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Mike Ward révèle la somme astronomique qu’il a dépensée dans la saga judiciaire contre Jérémy Gabriel

Mike Ward a révélé la somme astronomique qu’il a dépensée dans la saga judiciaire contre Jérémy Gabriel, rapporte Le Sac de Chips

Avant d’évoquer ses dépenses judiciaires, l’humoriste s’est exprimé sur la 2e poursuite de la famille Gabriel.

« J’ai aucune idée qu’est ce qui arrive, mais je m’en cr*ss », a lancé Mike Ward. « Rendu là, c’est juste ridicule (…) Je pense pas que ça va aller en cour, mais ça me stress f*ck all », a-t-il ajouté.

C’est dans le cadre du What’s Up Podcast de Jerr Allain que l’humoriste a fait de grosses révélations. 

Après être revenu sur cette saga judiciaire qui a débuté en 2015 et qui s’est terminée en 2021 devant la Cour suprême du Canada qui lui a donné raison, Mike Ward a évoqué l’argent qu’il a dépensé dans cette bataille.

Selon ses dires, cela lui a coûté environ 450 000 $.

L’humoriste a cependant précisé qu’environ 50 000 $ ont été récoltés via des collectes de fonds. Il a également souligné que son gérant, Michel Grenier, s’est occupé de couvrir 20 % des frais judiciaires.

Crédit photo: Capture d’écran vidéo YouTube

Si son compte en banque a été marqué au fer rouge par cette saga judiciaire, Mike Ward affirme avoir été aussi marqué humainement par cette mésaventure.

« Ça a laissé des séquelles humainement. Humoristiquement, pas tant », a-t-il confié à Jerr Allain. Il a ajouté que cette bataille judiciaire « l’a vieilli en est*».

L’humoriste s’est également exprimé sur le système de justice et il n’a pas été tendre. « Je n’ai jamais eu confiance dans le système de justice », a-t-il lancé.

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La prestation pour les soins dentaires va coûter deux fois plus cher que prévu

Après avoir été annoncé l’année dernière en alliance avec le NPD, le Régime canadien de soins dentaires va coûter deux fois plus cher que ce qui avait été annoncé au départ, rapporte TVA Nouvelles

C’est ce qui est précisé dans le budget 2023 de la ministre des Finances, Chrystia Freeland, dévoilé mardi. 

Sur cinq ans, la mesure va coûter 13 G$ au lieu des 6 G$ prévus il y a un an. 

« La gamme de services couverts » sera plus importante que ce qui était originalement prévu et l’inflation a fait augmenter les tarifs des services, a précisé un haut fonctionnaire de Finances Canada dans des propos repris par TVA Nouvelles.

« Depuis décembre, nos investissements aident plus de 240 000 enfants canadiens à recevoir les soins dentaires dont ils ont besoin », a souligné la ministre Freeland. Selon elle, la mesure, une fois arrivée à terme, profitera à 9 millions de Canadiens.

Rappelons que le tiers des gens au pays ne possèdent pas d’assurance dentaire. Ainsi, le gouvernement libéral a décidé de couvrir ces soins pour tous ceux non assurés qui ont un revenu familial de moins de 90 000 $, avec, au départ, les enfants de moins de 12 ans.

Au Québec, une mesure similaire existe déjà pour les enfants de moins de 12 ans. 

L’entente avait originalement été faite avec le NPD afin que garantir le soutien du parti à la formation libérale jusqu’en 2025.

Cette alliance prévoit également un régime d’assurance-médicaments, qui n’était pas à l’ordre du jour au budget.

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La fidélité coûte cher pour les consommateurs

Une étude britannique révèle que la fidélité à un prix. L’étude provient peut-être d’outre-mer, il y a fort à parier que les habitudes de consommation des Anglais ne diffèrent guère de celles des Canadiens.

Selon le National Audit Office (NAO) d’Angleterre, les consommateurs qui ne magasinent pas chaque année les prix pour des services qu’ils utilisent couramment laissent des centaines de dollars dans les mains des compagnies auxquelles ils sont fidèles. 

L’organisme va même jusqu’à qualifier de « pénalité à la fidélité » les contrats qui sont automatiquement renouvelés chaque année. Pour un ménage moyen, le coût de cette inertie s’élève à 877 livres sterling par année, soit plus de 1500 $ canadiens.

Les secteurs d’activités où les clients auraient intérêt à revoir chaque année leur entente avec leurs fournisseurs que sont la téléphonie cellulaire, l’accès Internet, les assurances, les hypothèques ou les services bancaires.

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Le NAO affirme que 4 consommateurs sur 5 paient « un prix significativement trop élevé » pour ces services. La proportion est encore plus élevée si les clients ont des problèmes de santé mentale.

Photo : Facebook

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Faire l’épicerie sans se ruiner

L’économiste Rob Morris révèle quelques trucs, rapporte Female First, pour bien nourrir sa famille même avec moins de moyens.

Des façons économes d’offrir de la variété.  Concentrez-vous sur le déjeuner. Une façon efficace de varier le repas sans que ce soit trop dispendieux. Différentes céréales pour les goûts de chacun, auxquelles vous pouvez ajouter des fruits frais, des œufs cuits durs et des produits laitiers.

Faites l’épicerie le soir. Il semble qu’après 19 h ou 20 h, les épiciers diminuent les prix de produits dont la date de péremption est proche. Profitez-en pour remplir votre congélateur.

Planifier les repas de la semaine. Inscrivez seulement ce qui est nécessaire pour les repas et allez à l’épicerie le ventre plein. Vous éviterez ainsi les dépenses inutiles, et par le fait même le gaspillage qui coûte aussi très cher.

Créez un livre de recettes personnel. Prenez le temps d’essayer des recettes faciles, rapides et nécessitant peu d’ingrédients. Vous éviterez ainsi les plats préparés qui sont dispendieux et les aliments précoupés ou marinés, qui sont plus chers.

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Nouvelles quotidiennes

Lufthansa veut créer une nouvelle compagnie à bas coût

Le groupe aérien allemand Lufthansa envisage de créer une nouvelle compagnie à bas coût au sein de sa filiale Eurowings, selon l’hebdomadaire Der Spiegel.

Basée à Düsseldorf, Eurowings dessert déjà des villes en Europe et en Allemagne, sur des trajets moins fréquentés. Le patron de Lufthansa, Carsten Spohr, prévoit de renforcer sa flotte, avec des Airbus A320, afin d’accroître ses destinations en Europe depuis l’Allemagne, écrit le magazine sans citer de source.

En outre, cette nouvelle compagnie pourrait opérer à moyen terme entre des villes comme Londres et Rome, se plaçant en concurrence directe avec Easyjet et Ryanair.

Depuis janvier 2013, Lufthansa, qui souffre de la concurrence des compagnies à bas coût, opère déjà une partie de ses vols en Allemagne et en Europe sous la bannière de sa filiale Germanwings, avec pour objectif de regagner la clientèle perdue en proposant des prix bon marché sans être à bas prix.

Le projet de M. Spohr, qui a pris les rênes de la première compagnie européenne le 1er mai, constituerait « un pas radical supplémentaire », selon le Spiegel, puisque les tarifs pratiqués seraient encore inférieurs.

En outre, le dirigeant souhaiterait aussi offrir à l’avenir des tarifs meilleur marché sur ses vols vers l’Asie.
« Toutes les options sont à l’étude pour assurer notre avenir », s’est contenté de déclarer une porte-parole du groupe, interrogée par l’hebdomadaire.

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Lufthansa veut créer une nouvelle compagnie à bas coût

Le groupe aérien allemand Lufthansa envisage de créer une nouvelle compagnie à bas coût au sein de sa filiale Eurowings, selon l’hebdomadaire Der Spiegel.

Basée à Düsseldorf, Eurowings dessert déjà des villes en Europe et en Allemagne, sur des trajets moins fréquentés. Le patron de Lufthansa, Carsten Spohr, prévoit de renforcer sa flotte, avec des Airbus A320, afin d’accroître ses destinations en Europe depuis l’Allemagne, écrit le magazine sans citer de source.

En outre, cette nouvelle compagnie pourrait opérer à moyen terme entre des villes comme Londres et Rome, se plaçant en concurrence directe avec Easyjet et Ryanair.

Depuis janvier 2013, Lufthansa, qui souffre de la concurrence des compagnies à bas coût, opère déjà une partie de ses vols en Allemagne et en Europe sous la bannière de sa filiale Germanwings, avec pour objectif de regagner la clientèle perdue en proposant des prix bon marché sans être à bas prix.

Le projet de M. Spohr, qui a pris les rênes de la première compagnie européenne le 1er mai, constituerait « un pas radical supplémentaire », selon le Spiegel, puisque les tarifs pratiqués seraient encore inférieurs.

En outre, le dirigeant souhaiterait aussi offrir à l’avenir des tarifs meilleur marché sur ses vols vers l’Asie.
« Toutes les options sont à l’étude pour assurer notre avenir », s’est contenté de déclarer une porte-parole du groupe, interrogée par l’hebdomadaire.

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Nouvelle recherche sur l’hypocondrie en Nouvelle-Écosse

L’hypocondrie est un mal bien connu de façon théorique, faisant même les frais de quelques blagues, mais la réalité peut s’avérer beaucoup plus sombre qu’on pourrait le croire pour ceux qui en souffrent.

Des spécialistes de la Nouvelle-Écosse se sont penchés sur le phénomène et proposent une nouvelle recherche sur l’hypocondrie, rapporte Radio-Canada.

Selon la chercheuse Chantal Gautreau, qui mène la recherche, l’hypocondrie mène rapidement à un sentiment de panique face à des problèmes pourtant bénins, et aurait même un impact sur les coûts de santé.

L’équipe de Mme Gautreau, basée à l’Université Dalhousie, estime que les deux problèmes précédemment proposés peuvent être réglés avec l’aide de psychologues et de spécialistes en santé mentale, plutôt que par des médecins praticiens.

Simon Sherry, justement psychologue, croit en effet que sa profession détient plusieurs clés, et rappelle qu’il est important de ne pas s’en faire pour de petites douleurs ou pour certains problèmes communs observables chez des pairs.

Plus facile à dire qu’à faire, sans doute, pour les personnes hypocondriaques.

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Un dollar cinquante de plus par jour pour mieux manger

Alors que les campagnes et études pour nous inciter à mieux manger et à veiller sur notre santé abondent, les consommateurs motivés à changer leurs habitudes alimentaires semblent arriver massivement au même constat, si l’on se fie aux commentaires recueillis.

Ce constat, rapporte Top Santé, est celui d’un coût moyen plus élevé pour la nourriture, ce qui semble bloquer certains individus dans leur démarche, à tort ou à raison.

Afin de vérifier cette théorie populaire, des chercheurs américains de l’Université Harvard ont décidé de comparer les prix de différents produits, et ce, dans sept des pays les plus riches du monde. Après avoir comparé les comportements et les coûts retrouvés en Angleterre, en France, aux Pays-Bas, en Espagne, en Suède, en Nouvelle-Zélande et au Canada, les chercheurs en arrivent à un coût moyen supérieur d’environ d’un dollar cinquante, quotidiennement.

« Alors que l’on a tendance à affirmer que le coût d’une alimentation saine est un obstacle, et que c’est en partie à cause de ça qu’un Américain sur trois est obèse, personne n’a systématiquement évalué ni quantifié cette différence de prix entre une alimentation saine et des aliments moins bons pour la santé. »

« Sur une année, cela peut représenter un vrai fardeau pour certaines familles, et il est certain que c’est un frein pour promouvoir une alimentation saine et équilibrée », concluent les chercheurs de Harvard, malgré un résultat moins dramatique que celui auquel on aurait pu s’attendre.

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La taxe sur les boissons sucrées peut réellement fonctionner, selon une étude

Le Telegraph (UK) rapporte une étude britannique qui conclut à l’efficacité probable d’une taxe sur les boissons gazeuses et sucrées, à tout le moins à long terme.

Ce sont des experts des universités Reading et Oxford qui se sont penchés sur le sujet, alors que de plus en plus d’autorités de la santé et politiques souhaitent voir augmenter le prix de la malbouffe et, en ce qui nous concerne ici, des boissons gazeuses ou trop sucrées.

Le groupe de spécialistes arrive à la conclusion, un peu en surprise, qu’une telle mesure serait effectivement efficace et qu’elle permettrait une réduction globale de la consommation de ces produits, et donc une baisse du poids moyen des individus.

« Notre travail suggère qu’une taxe sur les boissons sucrées aurait un meilleur impact en termes de réduction de l’obésité chez les jeunes adultes », confirme le Dr Oliver Mytton, qui participe à l’étude.

Plusieurs régions sont en train d’étudier une telle possibilité, notamment du côté de Mexico, San Francisco, New York et même ici, au Québec.

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Des Québécois prêts à payer pour améliorer le système de soins à domicile

Signe que les mentalités évoluent ou que la situation a finalement atteint un certain point de non-retour, Radio-Canada rapporte qu’une proportion considérable de Québécois accepterait maintenant de débourser pour améliorer certains services au sein du système de santé.

C’est ce qui ressort d’un sondage Léger effectué en août dernier auprès de 810 répondants, et qui traduit peut-être le début d’une nouvelle mentalité québécoise.

44 % des répondants se disent en effet prêts à débourser davantage afin d’assurer le financement et l’amélioration de services à domicile, contre 33 % qui se positionnent contre l’idée.

22 % n’ont pas jugé bon répondre ou n’avaient tout simplement pas les informations nécessaires pour faire un choix éclairé. Quoi qu’il en soit, qu’une majorité de personnes soient pour une hausse des contributions étonne déjà en soi.

« Nous sommes à l’heure où la société québécoise devra faire le choix de contribuer davantage pour les services de santé et de maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie », lance Lise Denis, porte-parole de la Semaine des droits des usagers, pour qui le sondage avait justement été commandé.

Avec près de la moitié du budget provincial englouti en santé et un vieillissement de la population fulgurant à prévoir au cours des prochaines décennies, plusieurs croient maintenant qu’il est temps d’agir.

Le débat ne fait bien entendu que commencer.