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L’Institut de la statistique du Québec vient de faire paraître un rapport sur la situation familiale actuelle des jeunes familles, rapporte La Presse.
D’après l’échantillon de 1 500 enfants suivis jusqu’à l’âge de 6 ans par l’Institut, les jeunes couples se font et se défont rapidement.
Ainsi, il semble que plus du quart des enfants ont vu leurs parents se séparer ou reformer une union lorsqu’ils font leur entrée à la maternelle. Quinze pour cent ont connu cette situation deux fois et cinq pour cent, une troisième fois aussi.
Parmi ces derniers, 66 % vivent avec leur mère, alors que le tiers sont en garde partagée et que 3 % à peine vivent avec leur père.
Les couples se reforment par la suite, les femmes vivant l’expérience de la famille monoparentale pendant environ 16 mois et les hommes pendant 7 mois.
L’intérêt de cette étude réside finalement dans le fait qu’elle apporte certaines nuances quant à la famille d’aujourd’hui.
Selon les résultats d’une équipe de l’Université du Michigan, parus dans Social Science Research, l’accord travail-famille serait plus difficile à atteindre pour les couples non mariés.
Les chercheurs en question ont analysé le cas de 2 300 personnes. Il semble que les conjoints de fait ont plus tendance à occuper des postes moins payants et à devoir composer avec des horaires différents de l’habituel 9 à 5.
Les parents qui vivent selon de tels horaires auraient plus tendance à devenir dépressifs et à ne pas se sentir valorisés. Ils auraient aussi plus de difficultés à concilier le travail et la vie familiale.
Pourtant, les horaires éclatés sont chose de plus en plus commune en Amérique, variant le travail de soir, de week-end ou suivant des horaires irréguliers.
Finalement, le nombre de couples non mariés ayant des enfants étant aussi une chose des plus communes (on les a dénombrés à 2,5 millions en 2009aux États-Unis), d’autres études devront faire le point sur les réels ou possibles effets de cette situation sur les enfants.
Pas de mariage en vue pour Britney
Lors de son récent voyage à Hawaï, Britney Spears a éveillé plusieurs soupçons quant à la nature de sa relation avec son ancien agent, rapporte People.
Elle a tout d’abord fait la visite d’une chapelle au complexe vacancier Grand Wailea à Maui. Deux jours plus tard, elle a versé une larme en assistant à un mariage qui avait lieu sous le balcon de sa chambre.
Malgré tout, même si le couple semble de plus en plus fort après un an de fréquentation, une source a révélé à People qu’il ne prévoyait pas officialiser son union.
« Ils vivent vraiment un jour à la fois et ils profitent pleinement du temps passé ensemble », a confié cette personne.
Il semble que Trawick, qui a 38 ans, prend bien soin de la chanteuse et que cette relation a apporté beaucoup de maturité à la jeune femme.
Rappelons que la Britney Spears, qui aura 29 ans en décembre, a précédemment été mariée à Kevin Federline, avec qui elle a eu deux fils.
Le mariage fait grossir
Des chercheurs de l’Université du Queensland, en Australie, affirment que le mariage fait prendre deux kilos aux femmes.
Pour l’étude, on a pesé 6 000 femmes de 18 à 23 ans pendant dix ans. Elles ont aussi dû dévoiler leurs habitudes alimentaires, leur consommation d’alcool et leurs activités physiques.
En moyenne, les femmes qui étaient en couple pesaient un kilo de plus que les célibataires. Celles qui étaient mariées avaient deux kilos de plus, et ce, peu importe si elles avaient des enfants ou non.
Selon le Journal américain de médecine préventive, cette différence de poids s’expliquerait par le fait que les femmes mariées partagent le repas de leur mari et que cette alimentation n’est pas des plus diététique. De plus, elles manquent de temps pour faire du sport.
Mais attention mesdames! Divorcer pour perdre ce petit surplus de poids pourrait bien vous apporter un autre problème. Selon une autre étude, les femmes divorcées paraissent au moins deux ans plus vieilles que leur âge réel.
Une bague pour célibataires
La populaire bague pour célibataires, Singelringen, fera son entrée au Canada ce printemps.
Créée en 2005 par Johan Wahlbäck, cette bague a conquis plus de 250 000 personnes à travers 20 pays.
Les Canadiens pouvaient déjà se la procurer par le site Web, mais voilà qu’elle sera également disponible dans les bijouteries à travers le pays ce printemps.
Disponible en quatre grandeurs, au coût de 79 $ CAD, incluant la livraison, la bague pourra toujours être achetée via le site Web officiel, qui aura sa version bilingue bientôt pour le marché canadien.
Wahlbäck avait créé ce bijou unisexe, car il était fatigué de se faire dire qu’il devrait se caser, se trouvant parfaitement heureux dans sa vie de célibataire.
Il a ainsi créé un symbole maintenant reconnu mondialement. La personne qui la porte fait savoir discrètement qu’elle est heureuse de son célibat, qu’elle l’assume et qu’elle est bien dans sa peau tout en étant ouverte à de nouvelles rencontres.
La bague se porte sur n’importe quel doigt de la main gauche.
L’infidélité causée par une hormone
Selon des scientifiques de l’Université du Texas, l’infidélité chez les femmes pourrait être causée par une hormone sexuelle produite par les ovaires, l’oestradiol, que l’on pourrait comparer à la testostérone chez l’homme.
La Dre Kristina Durante affirme qu’un taux élevé d’oestradiol joue un rôle dans la forme du visage, la générosité des seins, la définition de la taille et des hanches et que les femmes qui sécrètent davantage cette hormone possèdent des attributs physiques qui plaisent à la gent masculine.
Mme Durante n’hésite pas à qualifier ces femmes de « monogames opportunistes en série » et affirme qu’elles n’hésitent pas à accumuler les conquêtes si elles ne sont pas satisfaites sexuellement.
Celle-ci a mesuré le taux d’oestradiol chez 52 jeunes femmes âgées de 17 ans à 30 ans, tout en leur demandant d’évaluer leurs attraits physiques et de décrire leur vie sexuelle. Il en résulte que celles qui avaient un taux élevé de l’hormone sexuelle avaient tendance à draguer davantage et à avoir des relations extraconjugales.
Une étude, publiée dans la revue scientifique Cancer, nous apprend que les femmes dont l’union bat de l’aile ont un niveau plus élevé de stress, font moins d’activité physique, sont traitées plus longtemps et ont des symptômes plus sévères du cancer du sein que les patientes heureuses en amour.
« Le bonheur conjugal ne devrait pas être le premier élément dont les femmes se soucient quand on leur annonce le diagnostic, mais il est évident qu’un mariage heureux les aide à mieux traverser cette épreuve, tant physiquement qu’émotionnellement », a mentionné la Dre Hae-Chung Yang, chercheuse à l’Université de l’Ohio.
La Dre Yang soutient que le stress causé par le diagnostic est moindre chez les femmes heureuses.
100 femmes cancéreuses ont participé à cette recherche. Parmi elles, 72 avouaient connaître un mariage heureux.