Vous n’avez pas envie (ou le temps dans votre journée de télétravail) de vous rendre dans une clinique de dépistage pour la Covid-19 près de chez vous afin de passer votre test? La Clinique Medfuture est là pour vous. Elle a annoncé plus tôt aujourd’hui le lancement de sa trousse d’auto-prélèvement de salive que vous pouvez faire directement de votre maison pour le dépistage du virus.
La clinique offre déjà des tests de dépistages à Mirabel grâce à sa clinique à l’auto en plus de ses unités mobiles qui se déplacent dans vos maisons ou entreprises dans la grande région de Montréal. Par contre, depuis le mois d’avril 2020, l’équipe de la clinique a commencé à mettre en place des tests de salive à distance pour pouvoir minimiser les contacts, afin de combattre la pandémie.
Cette trousse de prélèvement de salive est donc disponible sur internet pour une commande en ligne et est expédiée à travers le Québec en une seule journée ouvrable. Ce prélèvement autonome permet même le retour express de l’échantillon puisqu’il est payé dans la commande, et se fait directement avec un appel au transporteur pour prévoir le ramassage à votre domicile. Les résultats du test sont aussi rendus de manière rapide, grâce à un courriel le lendemain de la réception.
La Clinique Medfuture peut envoyer plusieurs milliers de paquets par jour, et ceux-ci sont disponibles au coût de 295$.
Être parent, c’est se sentir coupable. Pour tout, pour rien — mais tout le temps. C’est ce petit goût amer, constamment : cette impression d’échec, ce sentiment qu’on aurait pu, qu’on aurait dû, faire mieux. Et être parent en pleine pandémie, c’est découvrir tout plein de nouvelles raisons de se sentir coupable.
D’avance, on n’y coupe pas : c’est sûrement ma faute. J’aurais dû être plus patiente. Je m’y prends sans doute mal. J’aurais peut-être dû prendre telle autre décision. On aime tellement ces petits humains, on veut tellement les porter au plus loin d’eux-mêmes qu’on voudrait ne jamais se tromper et leur offrir le parent parfait qu’ils méritent.
Mais comme si ce n’était pas déjà assez, à tous ces reproches injustifiés qu’on s’adresse au quotidien viennent, depuis le printemps dernier, s’ajouter une foule de petits blâmes jusqu’alors inédits.
Crédit:August de Richelieu/Pexels
Au printemps, il y a eu la culpabilité de travailler en s’occupant des enfants; la culpabilité de faire deux choses en même temps et donc, nécessairement, de faire chacune à moitié. La culpabilité de recourir aux écrans pour respecter une échéance et de prononcer beaucoup trop souvent les mots « pas maintenant » à des enfants qui ne réclament, bien souvent, que des miettes d’attention. La culpabilité de ne plus être une employée particulièrement efficace ou fiable, d’être toujours un peu déconcentrée et de devoir chuchoter pendant une réunion parce qu’un enfant nous dort sur les genoux. Bref, la culpabilité de négliger à la fois ses enfants et son travail.
À l’été, les écoles, les garderies et les camps de jour ont rouvert. La culpabilité s’est scindée en deux, et on a eu le choix. Le choix de se sentir coupable de garder encore les enfants à la maison alors qu’on devait travailler, de les priver de leur vie sociale et de leurs amis alors qu’il y avait d’autres options, et celui de les renvoyer dans leur milieu à l’aveuglette, sans certitude, avec une petite impression de sacrifice.
À l’automne, il y a eu la culpabilité d’envoyer les enfants à l’école comme si de rien n’était (ou presque). De les envoyer passer leurs journées dans des classes pleines, sans distanciation, et de ne pouvoir leur promettre que tout irait bien.
À l’hiver, dans notre cas, il y a eu une éclosion de COVID-19 à l’école. Du jour au lendemain, l’école a fermé, les enfants se sont ramassés en isolement, et le dépistage nous a été fortement recommandé. Il y a alors eu la culpabilité de les avoir envoyés à l’école malgré le risque. La culpabilité de n’avoir pu empêcher l’inévitable. La lancinante culpabilité, celle qui tord par en dedans, de voir les larmes couler sur leurs joues pendant qu’ils se faisaient enfoncer un écouvillon dans le nez. Je recolle encore des morceaux de mon coeur qui a éclaté ce jour-là; je crois bien en avoir égaré certains pour de bon.
Le congé des Fêtes a pris fin, et, depuis, il y a la culpabilité d’avoir renvoyé les enfants à cette école en faisant abstraction du fait que, probablement, le deuxième épisode ne se fera pas attendre bien longtemps.
Être parent en pandémie, c’est devoir prendre des décisions à tâtons dans un monde d’une imprévisibilité chronique et espérer ne pas les regretter. C’est ne pouvoir évaluer l’opportunité de chacune qu’après coup. Ce n’est pas évident, et ce n’est pas encore fini.
On en a encore pour un bout, et ça continuera à être difficile. Mais, avec un peu de chance, quand on retournera à nos petites culpabilités d’avant, elles nous paraîtront par comparaison bien futiles.
12th Annual Women In Film Pre-Oscar Party at Spring Place - Arrivals
Featuring: Rita Ora
Where: Beverly Hills, California, United States
When: 22 Feb 2019
Credit: FayesVision/WENN.com
Rita Ora a tenté de soudoyer un restaurateur pour qu’il lui permette de célébrer entre amis son 30e anniversaire.
Selon ce qu’a appris le quotidien The Sun, citant des sources policières, la chanteuse et actrice a offert 5000 livres sterling au gérant du restaurant londonien Casa Cruz en novembre dernier pour qu’il accepte de lui vendre de l’alcool et de la nourriture.
Le problème, c’est qu’en novembre dernier, la ville de Londres était plongée dans un confinement.
Le gérant de l’établissement aurait refusé l’offre de boisson et nourriture, toutefois, il a permis à Rita Ora et une vingtaine de ses amis de célébrer l’événement en y apportant eux-mêmes leur propre alcool.
Les policiers ont toutefois été appelés sur place en raison d’une plainte anonyme d’un citoyen. Ils ont immédiatement mis fin aux festivités et remis des constats d’infraction aux participants.
À la suite de l’événement, les propriétaires du Casa Cruz, qui n’avait pas été mis au courant de la soirée, ont congédié le gérant de l’établissement.
Rita Ora s’est publiquement excusée pour avoir enfreint les règles de la santé publique se disant «profondément désolée» et «avoir eu un inexcusable manque de jugement».
En plus de sa musique, Rita Ora est connue pour ses rôles dans la série de films Fifty Shades of Grey et pour sa participation au concours musical The X Factor, entre autres.
@jacobbentzinger via Unsplash à titre indicatif seulement
Cette fois-ci, c’est au tour d’une trentaine de personnes de faire fi du couvre-feu à Mirabel. Alors que les Québécois doivent rentrer au chaud de leurs propres maisons de 20h à 5h chaque jour depuis maintenant deux semaines, un groupe de trente-six personnes se sont rassemblées pour faire la fête dans une maison de la rue Lafontaine samedi soir dernier.
La Sûreté du Québec a dû intervenir dans la maison vers 22h pour y trouver la trentaine de participants réunis au même endroit. Toutes les personnes trouvées ont dû recevoir un constat d’infraction ou un rapport d’infraction générale. Le minimum de l’amende étant établi à 1550$ en incluant tous les frais, un total de 55 800$ a été remis aux fêtards de Mirabel samedi soir.
On se souvient qu’après l’annonce de toutes les mesures et les consignes du confinement total qui a débuté le 9 janvier, nous avons compris que tous les contrevenants aux règlements en place jusqu’au 8 février pourraient recevoir une amende allant de 1000$ à 6000$.
Plusieurs grandes villes américaines s’apprêtent à installer des distributrices à tests rapides de dépistage de la Covid-19.
Les villes de New York, Los Angeles, San Francisco, Boston et Dallas offriront ce service à leurs citoyens afin de plus facilement dépister les cas de coronavirus.
La société Wellness 4 Humanity va commencer à implanter ses distributrices dès dimanche prochain dans les villes. Cette firme fournit déjà des distributrices à tests dans les aéroports Oakland International en Californie et Hartsfield-Jackson International à Atlanta en Georgie.
Les tests de dépistage de la Covid-19, approuvés par les autorités de la santé publique américaine et efficace à 99%, sont des tests de salive de type RT-PCR. Ils pourront être achetés à un coût variant entre 130 et 149 $ (US).
Les consommateurs qui se procureront ces tests devront les retourner à un laboratoire dans une enveloppe pré-affranchie pour analyse dans les 48 heures.
Wellness 4 Humanity prévoit implanter des distributrices avec une seconde génération de tests. Ceux-ci n’auront pas besoin d’être retournés pour analyse, puisqu’ils pourront eux-mêmes fournir un résultat en 15 minutes. Dans ce cas, la précision de ces tests est de 97,4%.
Les distributrices à tests de dépistage de la Covid-19 sont un outil de plus pour les États-Unis pour freiner la pandémie. Le pays est le plus touché par le nombre de cas et de décès dans le monde.
Le président désigné Joe Biden a fait de la lutte à la Covid-19 sa première priorité. Il promet que 100 millions d’Américains seront vaccinés dans les 100 premiers jours de son mandat qui débute demain.
Craignant la Covid-19, Aditya Singh s’est réfugié à l’aéroport O’Hare International de Chicago il y trois mois, jugeant l’endroit plus sécuritaire.
Le Californien a été intercepté dans les dernières heures dans le secteur sécurisé de l’aéroport par des travailleurs, confirme le Chicago Tribute, citant un procureur.
Son histoire débute le 19 octobre dernier. Arrivant sur un vol en provenance de Los Angeles, Aditya Singh décide de ne pas quitter la zone sécurisée des embarquements. Il a ensuite volé une carte de sécurité le 26 octobre. Cette dernière lui permettait de circuler allègrement dans l’aéroport.
Depuis, l’homme qui avait une peur bleue d’attraper le coronavirus s’il retournait à la maison vivait dans l’aéroport, jusqu’à samedi dernier (16 janvier).
Les policiers appelés en renfort ont procédé à son arrestation. Aditya Singh fait maintenant face à des chefs d’accusation de vol et d’avoir forcé une aire sécurisée dans un aéroport.
Un juge a condamné l’homme à une amende de 1000 $ et lui a ordonné de ne plus se rendre à l’aéroport O’Hare International de Chicago.
Aux grands maux, les grands remèdes. Tom Cruise prend les grands moyens pour s’assurer que le tournage du film Mission:Impossible 7 se termine sans encombre.
Depuis le début du tournage de film d’action, le parcours du tournage du film Mission:Impossible 7semble miné. La production a dû être stoppée de multiples fois en raison du coronavirus, entraînant un retard de plusieurs mois.
Pour remédier à la situation, Tom Cruise, qui est aussi le producteur du long métrage, vient d’acheter à gros prix deux robots sophistiqués qui sont en mesure de faire des tests de dépistage sans danger pour la santé.
«Tom est très sérieux à propos de la sécurité sur les lieux de tournage. Il ne veut plus qu’il soit arrêté. Il a payé pour ces robots afin que tous soient certains d’être en santé», explique un informateur au quotidien The Sun.
Le tournage de Mission:Impossible 7 a repris cette semaine en Angleterre. Il se poursuivra la semaine prochaine à Dubai.
Peu avant la période des Fêtes, Tom Cruise avait piqué une colère devant l’attitude désinvolte de quelques membres de son équipe qui ne respectaient pas les règles de distanciation sociale. Enregistrée, cette crise de nerfs avait fait le tour des réseaux sociaux. L’incident a même provoqué certaines démissions au sein de l’équipe de production.
Il faut dire que la patience de Tom Cruise et de ses partenaires financiers commence à être mise à dure épreuve avec le tournage de Mission:Impossible 7.
En juin, pour reprendre leurs activités, les producteurs avaient créé un village de toute pièce au sein même d’une ancienne base militaire en Angleterre pour s’assurer que ses équipes ne soient pas en contact avec le monde extérieur et ainsi les protéger du virus.
Lors de séquences tournées en Norvège, les producteurs ont loué un bateau, au coût de plus de 676 000 $ (US) pour héberger les 150 employés du film loin de tout autre contact avec la population locale.
Aux grands maux, les grands remèdes. Tom Cruise prend les grands moyens pour s’assurer que le tournage du film Mission:Impossible 7 se termine sans encombre.
Depuis le début du tournage de film d’action, le parcours du tournage du film Mission:Impossible 7semble miné. La production a dû être stoppée de multiples fois en raison du coronavirus, entraînant un retard de plusieurs mois.
Pour remédier à la situation, Tom Cruise, qui est aussi le producteur du long métrage, vient d’acheter à gros prix deux robots sophistiqués qui sont en mesure de faire des tests de dépistage sans danger pour la santé.
«Tom est très sérieux à propos de la sécurité sur les lieux de tournage. Il ne veut plus qu’il soit arrêté. Il a payé pour ces robots afin que tous soient certains d’être en santé», explique un informateur au quotidien The Sun.
Le tournage de Mission:Impossible 7 a repris cette semaine en Angleterre. Il se poursuivra la semaine prochaine à Dubai.
Peu avant la période des Fêtes, Tom Cruise avait piqué une colère devant l’attitude désinvolte de quelques membres de son équipe qui ne respectaient pas les règles de distanciation sociale. Enregistrée, cette crise de nerfs avait fait le tour des réseaux sociaux. L’incident a même provoqué certaines démissions au sein de l’équipe de production.
Il faut dire que la patience de Tom Cruise et de ses partenaires financiers commence à être mise à dure épreuve avec le tournage de Mission:Impossible 7.
En juin, pour reprendre leurs activités, les producteurs avaient créé un village de toute pièce au sein même d’une ancienne base militaire en Angleterre pour s’assurer que ses équipes ne soient pas en contact avec le monde extérieur et ainsi les protéger du virus.
Lors de séquences tournées en Norvège, les producteurs ont loué un bateau, au coût de plus de 676 000 $ (US) pour héberger les 150 employés du film loin de tout autre contact avec la population locale.
Starbucks Canada a révélé dans la journée d’hier ses plans pour les prochains mois. Avec la pandémie, il est bien normal qu’une entreprise modifie son fonctionnement puisque tout est différent; des besoins changeants de la clientèle, de la commodité, des échanges humains en respectant les mesures mises en place par le gouvernement, jusqu’à la personnalisation des commandes.
En juin dernier, Kevin Johnson, le président et chef de la direction à l’échelle mondiale avait annoncé que l’entreprise avait l’intention d’accélérer la transformation de ses magasins, tout en devant fermer environ 200 Starbucks au Canada. En transformant plusieurs établissements avec service au volant pour 2021, ils veulent s’accommoder à la situation actuelle tout en offrant le meilleur service à la clientèle possible.
D’ailleurs, ils ont annoncé l’ouverture d’un magasin à Abbotsford, en Colombie-Britannique qui est à la fine pointe du développement durable et dont la construction ne produit quasiment aucun déchet. Ce Starbucks qui offre le service au volant a été assemblé en seulement six jours et est conçu pour être plus facile à chauffer et à refroidir qu’un bâtiment habituel. On risque de voir de plus en plus d’établissements du genre partout au Canada.
À notre avis, avec ses déjeuners sans viande, ses options de lait végétal ainsi que son magasin d’Abbotsford, on trouve que Starbucks Canada s’enligne dans une excellente direction.
Pour 2021, ils veulent élargir leurs services de commande et leurs paiements par l’application mobile pour pouvoir rendre la vie plus facile à leur clientèle. De plus, un projet pilote de cueillette en stationnement et l’étude de nouveaux modèles d’exploitation sont è venir dans les prochains mois.
Certains magasins ont fermé leurs portes de manière définitive à l’automne dernier et d’autres fermeront d’ici la fin du deuxième trimestre de l’exercice financier 2021. On s’attend donc que certaines de ces fermetures de magasin se retrouvent dans notre ville.
On peut même lire sur Narcity: « La fermeture de ces centaines de magasins, plutôt qu’être étalée sur cinq ans, devait être menée sur 18 mois. Or, une porte-parole de l’entreprise a précisé à Narcity Québec dans un échange de courriel que ce sont maintenant 300 cafés qui fermeront leurs portes d’ici la fin de leur deuxième trimestre. Une source à l’interne nous a également confirmé que des quelque 144 succursales qui disparaîtront d’ici là, une vingtaine se trouvent à Montréal et fermeront d’ici le 31 janvier. »
Starbucks s’adapte assez rapidement aux « préférences des clients en matière de commodité et de rapidité tout en permettant à Starbucks de garder le contact avec ses clients et de servir ses communautés en toute sécurité » peut-on lire dans leur annonce officielle.
On vous a déjà parlé des dernières boissons saisonnières à base de lait qui ont été lancées dans tous les Starbucks Canada. Vous y retrouverez le latte à la pistache, le latte miel et avoine et un nouveau frappuccino à la pistache.Starbucks propose notamment la boisson de soya, la boisson à l’avoine, la boisson aux amandes et la boisson de coco en remplacement du lait traditionnel pour ses breuvages. Vous pouvez lire l’article complet juste ici.
Depuis le début de la pandémie, on a tous connu l’école à distance avec nos enfants à plus ou moins grande échelle. On dira ce qu’on voudra, ça a l’air tout beau sur papier, et en théorie c’est la meilleure solution, mais qu’en est-il de la réalité? Ici, c’est loin d’être une partie de plaisir!
Il faut savoir qu’au début, j’avais un enfant au primaire et que comme je travaillais dans une école et que ces dernières étaient fermées, j’avais beaucoup de temps pour l’aider. Mes deux plus grandes sont au secondaire et au Cégep et de prime abord, tout avait l’air de rouler. Comme la pandémie s’étire dans le temps et que mon mari et moi sommes des travailleurs essentiels, nous ne sommes plus disponibles le jour pour apporter du support à nos enfants. Ils ont beau avoir toujours eu de la facilité à l’école, de bonnes notes et une organisation quand même efficace pour leurs âges, se retrouver seuls pour gérer horaire, connexion Zoom, cahiers, travaux et devoirs, ça devient vite une charge de travail imposante. Surtout pour mon fils de 12 ans!
Au début, ma fille de secondaire 5 trouvait que c’était le meilleur des deux mondes d’étudier en présentiel un jour sur deux. Elle peut se lever plus tard (on habite en région et l’autobus passe beaucoup trop tôt), étudier à son rythme, voir ses amis de temps en temps à l’école, etc. Sauf que bien qu’au départ le rendement était le même, les choses ont changé peu avant le congé des Fêtes. Certaines matières ne sont pas du tout efficaces à distance, comme la biologie et la physique.
Les résultats de certaines matières dégringolent et on réalise que même si elle y met tous les efforts, apprendre derrière un écran, ce n’est pas bon pour elle! Et visiblement, la moyenne de la classe connaît le même sort, ce qui signifie que la majorité est dans le même bateau. Elle doit faire son inscription au Cégep en mars prochain. Espérons qu’elle puisse remonter ses notes, et ce, malgré le fait qu’il n’y aura que deux bulletins au lieu de trois cette année.
Crédit:Photo de Andrea Piacquadio provenant de Pexels
D’ailleurs, parlons-en, du Cégep! Ce sont de jeunes adultes, me direz-vous, mais rien n’est plus insécurisant pour eux que d’être lancés dans le vide de cette manière. Je m’explique! Le passage du secondaire aux études post-secondaires est déjà une grosse étape, puisque les étudiants doivent vraiment tout gérer par eux-mêmes. Les suivis en ligne ne se font pas correctement, les plages horaires pour remettre les travaux de fin de session sont limitées et les bugs informatiques rendent le tout assez compliqué.
En ce moment, ma plus vieille a des cours en ligne tous les jours, mais parfois, elle doit être présente au Collège. Le réel problème, c’est qu’elle n’a pas assez de temps entre ses cours pour prendre l’autobus et s’y rendre. Personne n’a pensé à ça? Résultat, l’anxiété monte en flèche, mon mari qui travaille de la maison tente de se libérer pour l’y reconduire, c’est complètement fou! Peu avant les Fêtes, elle a d’ailleurs été dans l’impossibilité de se présenter à son dernier cours de la session, puisqu’elle avait un autre cours à distance juste avant. Gros conflit d’horaire! À cause de son absence, elle est en échec! Elle doit reprendre son cours en entier, alors qu’elle avait déjà eu sa note et réussissait haut la main! Elle devra faire une demande d’incomplet.
Bref, tellement de choses incongrues, tellement de déceptions pour les élèves, de défis à relever et d’expériences perdues. Je trouve que malgré tout, on s’en sort bien, au sens où ça met à l’épreuve notre capacité d’adaptation. En tant que parent, on apprend à se revirer de bord, et faire de notre mieux pour soutenir nos enfants.
J’ai envie de vous donner une petite tape dans le dos d’encouragement ainsi qu’à tous les élèves et étudiants et de vous demander; comment ça se passe chez vous?