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La gestion du stress aidée par les amis

Selon une étude des Pays-Bas parue dans Child Development, les amis d’un enfant qui va à l’école primaire l’aident dans sa gestion du stress. On vient de démontrer que l’amitié peut atténuer les effets négatifs d’un rejet social vécu par l’enfant.

On a, pour tirer cette conclusion, évalué le taux de cortisol auprès d’une centaine d’enfants de quatrième année. Il s’agit d’un âge clé en ce qui concerne l’importance des relations d’amitié et le niveau de stress que peut engendrer un rejet social.

Rappelons ici que le cortisol est considéré comme l’hormone du stress chez l’humain. Un taux élevé de cortisol nous aide à nous adapter à des circonstances changeantes, pour ainsi mieux répondre à des agents stressants. S’il est trop élevé, toutefois, il peut entraîner des effets néfastes sur notre santé, notamment sur notre système immunitaire.

Il s’est donc avéré, dans la présente étude, que les enfants qui avaient été reconnus comme exclus par leurs camarades ont présenté des taux élevés de cortisol, ponctués d’une légère baisse pendant la journée. Les enfants concernés qui avaient peu d’amis ou qui ne forgeaient pas de réelles amitiés ont eu des résultats encore plus marquants.

Toutefois, la victimisation n’a pas été reliée à de plus hauts taux de cortisol. Cela sous-entend que cette situation n’est pas aussi stressante que l’exclusion elle-même.

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Comment réduire le stress de notre enfant

Selon une recherche de l’University of Chicago, le stress vécu à l’école, que ce soit lors d’un examen ou pendant une activité sportive, peut entraver la réussite scolaire. On lit dans Emotion qu’un simple changement de perception pourrait toutefois changer la donne.

D’après les résultats des experts, il semble que le cortisol, une hormone du stress, peut à la fois être relié à un faible résultat et constituer un facteur de réussite. Cela ne dépendrait que de l’état d’esprit de l’enfant.
 
C’est la première fois que l’on établit un lien entre la mémoire, l’anxiété (quant à un test de mathématiques) et le cortisol. Soixante-treize élèves ont été évalués lors de cette expérimentation.
 
Afin de maîtriser son stress et ainsi s’en servir pour mieux réussir, notre enfant pourrait donc changer sa perception de la situation selon deux méthodes. Il peut soit écrire sur ses angoisses avant de faire un test, soit se rappeler un moment où il a vécu une réussite.
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La dépression de maman est un facteur de stress

Selon Psychological Science, un tout-petit peut ressentir beaucoup de stress par rapport au comportement et à l’état de santé de ses parents, et ce, lorsqu’il est à peine âgé de trois ans.

Une étude parue dans cette revue scientifique a en effet démontré qu’une hormone de stress était fortement présente dans la salive d’enfants de cet âge.
 
Les jeunes participants qui étaient confrontés à des situations stressantes, même si elles étaient inoffensives, accusaient ainsi de hauts taux de cortisol.
 
On prenait cette mesure tout de suite après avoir provoqué un événement causant un certain stress aux enfants. Les chercheurs ont donc conclu que déjà à trois ans, les enfants étaient stressés par un parent dépressif qui les entourait d’émotions négatives.
 
Les réponses les plus fortes ont été observées avec la maman, lorsque celle des enfants avait un historique de dépression ou qu’elle démontrait de l’agressivité en jouant avec eux.
 
Toutefois, on note qu’il n’y avait pas suffisamment d’hommes dans le cadre de cette recherche pour détailler comment ils interagissent avec leur enfant. La dépression était aussi moins présente dans ce groupe.

Malgré tout, cette étude expose l’un des effets que la dépression d’un parent peut entraîner sur l’enfant.

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Les enfants du divorce plus à risques d’avoir une attaque

Les résultats d’une étude canadienne laissent croire que les enfants ayant vécu le divorce de leurs parents ont 2,2 fois plus de risques d’avoir une attaque. Les résultats de cette étude seront présentés à la rencontre annuelle de la Société américaine de gérontologie.

Une explication possible serait que le stress vécu à un jeune âge influerait sur une partie du corps responsable de la gestion physique du stress. Il en résulterait la perte de maîtrise du cortisol, d’où des problèmes de santé subséquents.

Il s’agissait de l’analyse d’un sondage de 2005 réalisé par Statistique Canada auquel avaient participé 13 134 adultes du Manitoba et de la Saskatchewan.

On a constaté cette différence chez les personnes ayant déjà vécu un divorce, et ce, en ayant éliminé d’autres facteurs de risque comme le tabagisme, l’alcool et l’obésité par exemple.

Par ailleurs, les responsables de l’étude précisent qu’il ne faut pas paniquer en regard de ces chiffres, car il ne s’agit encore que d’une corrélation. D’autres études sur le sujet devront suivre pour soutenir ces observations.

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Mesurer le niveau de stress par les cheveux

Nous le savons, le stress chronique est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires. Pour la première fois, des chercheurs ont trouvé le moyen de mesurer le niveau de stress chronique, et ce, grâce aux cheveux.
 
Jusqu’ici, il était possible de mesurer le niveau de cortisol, l’hormone du stress, par l’urine, le sang ou la salive, mais cela indiquait seulement le stress des derniers jours tout au plus.
 
Maintenant, en analysant les cheveux, il est possible d’établir le niveau de stress chronique sur une plus longue période, car les scientifiques ont découvert que le cheveu était un marqueur biologique pour le stress.
 
Selon le journal Stress, on a comparé les cheveux de 56 hommes admis aux urgences pour une crise cardiaque à 56 autres qui n’ont pas eu de crise. On note que le niveau de cortisol est nettement supérieur dans les cheveux de ceux qui ont été hospitalisés.
 
Maintenant, des recherches avec un plus grand nombre de personnes sont amorcées pour voir si on obtiendra les mêmes résultats.
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Les bébés exposés à la réglisse seront plus malades

Le Daily Mail rapporte une nouvelle étude sur les effets de la réglisse. Les bébés qui y sont exposés dans l’utérus de leur mère auront plus de chances de développer certaines maladies, une fois adultes.

Des experts ont testé le taux de cortisol d’enfants âgés de huit ans. Le cortisol est une hormone qui aide l’organisme à faire face au stress, mais malheureusement, elle est surtout associée au diabète, à l’hypertension artérielle et à l’obésité.

Selon l’étude londonienne du Great Ormond Street Hospital et de l’Université de Helsinki, les enfants dont les mères ont mangé de la réglisse durant leur grossesse avaient un taux de cortisol un tiers plus élevé que ceux dont la mère n’a jamais consommé cette friandise.

Ce taux se retrouvait chez les enfants dont les mères avaient mangé un demi-gramme et plus de réglisse par semaine.

On croit que les ingrédients contenus dans la réglisse, dont la glycyrrhizine, affectent le mécanisme qui régule les niveaux hormonaux. Il est donc fortement recommandé aux femmes enceintes de s’abstenir de consommer de la réglisse.

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Les conséquences de la dépression chez les nouveau-nés

Selon des chercheurs du Laboratoire du sommeil et de chronophysiologie associé à l’Université du Michigan, les femmes souffrant de dépression lors de l’accouchement sont plus à risque d’avoir un poupon qui aura des troubles du sommeil.

Lors de leurs six premiers mois d’existence, ces bébés auront plus de difficulté à s’endormir et auront un sommeil interrompu, comparativement aux nouveau-nés dont la mère n’est pas dépressive. Ce phénomène a été observé la nuit, mais également le jour, où la durée des siestes est plus courte.

Selon l’auteure de la recherche, la Dre Roseanne Armitage, les troubles du sommeil chez les bébés pourraient être causés par le cortisol, une hormone liée au stress que la mère sécrète davantage lorsqu’elle est touchée par la dépression.

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Le syndrome d’Asperger lié à une hormone?

Selon des chercheurs de l’Université de Bath, en Angleterre, un faible taux de cortisol pourrait causer le syndrome d’Asperger, un trouble envahissant du développement.

L’équipe du Dr Mark Brosnan a remarqué que les enfants atteints de ce syndrome présentaient un taux plus faible de cette hormone à leur réveil et que le niveau de cortisol ne cessait de baisser au cours de la journée.

« Nous croyons que la différence dans cette hormone liée au stress pourrait être significative pour expliquer le syndrome d’Asperger chez les enfants qui sont moins capables de gérer les changements imprévus », a expliqué le Dr Brosnan.

Selon le chercheur, les symptômes de cette maladie sont exacerbés par le stress et l’hypothèse du cortisol pourrait être explorée davantage comme piste de solution.

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Les effets du cortisol

Une recherche, dont les résultats complets se retrouvent dans la revue scientifique Biological Psychiatry, démontre que les adolescents peuvent aussi évoquer les hormones pour justifier leurs sautes d’humeur.

Dans leur cas, il s’agit du cortisol, une hormone sécrétée dans le cortex surrénal du cerveau, qui contrôle le niveau de stress.

Des chercheurs ont analysé les réactions cérébrales de jeunes hommes lors d’un jeu vidéo stressant et frustrant. Ils ont observé qu’un déficit de cortisol causait des sautes d’humeur.

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Le bonheur pour un corps en santé

Une recherche publiée dans l’American Journal of Epidemiology et effectuée auprès de 3 000 sujets britanniques démontre que les personnes optimistes et positives ont un plus faible taux de cortisol, une hormone associée au stress. Lorsqu’on retrouve beaucoup de cortisol au sein du cortex surrénal, on remarque un risque élevé de haute pression sanguine, d’obésité et des dysfonctions dans le système immunitaire.

L’équipe du Dr Andrew Steptoe, de l’University College London, a remarqué que les personnes qui vivent des émotions positives sont en meilleure santé que celles stressées, hostiles et pessimistes.

Le Dr Steptoe croit que les personnes heureuses ont un style de vie plus sain, ce qui pourrait expliquer ce phénomène. « Le bonheur est associé à des réponses biologiques bénéfiques pour l’état de santé général », a-t-il ajouté.