Étiquette : cosmétiques

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Encore des dangers quant à des produits pour bébé

Selon Le Monde.fr, on trouve plusieurs centaines de produits pharmaceutiques sur le marché contenant des parabènes.

Rappelons que ces substances éthérées sont souvent utilisées comme agents de conservation dans les médicaments, les cosmétiques et certains aliments. Ils servent à prévenir le développement de champignons et de micro-organismes nocifs dans le corps humain.
 
Or, les parabènes sont pointés du doigt pour être potentiellement toxiques, voire cancérigènes. S’accumulant dans l’organisme, ils auraient des effets néfastes à long terme.

Pourtant, on les retrouve dans de nombreux produits destinés aux bébés, dont des cosmétiques, des pansements gastriques, des sirops antitussifs ainsi que des traitements médicaux. On les retrouverait aussi dans certains médicaments contre la nausée destinés aux femmes enceintes.

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Beaucoup de substances chimiques dans les produits hygiéniques

Un rapport de la Fondation David Suzuki démontre que plusieurs produits hygiéniques et cosmétiques (shampoings, savons, déodorants, dentifrices et autres) contiennent de nombreuses substances chimiques dangereuses pour la santé, et ce, sans aucune indication sur les emballages.
 
Les chercheurs ont identifié 12 groupes de substances qui devraient être évitées dans la composition des produits et que la grande majorité contenait pourtant.
 
La Fondation David Suzuki demande au gouvernement d’intervenir dans les règles d’étiquetage des produits, mais recommande aussi aux fabricants d’utiliser des substances plus sécuritaires.
 
Avec les nombreuses avancées technologies, il existe aujourd’hui des options plus saines qui ne sont pas novices pour la santé humaine.
 
Ces substances chimiques sont étroitement liées au développement de certains cancers, au dysfonctionnement du système de reproduction, à l’asthme et à de graves allergies.
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Nouvelles règles pour les cosmétiques destinés aux enfants

Après un débat de deux ans sur la toxicité possible des ingrédients contenus dans les cosmétiques destinés aux tout-petits, voilà que les autorités prennent position et donnent de nouvelles règles.
 
L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) dit que les produits cosmétiques ne doivent pas être utilisés sur les bébés nés avant 37 semaines. « Considérant la perméabilité cutanée et l’immaturité métabolique de ces enfants, l’Agence recommande de ne pas utiliser de produits cosmétiques lorsque le prématuré se trouve en service de néonatalogie », disent les autorités par voie de communiqué.
 
De plus, on recommande une grande vigilance pour l’utilisation de l’ensemble des produits cosmétiques sur les bébés de moins de trois ans. Ces jeunes enfants n’ont pas le même type de peau que les adultes et certains produits peuvent être irritants ou encore produire des effets indésirables. Les fréquences d’utilisation devraient être réduites au minimum.
 
L’Agence demande également aux fabricants de réduire le plus possible le nombre d’ingrédients qui entrent dans la fabrication des produits et de produire pour chacun d’eux un profil toxicologique connu. Avant qu’un produit soit mis en vente, il devra avoir été soumis à des tests cliniques afin de s’assurer de la tolérance et de l’acceptabilité cutanée.
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Attention aux cosmétiques pour enfants!

L’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) émet de nouvelles recommandations quant à l’utilisation des produits cosmétiques pour les enfants de moins de trois ans. De plus, l’agence s’interroge sur la toxicité des ingrédients contenus dans ces produits.
 
Les gels nettoyants, les laits de toilette, les crèmes et les lingettes nettoyantes sont extrêmement populaires auprès des parents. Dans certaines maternités, des échantillons sont même distribués gratuitement et ceci fait l’objet d’un débat en Europe.
 
L’Afssaps devra se pencher sur la question de l’hygiène corporelle des tout-petits avec des professionnels prochainement, mais en attendant, elle recommande de ne pas utiliser ces produits, surtout sur la peau des bébés prématurés. Ces derniers ont une peau trop perméable et leur métabolisme n’est pas encore parfaitement en fonction pour que ces produits soient utilisés sur eux.
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Les femmes dépensent beaucoup en maquillage

Selon ce que rapporte Daily News, une étude prouve que la plupart des femmes dépenseront environ 13 000 $ en maquillage durant toute leur vie.

Cette nouvelle étude démontre qu’une femme dépense environ 180 $ chaque année pour des cosmétiques pour une moyenne de 65 années de vie.

Dans toute leur vie, les femmes dépenseront en moyenne 1 466 $ pour des rouges à lèvres, 3 120 $ pour des mascaras et 2 274 $ pour des ombres à paupières. La plupart d’entre elles font les boutiques environ cinq fois par année pour du nouveau maquillage.

L’étude, réalisée par le magasin britannique de cosmétiques Superdrug, révèle également que 70 % des femmes ne quittent jamais la maison sans leurs essentiels à maquillage, soit un brillant à lèvre et un ligneur pour les retouches. De plus, 50 % de ces femmes affirment porter du maquillage 7 jours sur 7, 24 heures par jour.

Un peu plus de 40 % des répondantes avouent même qu’elles seraient embarrassées si un ami ou un collègue de travail les voyait sans maquillage.

Soulignons que cette étude a été réalisée auprès de 3 000 femmes pour obtenir ces résultats.

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H&M lance ses cosmétiques bios

La marque H&M a entamé un virage vert dernièrement en utilisant plus de matières naturelles et biologiques dans ses vêtements.
 
Dès le mois prochain, H&M pousse encore plus loin son audace environnementale afin de répondre à la demande de plus en plus grande des clients pour des produits bios.
 
H&M offrira une gamme de produits cosmétiques sous la bannière Ecocert comprenant des trousses de toilette en coton biologique proposées en deux formats et deux coloris.
 
Offerte dans les magasins H&M, la gamme de produits bios comprend des gels douche, des gommages, des laits pour le corps, des crèmes pour les mains et des baumes pour les lèvres. Ils sont tous proposés dans deux parfums, soit framboise et melon ou lavande et menthe. Leur emballage est entièrement recyclable.
 
Ecocert rejoint donc la collection croissante de produits biologiques de H&M, qui prouve qu’il est possible de créer des éléments mode tout en respectant l’environnement.
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Gare aux produits cosmétiques

Bien qu’ils paraissent inoffensifs, les produits cosmétiques peuvent s’avérer dangereux pour la santé.
 
Tout comme les aliments, ils ont une durée de vie limitée. Toutefois, 68 % des femmes affirment acheter de nouveaux pots seulement lorsqu’ils sont terminés, et ce, peu importe depuis quand ils sont ouverts. 72 % disent ne pas nettoyer leurs outils, comme les brosses et les pinceaux.
 
Pourtant, ce sont des produits dans lesquels des bactéries peuvent s’infiltrer et ainsi se transférer sur le visage et causer des irritations et même des infections.
 
Selon le journal britannique Daily Mail, un mascara contenant des bactéries peut provoquer une conjonctivite, des rougeurs, des démangeaisons et des enflures. Un mascara ne devrait pas être utilisé au-delà de six mois après avoir été ouvert, mais la plupart des femmes le gardent un an.
 
Le rouge à lèvres périmé peut donner des lèvres sèches, irritées et des cloques. Des pinceaux sales sont fertiles en micro-organismes qui peuvent causer l’herpès, la teigne ou un impétigo et même des maladies infectieuses.
 
En d’autres mots, éviter d’utiliser les mascaras au-delà de six mois après leur ouverture, tout comme les ombres et les fards au-delà de 18 à 24 mois. Les crayons se conservent environ 18 mois, les rouges à lèvres de 12 à 24 mois et les parfums pendant 36 mois environ.
 
Au-delà de ces dates, il est préférable de changer pour de nouveaux produits.
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Les cosmétiques dangereux pour la santé?

Selon une nouvelle recherche, il a été prouvé que la tradition britannique de collectionner les antiquités s’étend même jusqu’aux cosmétiques et aux articles de toilette.

Des experts d’un collège d’optométristes affirment : « Montrez-nous le sac à main d’une femme, et nous vous montrerons un rouge à lèvres de dix ans, un tube de mascara de cinq ans et de la crème hydratante pleine de bactéries nuisibles. »

Une conseillère optométriste au collège, Docteur Susan Blakeney, déclare : « C’est très ironique que les femmes passent autant de temps et d’argent pour les cosmétiques, pour se faire belles, et en les utilisant, elles s’exposent à des infections qui sont tout sauf attirantes. »

La recherche a également démontré que, quand une femme décide d’expérimenter une nouvelle marque de cosmétiques, elle est moins sujette à jeter l’ancien produit.

Toujours selon cette enquête, aujourd’hui, une femme sur cinq dans la fin trentaine ou début de la quarantaine aura utilisé pour son maquillage, un produit de plus de cinq ans.

Voici la durabilité des produits après ouverture selon Fashion Guide :

3 à 6 mois pour un mascara

6 à 8 mois pour des produits à base liquide, à base de crème, produits nettoyants et crème hydratante

1 an pour de la poudre, pour du fard à paupières, du fond de teint, du lustre pour les lèvres et du rouge à lèvres.

18 mois pour un crayon pour les yeux et pour les lèvres