Par un doux matin frette gris poche de novembre, alors que mon bébé de 3 mois dormait paisiblement, je m’apprêtais à sortir mes vidanges pour la première fois depuis que j’avais donné la vie, car normalement c’est mon conjoint qui le faisait, mais ce matin-là il était occupé à autre chose et – boom – ça m’a frappée: la poubelle à couches, une fois transférée dans ledit sac de vidanges, me semblait peser une tonne… après seulement une semaine.
Je me suis mise à calculer vite vite; environ 6-8 couches par jour, 7 jours par semaine ça donne une cinquantaine de couches par semaine, donc
200 par mois et donc 2400 couches en 1 année… Et selon Google, une couche jetable a besoin de 250 à 500 ans pour se décomposer dans un site d’enfouissement. Je me suis dit « oh mon dieu »!
J’ai donc commencé mes recherches sur le merveilleux monde des couches réutilisables/lavables. Parce qu’on va se le dire, au début, ça nous semble être un monde à part auquel on peut accéder seulement après une maîtrise en anatomie du corps de bébé et une autre en biochimie du lavage.
Il existe plusieurs sortes de couches et d’inserts, différents niveaux d’absorption et il y a les routines de lavage qui diffèrent selon le modèle de laveuse, selon l’eau, selon le détergent. Il y a aussi le décrassage, l’entreposage… Bref, au début, ça semble bien compliqué.
Je vais parler ici en tant que novice en la matière, car il y a beaucoup de personnes qui en connaissent plus que moi sur le sujet; sur internet, il y a beaucoup de parents experts qui se disent accros aux couches lavables (il existe d’ailleurs un groupe Facebook qui s’appelle « Accros aux couches lavables », si vous ne me croyez pas). Ce groupe qui porte si bien son nom m’a d’ailleurs été très utile dans mon processus d’apprentissage.
Essayer avant d’adopter
Mais avant d’investir dans un lot de couches dispendieux, j’avais envie d’essayer. J’ai lu sur plusieurs sites que les différentes marques de couches peuvent convenir ou non à la forme du bébé (s’il a des petites ou des plus grosses cuisses, un petit ou un rond bedon, etc.). Les prix diffèrent aussi selon les marques et le pays où elles ont été fabriquées; bref, c’est un investissement et un pensez-y-bien.
J’ai donc décidé de louer un ensemble de couches chez Câlins et popotin à Montréal. Oui oui vous avez bien lu, vous pouvez louer un ensemble de couches qui contient différents modèles et différentes marques. Pour une semaine, je crois que ça m’a coûté 20$ plus un dépôt de 100$ qui est redonné à la fin de la location. Ça permet d’expérimenter et d’essayer différents fits pour bien choisir et aussi voir si on est à l’aise avec le lavage.
Pour moi, première constatation: ce n’est vraiment pas si compliqué que ça! Il y a 3 sortes de couches – les couches à poches avec insert, les couches tout-en-un (le nom le dit: tout est là, pas d’insert à ajouter) et les couches plates (celles qu’on plie comme dans le temps de nos mères). J’ai préféré les couches à poches avec un insert à placer à l’intérieur de la poche; je trouvais ça facile, ça semblait confortable pour bébé et simple à laver et sécher. C’est aussi pratique parce qu’on peut ajuster l’insert selon l’âge de bébé.
Pour ma part, j’ai opté pour les Bum Genius (ceci n’est pas une pub!). On me demande souvent quelle marque j’utilise et je sais qu’il y en a des super belles de compagnies québécoises aussi, mais je n’ai tout simplement pas encore eu la chance de les utiliser, car j’ai acheté pour commencer un lot de 15 couches usagées Bum Genious sur Kijiji et elles sont parfaites.
Là, vous vous demandez: acheter des couches usagées, ah oui, vraiment?
Mais oui! Tout à fait! C’est encore mieux pour l’environnement, car on prolonge la durée de vie d’utilisation d’un lot de couches qui est en parfait état, mais qui n’est plus utilisé parce que le bébé a grandi. Il faut juste s’assurer que les élastiques sont encore bons et que la membrane imperméable l’est toujours. J’ai dépensé 150$ pour un lot de 15 couches avec les inserts. Après, il suffit de les décrasser pour s’assurer qu’elles sont bien désinfectées et c’est tout (voir le tableau ci-dessous du groupe Facebook Accros aux couches lavables). Ce sont des « one size » donc, normalement, elles sont censées faire jusqu’à la propreté.
L’étape fatidique: le lavage
Au début, j’ai paniqué parce qu’après le premier lavage de 2 cycles, mes couches étaient encore tachées. Je me voyais mal retourner chez Câlins et popotin avec des couches tachées, mais après quelques recherches, j’ai compris que si bébé est allaité exclusivement, il est normal que les cacas tachent et le seul truc pour les faire partir, c’est de les exposer au soleil (même si c’est seulement à travers une fenêtre). Je l’ai essayé et ça fonctionne! C’est magique!
Aussi, il faut vraiment trouver une routine de lavage adaptée à notre laveuse c’est très important! D’ailleurs, sur le groupe Facebook Accros aux couches lavables, on peut publier une photo de notre laveuse et quelqu’un nous explique quelle sera notre routine de lavage adaptée. J’ai même eu droit à une routine différente pour le Costa Rica où j’habite présentement. Je fais toujours sécher mes couches et inserts au soleil, car c’est un excellent agent blanchissant. J’avoue que c’est un avantage que je n’aurais pas si j’habitais encore au Québec, surtout en plein hiver.
Crédit: Mirianne Brûlé
Autre élément important: la gestion des odeurs
Au niveau des odeurs, on met les couches souillées dans un wet bag fait exprès pour ça. Et il n’y a aucune odeur qui s’échappe du sac, sauf quand on l’ouvre, bien sûr, pour faire le lavage. Pour être honnête, oui ça pue et oui c’est un peu dégueulasse de manipuler des couches souillées de caca macéré depuis 3-4 jours, mais c’est un petit 2 minutes à retenir sa respiration. C n’est vraiment pas si pire que ça.
Ensuite, hop dans la laveuse et le tour est joué!
Et les fuites?
En ce qui concerne les fuites, pour le moment, ça ne m’est pas arrivé avec mes couches lavables alors que ça arrive souvent quand j’utilise des couches jetables. Ça veut dire que mes couches lavables sont bien ajustées et que leur niveau d’absorption est bon pour ma poulette.
Bref…
On recommande d’avoir un lot de 20-25 couches pour commencer pour avoir un bon roulement. Si on décide d’investir dans du neuf, on parle d’un investissement d’environ 500 à 800$, mais encore une fois, ça dépend des modèles et des marques.
Moi, je n’en ai que 15, car je devais les apporter dans mes valises au Costa Rica et je trouve ça ben correct pour le moment. Je lave aux 3-4 jours et j’utilise encore des couches jetables la nuit et quand on sort, qu’on va en visite, etc. Je ne suis pas encore 100% aux couches lavables – un jour peut-être – mais je pense que la clé pour apprécier cette expérience, c’est d’y aller à son rythme et de ne pas se mettre de pression.
Pour assembler les couches (ce qui veut dire mettre les inserts dans les poches), ça me prend environ 10 minutes; je le fais pendant la sieste de bébé et ce n’est vraiment pas la fin du monde. Dans le fond, c’est juste un peu plus de lavage et de temps.
Donc, je suis contente de mon expérience et je souhaite poursuivre l’aventure des couches lavables. Je voudrais juste ajouter en terminant que ma fille ne mange pas encore; j’imagine que ce sera différent dans quelques semaines. À suivre…
Je pourrai vous faire un petit update après quelques mois d’utilisation.
Utilisez-vous des couches lavables? Comment se passe votre expérience?
Chez TPL Moms, on aime encourager les compagnies d’ici. On vous parle souvent de nos petites découvertes, et ça nous fait super plaisir de recevoir des nouvelles de nos belles entreprises locales.
On a récemment découvert la compagnie Rose Coco, qui se spécialise en couches lavables et serviettes hygiéniques lavables. On le sait que le sujet n’est pas vraiment récent, ça fait quelques années déjà que plusieurs compagnies d’ici et d’ailleurs offrent des modèles de couches et de serviettes hygiéniques lavables, mais dans l’optique de vous présenter une nouvelle option d’achat local, on est bien contentes de vous parler de Rose Coco.
L’entreprise est basée au Saguenay-Lac-St-Jean (allô la belle région en plus!) et fabrique tous ses produits à la main. En plus d’offrir des couches et des serviettes hygiéniques, Rose coco propose une gamme assez complète de produits zéro déchet comme des cache-couches, des « inserts », des produits pour bien nettoyer les couches, des tampons démaquillants et bien d’autres types d’articles. L’entreprise fait aussi des produits sur mesure.
On aime beaucoup les imprimés mignons et originaux que l’entreprise offre! Avec des couches lavables aussi cute que ça, on en vient PRESQUE à avoir envie de les changer tout le temps, ha!
Pour plus de détails sur Rose coco, on vous invite à consulter leur site Web.
Rester positif
Le rythme de chaque enfant étant différent, il faut d’abord demeurer positif, et ce, en tout temps. Inutile d’ajouter de la pression à votre enfant, cela lui causera un stress inutile et un sentiment d’échec et de déception. Le succès de l’opération repose sur la confiance que l’enfant a en lui.
Prendre le temps
Contrairement au retrait de la suce, éduquer son enfant à la propreté prend du temps. Ne sautez pas d’étapes, c’est-à-dire ne tentez pas de retirer la couche d’un seul coup. Passez de celle-ci à la culotte d’entrainement et aux sous-vêtements en vous assurant que votre enfant est au sec pendant de nombreuses nuits avant de passer au prochain stade.
Soyez bien préparé
Il existe de longs coussinets absorbants que vous pouvez disposer sous le drap pour éviter de mouiller le matelas. Ensuite, assurez-vous de ne pas vous fâcher contre votre enfant lorsqu’il demandera de l’aide pour le petit pot en pleine nuit.
Évidemment, il faut limiter les boissons avant l’heure du coucher et uriner avant d’aller au lit.
Comme l’indique le Telegraph, il s’agit d’une toute première recherche sur le sujet. Elle est cependant bienvenue par les enseignants, qui n’en peuvent plus de devoir concilier avec cette problématique.
Les données relatées proviennent de plus de 100 écoles à travers l’Angleterre, colligées par la National Foundation for Educational Research.
Le plus troublant ne se trouve même pas au niveau des enfants de 5 à 7 ans, bien que le taux soit anormalement élevé. C’est dans le groupe des 7 à 11 ans, alors que près d’un enfant sur 20 porte parfois une couche pendant les heures d’école.
Ce ne sont pas uniquement des enfants qui proviennent d’environnements familiaux défavorisés, mais aussi de familles où les parents sont trop occupés pour s’occuper du problème.
On croyait que la situation était reliée uniquement à la première année d’entrée en classe. Or, les spécialistes se sont aperçus que la problématique s’étendait beaucoup plus loin.
Dans plusieurs cas, les enseignants doivent eux-mêmes apprendre aux enfants à être propres. Michael Gove, secrétaire d’État au ministère de l’Éducation, est désormais au parfum de la situation et souhaite aider les professeurs.
Cette fois, c’est une belle jeune femme, se prénommant Tati Neves, selon Pure People, qui a publié une vidéo du chanteur de 19 ans Justin Bieber, endormi dans son lit.
La demoiselle envoie un baiser soufflé vers Bieber, en suivant son geste de la caméra. On voit qu’il s’agit bel et bien du jeune artiste.
Ajoutons à cela son expulsion d’un hôtel parce qu’il dérangeait, sa soirée aux danseuses et la trentaine de femmes qu’il a ramenées avec lui dans sa luxueuse demeure en location, et vous comprendrez que les représentants de Justin Bieber ont fait piètre figure en tentant de justifier la vidéo qui circule.
« Ce n’était pas une prostituée », affirment-ils, en ajoutant qu’il y avait plusieurs personnes (garçons et filles) présentes. « Il s’est endormi, quelqu’un est passé et a pris cette vidéo. »
Rappelons que Bieber vient de quitter le Brésil, juste à temps pour éviter la police locale, à la suite d’un graffiti photographié et transmis aux autorités. Ce sont des paparazzis, prétendument agressés par les gardes du corps du chanteur, qui en ont eu assez et ont avisé les policiers.
Un fabricant américain a conçu une couche avec capteur intégré permettant non seulement de savoir lorsqu’il est temps de la changer, mais qui renseigne aussi les parents sur l’hydratation et la santé rénale de leur enfant.
Les Smart Diapers ont été mises au point par la firme new-yorkaise Pixie Scientific, qui a équipé de simples couches-culottes de codes QR changeant de couleur lorsque le bébé urine. Les parents peuvent balayer le code avec leur téléphone intelligent grâce à une application. Cette application analyse ensuite les résultats pour mesurer les risques d’infection urinaire, de déshydratation, de troubles rénaux et peut garder en mémoire les symptômes. En cas de problème détecté, les parents sont alertés sur leur téléphone multifonction et sont encouragés à contacter un médecin.
L’entreprise a lancé une campagne d’appel aux dons sur Indiegogo afin de pouvoir lancer la commercialisation de leur produit et procède actuellement à des tests avec l’Université de Californie (San Francisco). Pixie Scientific prévoit aussi de recevoir l’aval des autorités sanitaires du pays, la Food and Drug Administration.
En faisant une promesse de don de 90 $, le fabricant vous enverra l’équivalent d’un mois de couches Smart Diapers, mais la livraison n’arrivera pas avant mars 2014.
En attendant, la filiale brésilienne de la marque Huggies a commencé à tester une couche connectée appelée TweetPee, en mai dernier. Les parents reçoivent des tweets grâce à un capteur Bluetooth à clipser sur la couche. Le capteur détecte l’humidité, et l’application associée prévient du moment où il faut effectuer le changement, pouvant ainsi rappeler aux parents trop occupés le moment de renouveler leur stock de couches.
www.indiegogo.com/projects/smart-diapers
Alors que sa femme, Jenna Dewan-Tatum, passe plus de temps avec leur fille Everly née il y a trois semaines, Channing Tatum, lui, est en pleine promotion de son dernier film, White House Down.
D’ailleurs, le nouveau papa trouve un peu difficile d’être séparé de sa fille.
Tout récemment, il a publié lui-même une photo de sa petite famille. « Nous ne voulions pas passer par un tabloïd. Nous voulions juste la montrer pour que les paparazzis cessent d’essayer d’avoir la photo. Maintenant, c’est fait, c’est tout », explique Tatum à ET Canada, concernant la publication de leur première photo de famille avec la petite Everly.
Naturellement, Tatum confirme que sa femme ressent de la fatigue trois semaines après la naissance, et l’acteur se croit un peu impuissant. « Les premiers mois sont tout simplement ridicules. Tout ce que je peux vraiment faire, c’est de rester là, de changer les couches et de leur donner de la nourriture, tout ce qu’elles veulent », confie-t-il.
Concernant la possibilité d’avoir d’autres enfants, l’acteur plaisante et mentionne pour le moment : « Nous pourrions avoir des jumeaux irlandais. Je ne sais pas ».
Alors que sa femme, Jenna Dewan-Tatum, passe plus de temps avec leur fille Everly née il y a trois semaines, Channing Tatum, lui, est en pleine promotion de son dernier film, White House Down.
D’ailleurs, le nouveau papa trouve un peu difficile d’être séparé de sa fille.
Tout récemment, il a publié lui-même une photo de sa petite famille. « Nous ne voulions pas passer par un tabloïd. Nous voulions juste la montrer pour que les paparazzis cessent d’essayer d’avoir la photo. Maintenant, c’est fait, c’est tout », explique Tatum à ET Canada, concernant la publication de leur première photo de famille avec la petite Everly.
Naturellement, Tatum confirme que sa femme ressent de la fatigue trois semaines après la naissance, et l’acteur se croit un peu impuissant. « Les premiers mois sont tout simplement ridicules. Tout ce que je peux vraiment faire, c’est de rester là, de changer les couches et de leur donner de la nourriture, tout ce qu’elles veulent », confie-t-il.
Concernant la possibilité d’avoir d’autres enfants, l’acteur plaisante et mentionne pour le moment : « Nous pourrions avoir des jumeaux irlandais. Je ne sais pas ».