Les sites incontournables
Nice
C’est la capitale de la Côte d’Azur. Face à la baie des Anges, la Promenade des Anglais est plantée de palmiers et longe la plage. Elle a été sponsorisée au début du XIXe siècle par les Britanniques totalement séduits par la douceur du climat. Des bâtiments Art Déco, dont l’hôtel Negresco et le casino le Rulh, sont les témoins de la Belle Epoque. Le Vieux Quartier de Nice, avec son marché aux fleurs et ses escarpements, mérite le déplacement pour sa vue panoramique sur la baie.
Monaco
Cette petite principauté souveraine (195 km2), accrochée à son rocher depuis le Moyen Age, est le lieu le plus « people » de la Côte d’Azur. Le palais Grimaldi, habitation du prince Albert II, se visite en saison estivale. Sa façade Renaissance et l’intérieur sont somptueux. Ne manquez pas la relève de la garde. Et la cathédrale de Monaco abrite le discret tombeau de Grace Kelly (1929-1982), star d’Hollywood avant d’être princesse de Monaco.
Cannes
La Croisette est la promenade qui longe la plage, face à la baie. On y trouve des palaces : Carlton, Martinez, Majestic et des boutiques de luxe. Elle mène au vieux port et au quartier du Suquet qui grimpe par des ruelles jusqu’à Notre-Dame d’Espérance, église du XVIe siècle. En face, les îles de Lérins délicieusement tranquilles se rejoignent par bateau pour un pique-nique bucolique.
Saint-Tropez
Ce village de pêcheurs a été lancé par des artistes au début du XXe siècle et sublimé par Brigitte Bardot, star de cinéma des années 60. Il offre aujourd’hui à ses visiteurs, en période estivale, un étonnant spectacle. Des yachts ostentatoires sont amarrés dans le vieux port en face des restaurants et des boutiques où se bouscule, depuis des lustres, toute une faune bariolée.
Le saviez-vous ?
Le jeu de boules
Le jeu de boules est associé au pastis et au farniente. Jeu de défi et d’honneur, il oppose deux équipes. Chaque joueur lance trois boules, le but étant de s’approcher au plus près du cochonnet lancé au début de la partie. Le dilemme éternel étant de décider si l’on pointe pour déloger l’adversaire ou si l’on tire pour se placer. Ce jeu donne lieu à des joutes verbales mémorables !
Le sens des mots… à table
Le pain bagnat est un sandwich local à base d’anchois et d’olives. La rouille, une sauce pimentée proposée avec la bouillabaisse de poissons. La Tropézienne n’est pas une habitante de Saint-Tropez, mais un gâteau fourré à la crème.
Les coups de coeur
Le musée Picasso, dans le château Grimaldi d’Antibes.
Le musée de l’Annonciade à Saint-Tropez qui expose des peintres nabis, fauvistes et cubistes.
Le musée Océanographique à Monaco.
Le cap Canaille qui domine la baie de Cassis.
A savoir avant de partir
La meilleure période : la Côte d’Azur est agréable toute l’année. En juillet et août, les touristes sont très nombreux. Privilégiez le printemps et l’automne.
Quelques précautions : les prix montent vite en été. Prenez le temps de comparer les offres.
N’oubliez pas d’emporter une tenue habillée ! On s’habille le soir dans les restaurants chics et, pour les hommes, une cravate pour aller au casino.
Étiquette : côte d’Azur
Les sites incontournables
Nice
C’est la capitale de la Côte d’Azur. Face à la baie des Anges, la Promenade des Anglais est plantée de palmiers et longe la plage. Elle a été sponsorisée au début du XIXe siècle par les Britanniques totalement séduits par la douceur du climat. Des bâtiments Art Déco, dont l’hôtel Negresco et le casino le Rulh, sont les témoins de la Belle Epoque. Le Vieux Quartier de Nice, avec son marché aux fleurs et ses escarpements, mérite le déplacement pour sa vue panoramique sur la baie.
Monaco
Cette petite principauté souveraine (195 km2), accrochée à son rocher depuis le Moyen Age, est le lieu le plus « people » de la Côte d’Azur. Le palais Grimaldi, habitation du prince Albert II, se visite en saison estivale. Sa façade Renaissance et l’intérieur sont somptueux. Ne manquez pas la relève de la garde. Et la cathédrale de Monaco abrite le discret tombeau de Grace Kelly (1929-1982), star d’Hollywood avant d’être princesse de Monaco.
Cannes
La Croisette est la promenade qui longe la plage, face à la baie. On y trouve des palaces : Carlton, Martinez, Majestic et des boutiques de luxe. Elle mène au vieux port et au quartier du Suquet qui grimpe par des ruelles jusqu’à Notre-Dame d’Espérance, église du XVIe siècle. En face, les îles de Lérins délicieusement tranquilles se rejoignent par bateau pour un pique-nique bucolique.
Saint-Tropez
Ce village de pêcheurs a été lancé par des artistes au début du XXe siècle et sublimé par Brigitte Bardot, star de cinéma des années 60. Il offre aujourd’hui à ses visiteurs, en période estivale, un étonnant spectacle. Des yachts ostentatoires sont amarrés dans le vieux port en face des restaurants et des boutiques où se bouscule, depuis des lustres, toute une faune bariolée.
Le saviez-vous ?
Le jeu de boules
Le jeu de boules est associé au pastis et au farniente. Jeu de défi et d’honneur, il oppose deux équipes. Chaque joueur lance trois boules, le but étant de s’approcher au plus près du cochonnet lancé au début de la partie. Le dilemme éternel étant de décider si l’on pointe pour déloger l’adversaire ou si l’on tire pour se placer. Ce jeu donne lieu à des joutes verbales mémorables !
Le sens des mots… à table
Le pain bagnat est un sandwich local à base d’anchois et d’olives. La rouille, une sauce pimentée proposée avec la bouillabaisse de poissons. La Tropézienne n’est pas une habitante de Saint-Tropez, mais un gâteau fourré à la crème.
Les coups de coeur
Le musée Picasso, dans le château Grimaldi d’Antibes.
Le musée de l’Annonciade à Saint-Tropez qui expose des peintres nabis, fauvistes et cubistes.
Le musée Océanographique à Monaco.
Le cap Canaille qui domine la baie de Cassis.
A savoir avant de partir
La meilleure période : la Côte d’Azur est agréable toute l’année. En juillet et août, les touristes sont très nombreux. Privilégiez le printemps et l’automne.
Quelques précautions : les prix montent vite en été. Prenez le temps de comparer les offres.
N’oubliez pas d’emporter une tenue habillée ! On s’habille le soir dans les restaurants chics et, pour les hommes, une cravate pour aller au casino.
« Le mimosa reste un pilier des parfumeurs, il peut devenir l’ingrédient secret d’un parfum », souligne Sébastien Plan, parfumeur matières premières à Grasse (sud-est de la France) chez Robertet, producteur international de compositions vendues aux maisons de parfums.
L’odeur capiteuse du mimosa, tombée en désuétude depuis son âge d’or des années 50 à 70, s’utilise aujourd’hui en dose infime, explique-t-il. L’heure est aux senteurs « plus subtiles, qui font bon, propre et lisse », résume cet expert.
« Le mimosa a une facette fleurie, fraîche, un peu poudrée, presque miellée, qui se mêle à l’odeur verte du branchage », analyse Sébastien Plan, qui privilégie l’odorante variété sauvage.
« L’absolu » de mimosa – le concentré utilisé par les créateurs – est produit chaque année en fonction de la demande. Une quarantaine de tonnes de récolte permettent à Robertet de produire 1 % (400 kg) de « concrète », une pâte issue du 1er extrait, dont un quart seulement deviendra de « l’absolu ».
Jean-Pierre Roux, patron de la maison de parfumerie grassoise Galimard, a choisi de rendre hommage à cette « image du terroir » en déclinant le mimosa dans une eau de Cologne rafraîchissante, populaire auprès des visiteurs durant la floraison des mimosas.
Le parfumeur de Galimard Caroline de Boutiny reconnaît que sa création au mimosa plaît davantage aux personnes âgées qu’aux jeunes. Si le puissant absolu de mimosa est désormais « peu utilisé dans les parfums modernes », il peut « donner de la lourdeur à une composition, avec ses notes miellées et poudrées », entrant par exemple dans des eaux de toilette signées Kenzo et Guerlain, note-t-elle.
Le produit se révèle onéreux pour les parfumeurs, qui disposent aussi de produits de synthèse proches du mimosa naturel.
L’usine Robertet achète d’ailleurs du mimosa d’Inde, moins cher, qui arrive directement à Grasse sous forme de « concrète ». Le mimosa sauvage des environs doit être transformé en revanche le jour de sa cueillette, car les fleurs se fanent rapidement.
Le cap des 1,5 million de touristes étrangers, non européens, a été franchi l’an dernier sur la Côte d’Azur (Monaco compris), selon le bilan présenté par son Comité régional du tourisme (CRT).
Les Chinois contribuent fortement à cette hausse de fréquentation, leurs nuitées ayant augmenté de 24 % sur un an. « La Chine a doublé son émission en trois ans et dépassera pour la première fois les 100.000 séjours en 2014 », souligne le CRT.
D’une manière plus globale, les vacanciers asiatiques se sont rués sur la Riviera française. Les nuitées du Japon et de l’Asie (hors Chine et Japon) ont augmenté de 19 % chacun.
Trois séjours étrangers sur dix sont aujourd’hui le fait de la clientèle non européenne. Un tiers des séjours sont réalisés par les Américains, et un sur cinq par les Russes.
Pour ces touristes au fort pouvoir d’achat, le shopping reste l’une des principales motivations de leur venue sur la Côte d’Azur. Le quart du budget des voyageurs venus en avion est consacré aux magasins. L’an dernier, leur dépense a progressé de 3 %, atteignant en moyenne 82 € par personne et par jour.
Un grand nombre de personnes ont peur des méduses et n’osent se baigner par peur d’être piquées. Fini la panique : un nouveau site vous propose de les localiser.
Le site medazur.obs-vlfr.fr, qui se limite à une zone entre Menton et Antibes, analyse le risque d’échouage des méduses. S’il n’y a pas beaucoup de méduses, le point sera bleu sur le site. Avec un risque modéré, le point deviendra vert, et une invasion de méduses vous sera indiquée par un point rouge.
Ces bulletins sont une première mondiale, affirment les chercheurs. Pour arriver à cette localisation inédite, les scientifiques ont analysé de nombreuses données, comme les recherches réalisées par l’Observatoire océanologique de Villefranche-sur-Mer.
Dans les Alpes-Maritimes, l’année dernière, un grand nombre d’interventions des secouristes auprès des baigneurs étaient dues à des piqûres de méduses.
Un programme scientifique étudie en ce moment le cycle vital des méduses.
Le transporteur easyJet vient d’annoncer l’ouverture de deux nouvelles bases en France, soit à Nice et à Toulouse, nous apprend TourMag. Elles seront en service dès l’été 2012.
Puis, après ces ouvertures, easyJet ajoutera 10 nouvelles routes régionales et européennes à son offre. Les deux nouvelles bases constitueront les 21e et 22e du réseau global de l’entreprise. Dans chacun des nouveaux aéroports ici annoncés, easyJet y basera un A319.
À partir de Nice, cinq nouvelles destinations s’ajouteront, et la même chose se produira pour Toulouse. Mentionnons que 16 lignes existent déjà depuis Nice.
Par cette initiative, le transporteur espère ajouter un demi-million de passagers à sa clientèle. Il est à prévoir que beaucoup plus de touristes se retrouveront sur la Côte d’Azur et à Toulouse l’été prochain, entre autres.
Les billets pour les nouvelles bases de Nice et de Toulouse seront offerts dès novembre prochain.
France – La Côte d’Azur
D’ouest en est, votre périple sous le soleil doit débuter à Monaco. Cette petite principauté souveraine (195 km2), accrochée à son rocher depuis le Moyen Âge, est le lieu le plus « glamour » de la Côte d’Azur. En direction est, Nice, la capitale de la Côte d’Azur, fait face à la baie des Anges. La Promenade des Anglais, plantée de palmiers et longeant la plage, séduit par ses bâtiments Art Déco, témoins de la Belle Époque.
En route vers Cannes, ne manquez pas le musée Picasso, dans le château Grimaldi d’Antibes. À Cannes, votre prochain arrêt, la célèbre Croisette où défilent des dizaines de stars durant son festival du cinéma vous accueille. Face à la baie, le long de la plage, découvrez quelques palaces : Carlton, Martinez, Majestic et autres boutiques de luxe.
Saint-Tropez a été sublimée par Brigitte Bardot, vedette de cinéma des années 60. Des yachts ostentatoires sont amarrés dans le vieux port en face des restaurants et des boutiques où se bouscule, depuis des lustres, toute une faune bariolée.
La Côte d’Azur à vélo
Les amoureux du vélo ont une nouvelle raison de choisir la Côte d’Azur comme destination. Bien sûr, il y a la mer, les paysages magnifiques et l’hospitalité chaleureuse des habitants du sud de la France, mais désormais, ils peuvent jumeler tout cela avec leur amour de la bicyclette grâce au service Vélib mis sur pied dans la ville de Nice.
Les « vélos bleus », comme ils sont appelés là-bas, permettent à l’utilisateur de louer une bicyclette et de se promener à sa guise avant de la remettre dans l’une des 90 stations éparpillées aux quatre coins de la ville, et ce, 24 heures sur 24. Les endroits les plus achalandés sont le long de la baie des Anges et le Vieux Nice, où les stations de location s’y retrouvent d’ailleurs en plus grand nombre.
Il ne leur en coûtera qu’un euro pour une ballade ou 5 euros pour toute la semaine pour se déplacer à volonté.
La 125e édition du Carnaval de Nice renoue avec la Place Masséna, où tant des festivités ont eu lieu au fil des ans.
À cette occasion, les organisateurs font appel à 20 chars conçus sous le thème « Roi des Mascarades ». En plus de ces chars impressionnants, la ville méditerranéenne accueillera 180 « grosses têtes », dont 80 en carton-pâte, des troupes d’arts de la rue et des groupes musicaux en provenance du monde entier.
Autre moment fort du Carnaval de Nice cette année : le retour des batailles de fleurs sur la fameuse Promenade des Anglais.
L’an dernier, 600 000 personnes ont participé aux différentes activités du Carnaval de Nice. La 125e édition, « Roi des Mascarades », se tiendra du 13 février au 1er mars.