À chaque yogourt ses propriétés
Un article publié sur le site du Daily Mail mentionne que plusieurs types de yogourts peuvent contribuer à une bonne santé.
D’abord, si vous souffrez d’un syndrome du colon irritable, la marque Activia serait le yogourt à consommer puisqu’il contient une souche de bactérie qui accélère le transfert des aliments vers l’intestin.
Si vous souffrez de haute pression, il vous faut du yogourt aux bleuets. Ces fruits contiennent des proanthocyanidines, qui aident à garder les vaisseaux sanguins détendus, réduisant ainsi la pression sanguine.
Aussi, si vous faites de l’embonpoint et souhaitez perdre du poids, vous devriez prendre du yogourt grec 0 %. Avec ses 57 calories par 100 grammes, il ne contient pas de gras, mais une multitude de protéines. De plus, il est réputé pour couper la faim.
Toutefois, si vous avez un haut taux de cholestérol, vous devriez essayer le yogourt de marque Benecol, qui contient des stanols végétaux, des substances qui capturent le cholestérol avant qu’il ne soit absorbé par le corps.
Rappelons qu’une récente étude prétend qu’une portion quotidienne de yogourt enrichi de vitamine D améliore les marqueurs inflammatoires des diabétiques de type 2.
Des mères sous leur vrai jour
Tannée des demandes exigeantes et des messages subliminaux d’une société trop médiatisée qui prône chirurgie esthétique et Photoshop, une mère du Royaume-Uni a décidé de lancer un site internet où les femmes qui ont déjà accouché peuvent partager photos et discussions en toute liberté, sans artifices et jugements.
En effet, Theshapeofamother.com révèle au grand jour des parties du corps dont plusieurs peuvent avoir honte en raison de l’exposition à des publicités et vedettes représentant le corps de déesses deux semaines après l’accouchement.
« Je me suis rendue compte qu’un corps qui vient d’accoucher est l’un des secrets les mieux gardés de notre société », s’est offusquée Crowder, mère de deux enfants, devant des journalistes de MSNBC.
« Tout ce qu’on voit, ce sont des corps féminins parfaits et retouchés. Et si on ne ressemble pas à ça, on doit le cacher honteusement », ajoute-t-elle.
Pour tenter de bien montrer la réalité et permettre aux femmes de se sentir belles alors qu’elles ont fait ce qu’il y a de meilleur, soit le don de soi pour donner la vie, la maman anglaise invite toutes les femmes à montrer fièrement cicatrices de césarienne, vergetures, seins et ventre mous.
Dans une étude publiée en ligne par The Lancet, des chercheurs des universités de Toronto et du Texas invitent les médecins qui traitent les enfants brûlés à donner plus d’attention, être plus vigilants et améliorer la thérapie pour ces patients.
Les spécialistes recommandent notamment que les patients pédiatriques atteints de brûlures couvrant plus de 60 % de leur corps soient immédiatement transférés dans un centre spécialisé pour grands brûlés.
De plus, l’enfant en question et sa famille devraient pouvoir bénéficier d’un meilleur suivi psychologique postbrûlures.
Sur un total de 123 952 morts infantiles à l’hôpital Shriners pour enfants aux États-Unis, entre 1998 et 2008, les enfants brûlés du groupe de 30-39 % TBSA ne représentaient que 3 % des décès, tandis que ceux du groupe de 90-100 % TBSA en représentaient 55 %.
Des cas de septicémie et de défaillances multiviscérales ont été trois à quatre fois plus diagnostiqués chez les enfants qui se sont retrouvés dans le groupe des brûlés à 90-100 % de leur corps.
Les chercheurs ont également constaté que la présence et la concentration de nouveaux biomarqueurs pour la fonction des organes, du métabolisme et du contrôle de l’inflammation dépendaient en grande partie du fait que le patient avait des brûlures au-dessus ou en dessous du seuil de 62 % TBSA.
Les nouvelles techniques de greffage, les traitements médicamenteux et les méthodes d’amélioration des soins ont permis de sauver davantage de vies depuis le début des années 90. Cependant, les chercheurs affirment qu’il reste du travail à faire afin de répondre au taux élevé de mortalité des personnes atteintes de brûlures couvrant plus de 60 % de TBSA.
Des chercheurs du Kennedy Krieger Institute viennent de présenter leurs résultats quant à une thérapie combinée pouvant venir en aide aux enfants atteints de lésions cérébrales. Cette méthode pourrait aussi être appliquée aux adultes atteints d’un AVC ou d’autres conditions qui se retrouvent avec un déficit de marche.
Le principe de cette thérapie est que l’on apprend de ses erreurs, que la pratique, en somme, est la clé du succès.
Comme on l’explique dans The Journal of Neuroscience, lorsqu’on force un sujet à marcher sur un tapis roulant selon un modèle inhabituel, il devient plus apte à suivre la forme habituelle de marche le jour suivant.
C’est en faisant marcher des sujets sur un tapis roulant à double courroie que les chercheurs ont remarqué cet effet. Ce type de tapis oblige la personne à bouger l’une de ses jambes plus rapidement que l’autre.
Habituellement, pour réapprendre à marcher, on nous explique et montre comment il faut le faire, puis on pratique, et on pratique encore. La présente étude prouve, au contraire, qu’il est plus efficace d’appliquer une méthode combinée appliquant la règle de l’essai-erreur.
La technique ainsi créée est porteuse de grands espoirs quant aux enfants – et aux adultes – qui se retrouvent avec une faiblesse sur un côté du corps.
Les vêtements offerts en magasins et en ligne destinés aux petites filles sont encore trop séduisants ou proposent une image d’objet sexuel dans une mesure de 30 %. C’est le constat auquel sont arrivés des chercheurs du Kenyon College en Ohio. Leurs résultats sont parus dernièrement dans Sex Roles.
Les chercheurs ont finalement remarqué que la sexualisation des vêtements se définissait particulièrement par l’accent mis sur certaines parties du corps, comme des coupes faisant en sorte que la poitrine était mise en valeur, donnant ainsi l’idée de seins formés.