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Divertissement Potins

Vaincre la COVID-19 a été le plus beau cadeau d’Antonio Banderas pour ses 60 ans

Antonio Banderas est maintenant un sexagénaire, et son plus beau cadeau demeure la santé.

Maintenant de retour en bonne santé, Antonio Banderas aura eu néanmoins la frousse, tout comme ses proches, en marge de son diagnostic de COVID-19, alors qu’il atteignait tout juste la barre des 60 ans.

Son amoureuse, Nicole Kempel, a décrit les hauts et les bas de cette période plus difficile pour l’acteur.

«On a célébré parce que chaque année de vie est quelque chose à célébrer. Mais, ce n’était pas vraiment l’année pour les partys. Le plus beau cadeau a été son rétablissement rapide. On a eu les mêmes doutes que quiconque attrape le virus. Au départ, tu as peur parce que tu ne sais pas combien dur il sera affecté. Dans le cas d’Antonio, ses symptômes principaux ont été des douleurs musculaires sévères et de la fatigue. Il s’est bien remis parce qu’il est fort et en excellente condition physique», explique Kempel lors d’un entretien accordé à HELLO!.

Antonio Banderas et Nicole Kempel se fréquentent officiellement depuis 2014.

Banderas avait auparavant passé une bonne portion de sa vie en couple avec Melanie Griffith, avec qui il a été marié de 1996 à 2015.

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Vaincre la COVID-19 a été le plus beau cadeau d’Antonio Banderas pour ses 60 ans

Antonio Banderas est maintenant un sexagénaire, et son plus beau cadeau demeure la santé.

Maintenant de retour en bonne santé, Antonio Banderas aura eu néanmoins la frousse, tout comme ses proches, en marge de son diagnostic de COVID-19, alors qu’il atteignait tout juste la barre des 60 ans.

Son amoureuse, Nicole Kempel, a décrit les hauts et les bas de cette période plus difficile pour l’acteur.

«On a célébré parce que chaque année de vie est quelque chose à célébrer. Mais, ce n’était pas vraiment l’année pour les partys. Le plus beau cadeau a été son rétablissement rapide. On a eu les mêmes doutes que quiconque attrape le virus. Au départ, tu as peur parce que tu ne sais pas combien dur il sera affecté. Dans le cas d’Antonio, ses symptômes principaux ont été des douleurs musculaires sévères et de la fatigue. Il s’est bien remis parce qu’il est fort et en excellente condition physique», explique Kempel lors d’un entretien accordé à HELLO!.

Antonio Banderas et Nicole Kempel se fréquentent officiellement depuis 2014.

Banderas avait auparavant passé une bonne portion de sa vie en couple avec Melanie Griffith, avec qui il a été marié de 1996 à 2015.

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Art de vivre

Culpabilité parentale en temps de pandémie

(CHRONIQUE)
Être parent, c’est se sentir coupable. Pour tout, pour rien — mais tout le temps. C’est ce petit goût amer, constamment : cette impression d’échec, ce sentiment qu’on aurait pu, qu’on aurait dû, faire mieux. Et être parent en pleine pandémie, c’est découvrir tout plein de nouvelles raisons de se sentir coupable.
D’avance, on n’y coupe pas : c’est sûrement ma faute. J’aurais dû être plus patiente. Je m’y prends sans doute mal. J’aurais peut-être dû prendre telle autre décision. On aime tellement ces petits humains, on veut tellement les porter au plus loin d’eux-mêmes qu’on voudrait ne jamais se tromper et leur offrir le parent parfait qu’ils méritent.
Mais comme si ce n’était pas déjà assez, à tous ces reproches injustifiés qu’on s’adresse au quotidien viennent, depuis le printemps dernier, s’ajouter une foule de petits blâmes jusqu’alors inédits.
Crédit:August de Richelieu/Pexels
Au printemps, il y a eu la culpabilité de travailler en s’occupant des enfants; la culpabilité de faire deux choses en même temps et donc, nécessairement, de faire chacune à moitié. La culpabilité de recourir aux écrans pour respecter une échéance et de prononcer beaucoup trop souvent les mots « pas maintenant » à des enfants qui ne réclament, bien souvent, que des miettes d’attention. La culpabilité de ne plus être une employée particulièrement efficace ou fiable, d’être toujours un peu déconcentrée et de devoir chuchoter pendant une réunion parce qu’un enfant nous dort sur les genoux. Bref, la culpabilité de négliger à la fois ses enfants et son travail.
À l’été, les écoles, les garderies et les camps de jour ont rouvert. La culpabilité s’est scindée en deux, et on a eu le choix. Le choix de se sentir coupable de garder encore les enfants à la maison alors qu’on devait travailler, de les priver de leur vie sociale et de leurs amis alors qu’il y avait d’autres options, et celui de les renvoyer dans leur milieu à l’aveuglette, sans certitude, avec une petite impression de sacrifice.
À l’automne, il y a eu la culpabilité d’envoyer les enfants à l’école comme si de rien n’était (ou presque). De les envoyer passer leurs journées dans des classes pleines, sans distanciation, et de ne pouvoir leur promettre que tout irait bien.
À l’hiver, dans notre cas, il y a eu une éclosion de COVID-19 à l’école. Du jour au lendemain, l’école a fermé, les enfants se sont ramassés en isolement, et le dépistage nous a été fortement recommandé. Il y a alors eu la culpabilité de les avoir envoyés à l’école malgré le risque. La culpabilité de n’avoir pu empêcher l’inévitable. La lancinante culpabilité, celle qui tord par en dedans, de voir les larmes couler sur leurs joues pendant qu’ils se faisaient enfoncer un écouvillon dans le nez. Je recolle encore des morceaux de mon coeur qui a éclaté ce jour-là; je crois bien en avoir égaré certains pour de bon.
Le congé des Fêtes a pris fin, et, depuis, il y a la culpabilité d’avoir renvoyé les enfants à cette école en faisant abstraction du fait que, probablement, le deuxième épisode ne se fera pas attendre bien longtemps.
Être parent en pandémie, c’est devoir prendre des décisions à tâtons dans un monde d’une imprévisibilité chronique et espérer ne pas les regretter. C’est ne pouvoir évaluer l’opportunité de chacune qu’après coup. Ce n’est pas évident, et ce n’est pas encore fini.
On en a encore pour un bout, et ça continuera à être difficile. Mais, avec un peu de chance, quand on retournera à nos petites culpabilités d’avant, elles nous paraîtront par comparaison bien futiles.
Crédit:Keenan Constance/Pexels
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Paul McCartney: «Le vaccin est une super nouvelle»

Paul McCartney a hâte à son vaccin!

Paul McCartney salue l’effort des travailleurs derrière la création et la distribution des vaccins désormais disponibles, et avoue avoir hâte de pouvoir en profiter.

Toujours avec son humour britannique parfait, McCartney louange la percée médicale que représente le vaccin contre la COVID-19, et souhaite pouvoir s’en procurer un le plus rapidement possible pour éviter de «s’écrouler».

«Je sais qu’on va traverser tout ça. Le vaccin est une super nouvelle. Je vais l’avoir bientôt si on me le permet. Je suis un grand-papa, et tu ne veux pas que grand-papa s’écroule. On doit rester fort. C’est tout ce qu’on peut faire, sinon on va sombrer», lance Paul McCartney, que l’on devine aussi très sérieux dans sa démarche, rapporte The Sun.

L’ex-Beatles et légendaire musicien pourrait bien ne pas avoir à attendre trop longtemps, lui qui se retrouve parmi les groupes prioritaires pour un vaccin, étant maintenant âgé de 78 ans.

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Des vêtements «Friends» pour aider les victimes de la COVID-19

Chandler Bing est de retour!

Une brève et limitée collection de vêtements en lien avec Friends voit le jour, dans le but d’aider les victimes de la COVID-19.

C’est par l’entremise de Matthew Perry, l’un des acteurs de Friends et interprète de Chandler dans la sitcom, que l’initiative nous provient, alors que les vêtements en question proposent des textes inspirés de son personnage et de sa propension au sarcasme!

«Qu’est-ce que c’est, une édition limitée d’un t-shirt pour la bonne cause? Pendant deux semaines seulement, je lance une collection de vêtements! Les profits iront à l’effort d’aide contre la COVID-19 de l’OMS», lance Perry sur Instagram.

Friends, l’une des sitcoms les plus populaires de l’histoire, a été présentée sur le réseau NBC de 1994 à 2004, devenant au passage un véritable phénomène culturel.

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Coeur de Pirate partage ses souvenirs d’une «année complète dehors»

Comme plusieurs, Coeur de Pirate a tenté de faire contre mauvaise fortune bon coeur cette année.

Coeur de Pirate, ou Béatrice Martin de retour dans sa vie normale, a passé pas mal de temps confinée comme la plupart des gens au cours de cette année marquée par la pandémie du nouveau coronavirus.

La star a toutefois décidé d’opter pour le plus grand nombre d’occasions possible à l’extérieur, alors que les facteurs de risque y deviennent moindres selon un grand nombre d’experts. Elle nous partage maintenant quelques-uns de ses souvenirs de son «année complète dehors»!

«Une année complète à être dehors», écrit en effet Coeur de Pirate sur Instagram, en légende d’une série de photos captées au cours de l’année difficile qui s’achève.

Un joli petit retour en arrière à l’aube des bilans de fin d’année, alors que tout le Québec aura été frappé de plein fouet, comme presque partout ailleurs, par la crise de la COVID-19.

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Laurent Duvernay-Tardif: «Je ne suis pas un superhéros»

Laurent Duvernay-Tardif se fait encore une fois bien humble.

Reconnu par le Sports Illustrated comme l’un des athlètes de l’année pour sa décision de plaquer le football professionnel afin de revenir au Québec pour contribuer à l’effort de guerre sanitaire en CHSLD, Laurent Duvernay-Tardif refuse d’accepter trop de gratification et veut braquer les projecteurs sur les travailleurs de la santé. Le joueur-médecin qui s’aligne pour les Chiefs dans la NFL affirme dans une vidéo de remerciements en marge de l’obtention de son prix qu’il accepte ce dernier au nom de ceux-ci.

«Je ne suis pas un superhéros. J’ai juste pris la même décision que des milliers ont prise, comme des infirmières, des professeurs, des médecins à la retraite qui sont revenus pour aider (…) La seule chose, c’est que je jouais au football pour les Chiefs de Kansas City et je venais de gagner le Super Bowl (…) J’accepte vraiment ce prix au nom de tous les travailleurs de la santé, et c’est à eux que je veux dire merci (…)», lance LDT dans la vidéo en question.

https://www.instagram.com/p/CIgAe-mgnsw/

Laurent Duvernay-Tardif remportait un premier Super Bowl en février 2020, à l’aube de la crise du nouveau coronavirus, juste avant de rentrer au bercail pour répondre à l’appel d’urgence du premier ministre québécois François Legault.

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Le cri du coeur de Vanessa Pilon

Vanessa Pilon commente la crise actuelle et l’annulation des Fêtes au Québec.

En marge de la résiliation du «contrat moral» par François Legault, ce qui retire la permission initiale des Québécois à se retrouver quelques jours durant la période des Fêtes, les opinions divergentes abondent. Plusieurs font depuis entendre leur voix, et c’est le cas notamment de Vanessa Pilon, qui offre un cri du coeur rempli de bon sens.

«Cette année, je ne verrai pas ma mère à Noël. C’est pas la première fois que ça arrive, on est habituées: Ma mère, elle est infirmière auxiliaire, et les travailleurs de la santé, ça fait des années qu’ils sacrifient leur temps des Fêtes pour le bien des autres. N’empêche, cette année est particulière: Claire n’a pas vu sa mamie depuis le mois de juillet, et, avant ça, on ne l’avait pas vu depuis mars. Comme beaucoup, on s’accrochait à ce p’tit trois jours. C’est tough pour beaucoup de gens, la situation actuelle. Mais, par respect pour les travailleurs de la santé, qui se sacrifient déjà depuis tellement longtemps, qui sont déjà épuisés, essayons de voir au-delà de notre déception. Manifestons-nous de l’amour au-delà du réveillon. Pensons aux autres. C’est ça, la base de Noël, anyway, non? (Ceci étant dit, on peut-tu slacker sur le magasinage dans les centres commerciaux, aussi?) Ok merci je vous aime bye là!», écrit Pilon en légende d’une photo de sa mère à laquelle plusieurs personnes peuvent probablement s’identifier.

Voilà un message criant de vérité et rassembleur, même s’il s’agit d’un sacrifice extrêmement difficile pour les Québécois à ce stade-ci. La crise du nouveau coronavirus ne fait toutefois qu’amplifier depuis des semaines maintenant, et le premier ministre n’hésite même pas à parler des «trois pires mois de la crise» à venir cet hiver.

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Laurent Duvernay-Tardif réagit à sa nomination par le Sports Illustrated

Laurent Duvernay-Tardif a été nommé parmi les athlètes de l’année par le Sports Illustrated, et le joueur-médecin québécois en est fort reconnaissant.

LDT réagit à sa nomination par le Sports Illustrated, alors que le magazine souligne cette année le travail d’activiste de l’athlète ainsi que celui de certains de ses homologues.

«En tant qu’athlètes, nous avons le pouvoir d’avoir un impact positif dans notre société. D’être reconnu pour mon implication hors du terrain par l’un des plus gros prix sportifs signifie tout pour moi. Je dédie ce prix aux travailleurs de la santé qui ont fait d’énormes sacrifices pour protéger et s’occuper des autres. (…) Le travail n’est pas terminé», écrit LDT en légende de l’image du Sports Illustrated.

Il s’agit en effet d’un honneur incroyable pour Laurent Duvernay-Tardif, qui n’a cessé d’étonner au cours des années.

D’abord en complétant sa formation de médecin tout en perçant la NFL (signant au passage un lucratif contrat avec les Chiefs de Kansas City), en devenant champion du Super Bowl, puis en renonçant à sa saison 2020 afin de répondre à l’appel du premier ministre François Legault et offrir son aide en CHLSD en marge de la crise du nouveau coronavirus au Québec.

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Nicole Kidman: «La distanciation sociale est très difficile»

Nicole Kidman se confie sur les aléas de la pandémie au sein de sa famille.

Bien que pouvant compter sur plus d’outils que certains, la famille de Nicole Kidman ne doit pas moins se soumettre aux règles pandémiques de base, et la superstar voit ses enfants en souffrir comme tant d’autres parents.

«Mes enfants (…) sont habitués à l’école en ligne, mais la distanciation sociale est très difficile pour eux. Ils passent à travers diverses émotions. Pour un enfant de 12 ans, c’est de ne pas pouvoir accéder à ses amis facilement (…) Puis, à 9 ans, tu te formes socialement. Un des trucs les plus difficiles est de les voir désespérer pour leurs amis. Je désespère pour mes amis aussi», lance avec nostalgie et candeur Nicole Kidman lors d’un entretien avec Glamour (UK).

Nicole Kidman est actuellement en vedette d’une autre série à succès sur HBO, soit The Undoing, aux côtés de Hugh Grant.