques de l’univers de Disney, comme Mickey ou Donald, étaient tous de retour au poste. Il n’était pas cependant possible de se faire prendre en photo rapprochée avec eux. Malgré tout, les sourires des petits étaient au rendez-vous.

Photo : Cover Images

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Actualité

Des caméras pour «sentir» le coronavirus

L’avionneur a conçu à l’origine ces caméras pour la détection d’explosifs ou d’éléments bactériologiques qui pourraient être embarqués dans ses appareils par des terroristes.

Ce type de caméras ultra-sensibles a déjà été utilisé pour détecter certains cas de cancer et l’influenza.

Selon Airbus et son partenaire dans ce projet, Koniku, les progrès réalisés par ses ingénieurs laissent présager qu’ils vont réussir à adapter les capteurs de ces caméras qui utilisent des microprocesseurs faits de cellules biologiques qui sont en mesure d’identifier certains composés chimiques ou des microbes qui flottent dans les airs.

Les caméras d’Airbus et Koniku ont été inventées en 2017. Elles font partie de l’arsenal de l’avionneur pour rendre plus sécuritaire le monde aérien.

À terme, selon le communiqué d’Airbus, les caméras pourraient émettre une alarme en moins de 10 secondes lorsque des molécules spécifiques de la CoVID-19 seraient détectées. 

Un tel système de détection serait plus rapide et moins cher que les actuels tests effectués auprès de la population potentiellement infectée.

Photo : Airbus/Koniku

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Disney lance des masques pour la bonne cause

Jusqu’à un million de dollars (US) sera recueilli avec la vente de ces masques et remis à l’organisme MedShare.

Disney met à profit les personnages de ses différentes filiales Pixar, Marvel et Star Wars pour créer ces masques. Ainsi, certains masques reprennent les images de R2D2, Hulk, Winnie The Pooh, Mickey Mouse ou Captain America.

Ces nouveaux masques réutilisables et lavables de Disney répondent aux exigences sanitaires du CDC américain, l’agence de santé publique.

Les masques sont vendus en précommandes au coût de 19,99 $ (US) pour quatre masques. Ils peuvent être commandés en trois tailles, petits, moyens ou grands. Ces masques peuvent être livrés au Canada, moyennant des frais de transport. Ils devraient être livrés en juin.

Photo : Disney

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Des masques de vedettes pour la bonne cause

Depuis quelques heures, vous pouvez acheter des masques de protection personnalisés contre le coronavirus et ainsi venir en aide aux musiciens qui sont durement touchés par l’arrêt des activités culturelles partout dans le monde.

Alors que la santé publique recommande maintenant le port d’un masque de protection personnel lorsqu’on se trouve dans un endroit où la distanciation physique est difficile, comme les transports en commun, l’industrie de la musique veut en profiter pour venir en aide à des musiciens en difficulté.

Lancée par Universal Music Group, cette initiative appelée «We’ve Got You Covered» vous permet de mettre la main sur un masque aux couleurs d’Ariana Grande, Justin Bieber, Billie Eilish, The Weeknd, ou des Rolling Stones, par exemple.

Les masques de protection sont vendus 15$ l’unité

Tous les profits engendrés seront remis à l’organisme MusiCares, qui aide les musiciens dans le besoin.

Photo : We’ve Got You Covered

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L’industrie de l’aviation cherche des solutions

Majoritairement clouée au sol depuis plus d’un mois, l’industrie de l’aviation cherche à adapter ses pratiques pour un retour prochain à ses activités. Des innovations pourraient attendre les passagers lorsqu’ils monteront à bord.

Déjà, les passagers doivent s’attendre à une expérience différente lorsqu’ils prendront leur prochain vol. Un peu comme le 11 septembre 2001 avait totalement modifié les règles de sécurité avant de monter à bord, la COVID-19 et la distanciation physique vont aussi avoir un impact important sur les façons de faire.

Déjà cette semaine, la compagnie Emirates Airline a montré de nouvelles mesures, faisant passer des tests sanguins aux passagers avant qu’ils embarquent dans l’un de ses avions pour s’assurer qu’ils ne sont pas porteurs du virus.

Moins intrusives, d’autres initiatives s’attaquent à créer une distanciation physique entre les passagers. C’est le cas de la firme Aviointeriors qui se spécialise dans l’aménagement de la cabine des avions.

La société italienne propose à ses clients d’installer un bouclier fabriqué en plastique qui permettrait de créer une sorte de bulle autour de la tête des passagers. Cette solution offre une certaine intimité et ne nécessite pas une reconfiguration complète de l’appareil.

Toujours dans le même ordre d’idées, soit de ne pas trop changer la configuration des avions, une autre solution proposée est d’inverser le siège central d’une rangée, afin qu’il crée une barrière intime entre les passagers.

Certaines compagnies aériennes pensent aussi à ne pas vendre le siège central d’une rangée, afin de créer un espace plus important entre les deux passagers restants de cette rangée. Cette solution a le désavantage de diminuer du tiers la capacité d’un appareil.

Photo : Aviointeriors

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Un mois record pour les jeux vidéo

Le mois de mars 2020 restera dans les annales. L’industrie des jeux vidéo vient de connaitre son meilleur mois depuis 2008.

Alors que rester à la maison confiné(e) est devenu la norme depuis plusieurs semaines, les ventes de consoles, de jeux ou d’accessoires ont augmenté de 35 % en mars, pour atteindre 1,6 milliard de dollars (US) dans le monde.

Selon NPD Group, c’est la console Nintendo Switch qui profite le plus de ce phénomène, doublant ses ventes par rapport à l’an dernier. Signe que les écoles sont fermées, la console japonaise qui s’adresse surtout aux plus jeunes consommateurs a surpassé les ventes effectuées lors de son lancement.

En mars 2020, les jeux les plus vendus dans le monde ont été «Animal Crossing: New Horizon» sur Nintendo et «Call of Duty: Modern Warfare» sur tous types de consoles.

L’intérêt pour les jeux vidéo ne risque pas de s’atténuer dans les prochains mois. En plus du confinement qui devient un nouveau mode de vie, les poids lourds Sony et Microsoft préparent l’arrivée de leur console de nouvelle génération.

Sony a commencé à ébruiter certains détails sur la future PlayStation 5. Se voulant plus interactive, elle devrait être offerte à temps pour Noël 2020.

De son côté, Microsoft fait moins de cachettes sur la Xbox Series X. La nouvelle console qui sera aussi offerte à Noël 2020 change de look et promet des performances améliorées.

Photo : Facebook

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COVID-19: Près du tiers des Américains croient à un complot

Ces résultats surprenants ont été tirés d’un sondage réalisé par Pew Research Center, un organisme indépendant et non partisan aux États-Unis.

Preuve que la désinformation est encore bien présente, malgré les points de presse réguliers des autorités sanitaires et gouvernementales, de très nombreuses personnes doutent de la véracité des informations officielles et préfèrent se référer à des opinions proférées par des complotistes.

L’origine exacte du coronavirus n’est pas encore connue, mais les scientifiques poursuivent leurs enquêtes. Les experts croient que la COVID-19 provient des chauves-souris et aurait pu être transmise à l’humain par un intermédiaire animal.

Malgré cela, un nombre important de personnes croient à un complot. Pew a interrogé 8914 adultes entre le 11 et 16 mars pour réaliser ce sondage. 29% des répondants sont convaincus que le virus mortel a été créé de toutes pièces en laboratoire. 23% des personnes interrogées pensent que le coronavirus a été créé intentionnellement.

Les personnes âgées de 19 à 29 ans sont celles qui croient le plus au complot (35%). Les gens de 65 ans et plus sont les plus rationnels (21%).

Le président républicain Donald Trump, qui lui-même disait au début que le virus n’était «pas plus grave qu’une grippe» et qu’il partirait «par miracle», est peut-être lui-même un facteur de désinformation.

En effet, les répondants au sondage d’allégeance républicaine croient à un complot dans une proportion de 37%, contre 21% pour les personnes d’allégeance démocrate.

Photo : Cover Images

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Coronavirus: Le patron de Twitter fait un don de 1 milliard (US)

L’homme d’affaires donne 28% de sa fortune pour enrayer la pandémie mondiale de la COVID-19.

L’homme de 43 ans en a fait l’annonce dans une série de publications sur son réseau Twitter.

Jack Dorsey a vendu des actions de ses deux compagnies pour financer ce don, le plus important don privé à ce jour au monde.

«L’impact de cet argent sera bénéfique à long terme pour les deux sociétés, car il va aider les gens que nous desservons», écrit l’homme d’affaires.

Le milliard de dollars sera affecté à combattre le virus dans un premier temps.

«Lorsque nous aurons endigué la pandémie, l’argent restant ira à améliorer la santé des jeunes filles et à l’éducation», a indiqué Dorsey. 

«Ces deux causes représentent les meilleures solutions à long terme pour faire face aux futurs problèmes du monde.»

Ce don extraordinaire de Jack Dorsey survient alors que le monde s’apprête à franchir la barre des 1,5 million de personnes infectées à la COVID-19. Plus de 83 000 personnes en sont décédées.

Photo : Cover Images