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Bianca Longpré s’ouvre sur l’épreuve difficile que sa famille traverse depuis les dernières semaines

Alors que Bianca LongpréFrançois Massicotte et leurs enfants accueilleront un nouveau membre dans leur famille au cours des prochains jours, l’humoriste, autrice et entrepreneure s’est finalement ouverte sur les récentes allées et venues de ses proches et elle à l’hôpital.

Au début du mois d’avril, Bianca mentionnait traverser une épreuve extrêmement difficile, alors qu’un membre de sa famille se trouvait à l’urgence. Vendredi, la future maman d’un petit garçon s’est confiée sur la situation, racontant que sa mère, qui habite avec sa garde rapprochée et elle, s’était retrouvée dans un mauvais état de santé suite à la prise d’un vaccin contre la COVID-19.

« J’ai attendu avant de parler publiquement de notre histoire d’effets secondaires de vaccination et de prise en charge. Aujourd’hui, ma mère m’a demandé d’en parler pour que, peut-être, la façon de faire change. Vacciner, ce n’est pas tout, il faut prendre en charge ceux pour qui ça vire mal… comme on s’occupe de ceux qui ont la COVID », affirme Bianca d’emblée en précisant que sa famille et elle étaient en faveur des vaccins contre la COVID-19. Elle a également spécifié qu’elle avait récemment reçu son vaccin, tout comme son amoureux François Massicotte.

« Les cas graves sont rares et les bienfaits sont plus grands que les risques. Toute médication a un risque. Ma mère attend quand même de savoir si elle peut prendre sa deuxième dose (d’une autre marque). Donc, ne tentez pas de détourner le problème. Ici, je parle de prise en charge de ceux qui ont été vaccinés. J’encourage tout le monde à recevoir son vaccin. Je suis transparente. Vous le savez, j’ai été vaccinée enceinte APRÈS cet événement et je continuerai à en faire la promotion », ajoute-t-elle afin d’éviter que son message soit mal interprété.

Âgée de 69 ans, la maman de Bianca a reçu le vaccin AstraZeneca le 15 mars dernier, avant que la Santé publique mette en garde la population quant aux possibles effets secondaires de ce dernier.

« Elle n’a reçu aucun papier ou avertissement d’effet secondaire possible. On ne lui a rien demandé de sa condition de santé. Aucun antécédent de saignement. Elle a des problèmes pulmonaires récurrents et un rein qui fonctionne moins bien. Elle a aussi une médication pour la tension artérielle. C’est d’ailleurs à cause de ces facteurs de risques qu’elle a pris le vaccin rapidement. Le 2 avril, 17 jours après la vaccination, elle ne se sent pas bien. Elle se met à saigner du nez. Elle est chez elle (de son côté de la maison) et je ne suis donc pas au courant de ce qui se passe. Le lendemain matin, je l’appelle, sans succès. Je décide de rentrer chez elle voir ce qu’elle fait », raconte-t-elle. Bianca explique ensuite qu’elle l’a retrouvée très faible et que sa maman avait continué à saigner du nez, mais également de la langue, en plus d’avoir un mal de tête et de voir apparaître de petites plaques sur certaines parties de son corps.

Alors que Bianca, ancienne infirmière, croyait qu’il s’agissait d’une baisse de plaquettes sanguines, elle l’a transportée à l’urgence de l’hôpital de Saint-Eustache, où l’accès au triage lui a été impossible et où la prise en charge de sa mère n’a pas été prise au sérieux. L’entrepreneure a finalement emmené sa maman à l’hôpital de Saint-Jérôme, où le personnel de santé s’est rapidement occupé de celle-ci et a découvert que ses plaquettes sanguines étaient à zéro. Bianca raconte ensuite, après que sa mère ait reçu des transfusions et que le médecin lui ait confirmé que tout cela était dû au vaccin, que cette dernière a fait des chutes de pression et a rencontré des difficultés respiratoires. N’ayant pas de médecin de famille et aucun médecin effectuant des suivis auprès d’elle suite à ces multiples effets secondaires, sa maman a dû se rendre à nouveau à l’urgence, au cours des derniers jours, mais on l’a fait attendre plus de 24 heures, avant que l’on lui diagnostique une bronchite.

Bianca a finalement partagé les propos que sa mère lui a exprimés : « Tu sais, Bianca, faut l’dire, ce qui se passe. Pas pour moi, moi y’est trop tard, mais pour les autres, pour que les autres sachent quoi vérifier comme effets secondaires, et en espérant que le gouvernement les aide et que le système de santé les traite mieux. »

Quelques heures après avoir publié ce statut Facebook relatant ces faits inquiétants, la future maman d’un nouveau bout d’chou a tenu à remercier sa communauté pour ses bons mots et a conclu en soulignant : « Depuis des années, ma mère attend un médecin de famille pour des suivis. Hier, en quelques heures, des médecins m’ont écrit pour prendre en charge ma mère. Sur Facebook. Je trouve désolant que l’on doive faire ce genre de publications pour faire changer les choses. Ça ne devrait jamais arriver. Jamais.

Dans moins de 72 heures, j’aurai ma césarienne. Nous allons donc nous concentrer sur l’arrivée de notre bébé et je remercie toutes celles qui m’ont écrit. Merci. »

J’ai attendu avant de parler publiquement de notre histoire d’effets secondaires de vaccination et de prise en charge….

Publié par Mère ordinaire par Bianca Longpré sur Vendredi 23 avril 2021

On envoie nos ondes positives et nos plus douces pensées à la maman de Bianca et sa famille.

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Actualité Art de vivre

La Covid-19 s’invite sur le mont Everest

Décidément, il n’y a plus d’endroit sur la planète qui n’est pas infectée par la Covid-19. Le mont Everest vient de voir apparaitre sa première éclosion.

Un membre d’une expédition qui voulait gravir la plus haute montagne du monde a été testé positif la semaine dernière au camp de base de l’Everest.

L’alpiniste croyait tout d’abord souffrir d’un oedème pulmonaire causé par la haute altitude. Il fut transporté par hélicoptère dans un hôpital de Katmandu au Népal. Sur place, des tests ont révélé que c’était plutôt le coronavirus qui l’affectait. Cette découverte a forcé le reste de son équipe à être placé en quarantaine au camp de base.

Cette nouvelle survient alors que le mont Everest, la plus haute montagne du monde avec ses 8849 mètres, vient de rouvrir aux grimpeurs dans les dernières semaines. Les autorités avaient fermé son accès en raison de la pandémie.

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Luis Maxime d’OD Chez nous est sorti de l’hôpital

L’ex-participant d’OD Chez nous Luis Maxime Castillo est sorti de l’hôpital après y avoir séjourné pendant près d’une semaine. Il avait contracté la COVID-19 et a lui-même confirmé son retour à la maison dans une story Instagram, jeudi.

Dimanche dernier, l’enseignant originaire de Gatineau annonçait qu’il recevait des soins à l’hôpital, car il était atteint de la COVID-19. Il a immédiatement rassuré son public en affirmant que malgré la situation, il allait bien.

Jeudi, il a donc confirmé être de retour chez lui. « Hey tout le monde! P’tit update pour vous dire que je suis de retour à la maison », écrivait-il avant de poursuivre en remerciant tout le personnel du système de la santé. Il a ensuite remercié ses fans pour les mots d’encouragement que ceux-ci lui avaient envoyés. « Prenez soin de vous et de vos proches », termine-t-il dans sa story.

Crédit:Story Instagram Luis Maxime

On est bien heureux d’apprendre que Luis-Maxime est de retour sur pieds et qu’il ait réussi à vaincre ce satané virus qui aura certainement changé nos vies.

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Hollywood PQ

Luis Maxime d’OD Chez nous hospitalisé après avoir contracté la COVID-19

Ce dimanche, après avoir été plutôt discret sur les réseaux sociaux au cours des derniers jours, Luis Maxime Castillo, que l’on a connu à OD Chez nous l’automne dernier, a annoncé qu’il avait récemment contracté la COVID-19 et qu’il séjournait à l’hôpital.

L’enseignant suppléant originaire de Gatineau en a glissé un mot dans ses stories Instagram ce dimanche, en direct de son lit d’hôpital, brisant ainsi son silence radio : « Hey guys! Petit mot pour vous dire que je suis positif à la COVID. Je me fais soigner à l’hôpital depuis vendredi. Je vous rassure, je vais bien malgré les circonstances. Merci pour votre support et vos beaux mots. »

Crédit:Story Instagram de Luis Maxime Castillo

Celui qui a changé de look le mois dernier n’a pas donné plus de détails sur son état de santé, mais il semble tout de même bien se rétablir malgré son hospitalisation provoquée par la présence du virus dans son corps. Nous souhaitons sincèrement bien du repos et un prompt rétablissement à Luis Maxime!

En coulisses

En mars dernier, Kevin Bazinet annonçait que sa fiancée Charlie, enceinte de plusieurs mois, avait été hospitalisée en raison de la COVID-19. Heureusement, la belle rouquine semble être de retour aux côtés de son amoureux et avoir déjà repris le boulot!

La semaine dernière, nous apprenions avec inquiétude l’hospitalisation de Michel Louvain, qui a dû être pris en charge par des équipes médicales après avoir été diagnostiqué d’un cancer à l’œsophage. Nous lui envoyons également une foule d’ondes positives en ces temps extrêmement difficiles.

Sa bonne amie Ginette Reno a d’ailleurs partagé un touchant message sur les réseaux sociaux vendredi en soutien au légendaire chanteur de 83 ans.

Bonjour à tous les admiratrices et admirateurs de Michel Louvain

Tout comme moi, vous avez sans doute entendu parler de…

Publié par Ginette Reno – Page Officielle sur Vendredi 9 avril 2021

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Divertissement

Will.i.am lance un masque super techno

Le chanteur des Black Eyed Peas Will.i.am veut profiter à son tour de la pandémie et fait maintenant dans les masques technos pour se protéger de la Covid-19.

En affaires, timing is everything. Profitant de la troisième vague propulsée par de nouveaux variants, Will.i.am s’associe à Honeywell pour lancer un couvre visage appelé XUPERMASK.

Le masque est dessiné par Will.i.am lui-même, en collaboration avec Honeywell et Jose Fernandez, le designer qui est à l’origine des nouvelles combinaisons spatiales utilisées par les astronautes à bord des fusées de SpaceX.

Il est équipé de deux ventilateurs à trois vitesses et d’un filtre HEPA, d’un autre filtre mécanique, d’une connectivité Bluetooth, de lumières DEL, d’un casque d’écoute à suppression de bruit et d’un microphone. L’XUPERMASK offre une pile rechargeable qui propose une autonomie de sept heures. Tout cela pour 299 $ (US).

Le masque techno, proposé dans différentes couleurs, sera mis en vente dans les prochaines heures sur le site de la marque. Livré dans un boitier, il proposera trois mois de filtres HEPA, différentes grosseurs d’adaptateur pour les oreilles et un câble de recharge.

Will.i.am est un investisseur avisé. Au fil des ans, le chanteur a investi entre autres dans Tesla et Beats Electronics. Il a aussi été nommé directeur de l’innovation chez Intel.

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Art de vivre

Il y a un an, le confinement

Un an a passé déjà. Un an depuis que tout.e.s, grand.e.s et petit.e.s, ont été renvoyés à la maison pour y rester. Bang : confinement. 

C’était irréel. Les rues fantômes à l’heure de pointe. Les étalages vides dans les magasins. L’épicerie en ligne. Les files distancées à l’extérieur des grandes surfaces.

C’était du jamais vu. Le travail à distance, à la table de la cuisine. Les dossiers à revoir avec deux enfants sur les genoux. Les urgences qui pleuvaient à un rythme effréné. Les interrogations enfantines pendant un appel avec un supérieur. Les chicanes fraternelles pendant la réunion mensuelle. La concentration à temps partiel, l’oreille toujours à l’affût du moindre indice de bisbille.

C’était la solitude, les trous dans les habitudes. Les enfants désœuvrés à la maison. La cour arrière inaccessible, d’abord glacée, puis trempée. Le parc fermé. Les ami.e.s interdis, la famille aseptisée derrière l’écran. Les bricolages, les lectures, et surtout la marelle, tout le temps, parce que c’est tout ce qu’il y avait à faire dehors. Le jeu à retracer à la craie, inlassablement, après chaque averse. Mon Dieu qu’on a pu jouer à la marelle. Des heures et des heures de temps, entre mars et avril.

 
Crédit:Abby Haukongo/Pixabay
 

Puis, graduellement, la reprise. La réouverture des boutiques, des écoles, des garderies. Le retour des sports, des petits rassemblements. La fin du confinement.  Enfin, presque. Parce que pour nous, les parents, le confinement n’a jamais pris fin. Jamais totalement.

On ne sait jamais, en se levant le matin, si chacun ira à l’école ou au travail. Chaque jour, ça peut aller dans un sens comme dans l’autre. On réorganise mentalement nos échéances professionnelles au moindre reniflement de notre progéniture. On tressaillit au moindre raclement de gorge. « Combien de jours de vacances me reste-t-il, déjà? » « Peux-tu prendre congé, toi, chéri? » On sursaute en voyant le numéro de l’école sur l’afficheur; on angoisse quand on reçoit un courriel de la garderie. Notre tour viendra, c’est certain : on ne sait juste pas quand. Et si c’était aujourd’hui?

Bien sûr, les mesures sont nécessaires. Bien sûr, il n’y a pas que les parents qui sont épuisés. Mais reste que la pandémie nous a joué un tour : en normalisant le fait que les parents travaillent avec des enfants dans les bras, elle a fait oublier à tout.e.s que ce n’était pas une option viable à long terme. C’est rushant. Ça use. Ça souffle sur la poussière accumulée sur les souvenirs. Et on se rappelle.

C’était un accroc dans le temps. Le ciel gris, maussade, comme un printemps normal. Les pistes cyclables prises d’assaut, faute d’autre destination. Les arcs-en-ciel dans les fenêtres, l’optimisme naïf, l’espoir parce qu’on n’a pas le choix. Ça a l’air loin, mais on s’en souvient.

C’était il y a un an, mais c’est aujourd’hui en même temps.

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Anne-Marie Withenshaw positive à la COVID-19

C’est sur ses réseaux sociaux que l’animatrice Anne-Marie Withenshaw a annoncé qu’elle a été testée positive à la COVID-19. Effectivement, celle qui devait animer le gala des Zapettes d’or ce soir sur les ondes d’ARTV dans le cadre de son émission C’est juste de la TV sera remplacée par Nicolas Ouellet, qui faisait déjà partie de l’équipe avec Nathalie Petrowski et Thérèse Parisien.

Jeudi soir, lors de son apparition à La semaine des 4 Julie pour parler du documentaire-choc sur Britney Spears, Anne-Marie Withenshaw avait avoué à Julie Snyder que la raison de sa présence virtuelle plutôt que physique était son retrait préventif suite à une potentielle exposition au nouveau coronavirus.

Eh bien, vendredi matin, la belle blonde confirmait avoir contracté le virus. Cependant, Anne-Marie a rassuré ses fans : elle est complètement asymptomatique et elle va bien. Elle s’est isolée dans son sous-sol et y restera le temps qu’il faudra!

« C’est le jour des Zapettes! Dans un concours de circonstances complètement hors de mon contrôle, je ne pourrai être avec vous ce soir pour l’animer. Dans un revirement de situation très 2021 cette semaine, après m’être fait vacciner mardi soir (à cause la forte présence de variants dans le quartier où étudient mes filles), j’ai appris qu’un collègue de travail avec qui j’ai été en contact avait reçu un dépistage positif de COVID-19. Par précaution, j’ai subi deux dépistages au cours des derniers jours, et ils sont aussi positifs », a-t-elle écrit sur ses réseaux sociaux.

« On vous réserve plein de surprises pour le Gala de ce soir, et j’envoie plein d’amour et de gratitude à Nicolas Ouellet, qui a accepté de me remplacer au pied levé. Je vous ai tourné une petite vidéo dans l’émission de ce soir et serai de retour à la radio WKND 99,5 dès que la Santé publique me le permettra », a-t-elle conclu.

Nous lui souhaitons un bon repos et de se débarrasser rapidement de ce virus qui a paralysé la planète entière.

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Isabelle Blais se confie sur la maladie de son père

Alors que la comédienne et chanteuse Isabelle Blais a été, comme tout le monde, durement frappée par la pandémie, elle peut se compter tout de même chanceuse d’avoir travaillé autant. La comédienne a effectivement tourné Faits Divers, dont la diffusion de la dernière saison vient tout juste de se terminer sur ICI Télé, et aussi Bête noire, une nouvelle série dramatique qui débute le 31 mars sur les ondes de Séries Plus.

Lors d’une entrevue qu’elle a accordée au magazine La Semaine, Isabelle Blais a avoué que la pandémie lui a fait remettre tout en question. La comédienne, qui est aussi chanteuse, est également revenue sur le fait que ce sont ses projets musicaux qui ont le plus souffert face à cette pandémie. Comme dans un film, le duo qu’elle forme avec son conjoint Pierre-Luc Brillant, était supposé être en tournée en Belgique, mais celle-ci a évidemment été reportée.

Mais surtout, Isabelle Blais s’est ouverte sur la maladie se son père, pour qui elle avait lancé un cri du coeur il y a quelques mois : « Mon père est malade. Il a été diagnostiqué de la démence à corps de Lewy. J’ai été très présente pour lui, ma sœur aussi. Il vivait dans une résidence privée. Il était isolé, il n’y avait plus d’activités à la résidence, et nous avons vu son état se détériorer un peu. Le manque de stimulation a fait son œuvre. »

Elle explique les nombreux défis auxquels son père a dû faire face, mais aussi toute sa famille : « il y a eu un incident à la résidence, mon père a voulu aider quelqu’un et n’a pas respecté les consignes. Comme conséquence, on l’a enfermé 14 jours dans sa chambre. Nous avons fini par comprendre que sur place, on n’avait pas les ressources pour s’en occuper, alors qu’on nous avait dit le contraire au départ. Puis, à cause d’une mauvaise prescription de médicament, il s’est retrouvé à l’hôpital. »

Malgré des tests négatifs à la COVID-19, le père d’Isabelle Blais a par la suite vécu une autre quatorzaine, suite à un déménagement dans une autre résidence. À cause d’un incident avec un préposé, il a à nouveau dû être relogé et est enfin arrivé dans un CHSLD, soit son troisième établissement pendant la pandémie. C’est d’ailleurs à ce moment, en décembre dernier, que la comédienne avait décidé d’en parler aux médias. Désormais, le CHSLD dans lequel son père est présentement semble être le bon endroit pour lui, selon l’actrice.

« Aujourd’hui, je peux dire que c’est le meilleur endroit pour lui. Les gens sont gentils. C’est bien géré, par des gens compétents. Au moins, nous savons qu’il est bien traité… Actuellement, je ne peux pas le voir, car les patients n’ont droit qu’à deux aidants naturels. C’est donc la copine de mon père et ma sœur qui le visitent. »

En coulisses

Psst : Voici la publication qu’Isabelle Blais avait partagée il y a quelques mois pour faire connaître la situation de son père.

À l’aide!! Amis, journalistes, autorité de la santé publique, cher gouvernement..! Voici une histoire bien triste comme…

Posted by Isabelle Blais on Friday, December 4, 2020

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COVID-19: Deux chats montréalais ont été testés positifs!

Les premiers cas connus d’animaux qui ont été testés positifs à la Covid-19 se sont passés dans le grand Montréal. En effet, un chat a été diagnostiqué avec le virus en février dernier et a guéri depuis. Le second cas a été confirmé jeudi par la Dre Cécile Aenishaenslin, chercheuse et professeure à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal. Alors qu’aucun symptôme n’a été reporté mis à part une grande diminution des forces physiques du chat, son équipe continue d’étudier la transmission du virus chez les chats. La docteure explique que la Covid-19 serait peu mortelle pour ces animaux.

Les chats ont dû être en quarantaine pendant un total de 7 jours, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus testés positifs. Ils ont certainement été infectés par leurs maîtres puisque ceux-ci ont été diagnostiqués avec le virus précédemment. D’ailleurs, le groupe de chercheuses recherche 40 familles québécoises qui ont la Covid-19 pour pouvoir étudier leur chat. Le virus chez cette espèce ressemble beaucoup à la sévérité de l’infection chez l’enfant, il n’est donc généralement pas grave et la retransmission du virus du chat vers l’humain n’est pas chose courante.

« On ne veut pas alerter la population. On ne veut pas que les gens aient peur ni pour leur animal ni pour leur propre santé et par exemple qu’ils prennent des décisions rapides et non fondées comme abandonner leur animal de compagnie », explique Cécile Aenishaenslin au Journal de Montréal.

De plus, certains chiens ont aussi été testés positifs au Canada, mais pas au Québec pour le moment.

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La conjointe de Kevin Bazinet donne de ses nouvelles après avoir été hospitalisée

Jeudi dernier, Kevin Bazinet demandait à ses fans d’envoyer une foule d’ondes positives et de réconfort à sa fiancée Charlie, enceinte de cinq mois, qui a du être hospitalisée suite à des complications après avoir contracté la COVID-19. « Envoyez de l’amour à Charlie, qui vient d’entrer à l’hôpital à cause de la COVID… Elle n’a pas eu une semaine facile! J’espère qu’ils prendront soin de toi autant que tu prends soin des gens autour de toi! Je t’aime ma chérie, j’aimerais pouvoir être avec toi, sois forte », avait-il alors souligné sur ses réseaux sociaux, visiblement très inquiet.

Vendredi, la future maman a finalement donné de ses nouvelles sur son compte Instagram en donnant quelques détails supplémentaires sur son état de santé et sur le bien-être de sa petite princesse en devenir. La rayonnante massothérapeute a quelque peu rassuré sa communauté et ses proches, tout en les remerciant pour leur soutien : « Merci tout le monde pour cette vague d’amour et de soutien. Je suis entrée à l’urgence hier pour une détresse respiratoire et un rythme cardiaque instable. L’équipe de l’Hôpital de Saint-Jérôme a été 10/10 dès mon arrivée! »

Charlie a également raconté : « Le virus COVID s’est accompagné d’une pneumonie qui m’a affecté près de 50% des poumons. J’ai ensuite été transférée à un des meilleurs hôpitaux de Montréal pour des soins plus adaptés. Je suis entre de bonnes mains. On est stabilisées, bébé aussi va bien, même si son petit cœur bat plus vite que d’habitude. »

Crédit:Story Instagram de Charlie

On envoie une énorme dose d’amour, d’ondes positives et de réconfort à Charlie, Kevin et leur future cocotte à travers cette épreuve éprouvante. On espère sincèrement que tout sera déroulera pour le mieux pour le trio.

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Une publication partagée par Kevin Bazinet (@kevbazinet)

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Il y a deux semaines, les tourtereaux annonçaient, dans une vidéo empreinte de bonheur à l’infini, qu’ils attendaient une petite fille pour juillet prochain. Kevin et Charlie comptent toutefois garder la surprise de son prénom jusqu’à sa naissance!

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