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Accouchement : les femmes font-elles vraiment ce qu’elles veulent?

Une étude néerlandaise parue dans le Journal of Psychosomatic Obstetrics & Gynecology révèle des critères étonnants qui font en sorte qu’une femme peut ou non accoucher dans la position qu’elle souhaite.
 
Selon les données qui ont été recueillies auprès de 1154 femmes aux Pays-Bas, toutes celles qui ont voulu donner la vie en étant couchées sur le dos (59 %) ont pu le faire. Toutefois, la demande de celles qui voulaient le faire debout ou en position accroupie (20 %) n’a pas été acceptée dans tous les cas, et les autres futures mères (21,5 %) n’avaient pas de préférence pour la position adoptée le jour J.
 
Ce qui influencerait le choix de la sage-femme ou du médecin à accepter la position désirée? La durée du travail de la deuxième étape de l’accouchement, le niveau de l’éducation de la femme et si elle donne naissance à la maison ou en milieu hospitalier.
 
En résumé, les auteurs de l’étude expliquent que si la femme désire accoucher dans une position autre que couchée sur le dos, ceci ne semble être accordé que si le travail dure trop longtemps et que cela oblige à tester des positions différentes.
 
De plus, les femmes qui accouchent à domicile semblent plus libres de réaliser ce qu’elles désirent. Si elles veulent donner la vie en milieu hospitalier de façon accroupie ou debout, les futures mères doivent convaincre le médecin avec de bons arguments et s’être documentées à l’avance pour fournir des propos justifiables. Cela expliquerait pourquoi le niveau d’éducation entre en ligne de compte dans les critères plutôt étonnants de cette étude.
 
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Le niveau d’estrogènes peut être relevé dans les couches

Selon Frontiers in Systems Biology, des chercheurs de l’Université d’Emory à Atlanta ont mis au point une méthode détectant le niveau d’estrogènes des jeunes enfants en analysant le contenu de leurs couches.

D’abord testée chez des primates, cette technique permettra aux scientifiques d’établir des liens entre la quantité d’estrogènes et le développement reproductif.

Ensuite, ils pourraient même prédire les comportements liés au genre des enfants, telles la préférence de certains jouets et les différences cognitives.

Ils seraient finalement en mesure d’établir l’influence des désordres du système endocrinien sur la croissance à long terme.

Offrant un nouveau regard à ceux permis par les analyses de sang, d’urine et de salive, celle de l’estradiol (une sorte d’estrogène) pourra désormais être relevée dans des échantillons de matière fécale.

L’importance donnée dans les recherches à l’estradiol a augmenté durant les années afin de voir l’influence des estrogènes environnementaux sur la santé en général.

Ces derniers ont été relevés dans les fruits et les légumes, le plastique et certains articles de la maison, entre autres.

Pour tirer ces conclusions, l’équipe en question a étudié le contenu de 5 000 couches en coton de plusieurs bébés.

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Une inquiétude des mamans : la peau de bébé

Il semble que la sensibilité de la peau de leur nouveau-né soit au cœur des préoccupations de bien des mères. D’après cette étude réalisée à la demande de Procter & Gamble, plus de la moitié des Canadiennes sont concernées par cette question.

Pour arriver à ce constat, 451 femmes ont répondu à un questionnaire. Âgées de 18 à 49 ans, elles étaient enceintes, mères d’enfants de 0 à 4 ans ou les deux.

Dans le même sens, pas moins de quatre sur dix d’entre elles considèrent que leur poupon a la peau sensible.

Ce n’est donc pas un hasard si les couches, les lingettes et les produits dits sans risque pour la peau de bébé représentent la plus grande dépense des nouveaux parents.

Il semble par ailleurs qu’ils constituent le cadeau le plus apprécié lors des réceptions-cadeaux pour bébé, comme nous l’apprend CNW.