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La Compagnie créole revisite son classique pour inciter les gens à porter leurs masques

Le groupe de musique La Compagnie créole a adapté l’un de ses bons vieux classiques au contexte actuel qui entoure le coronavirus en transformant Au bal masqué pour Sortons masqués. Une vraie idée de génie de la part du groupe!

Sortons masqués est une reprise qui a vu le jour sous forme de vidéoclip est est disponible sur YouTube. Elle a été réalisé en partenariat avec l’Association française de normalisation (AFNOR). Cet organisme a un place très importante dans le contexte de la COVID puisqu’elle attribue le label « Mesures sanitaires COVID-19 » en France aux entreprises qui appliquent les mesures de précaution.

Les paroles originales ont donc été changé pour les suivantes :

On sort masqués ohé ohé, sortons masqués […], il ne faut pas mettre les autres en danger!

Aujourd’hui, on peut aller danser, danser, oui, danser, pas collés-collés, oui danser, mais bien masqués.

En espérant que cette nouvelle version pourra faire passer le message à certain!

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Sport

Xavier Ouellet confirme qu’il a bel et bien été testé positif à la COVID-19

Xavier Ouellet s’est entretenu avec les médias ce midi (via Zoom). Il a confirmé qu’il avait été testé positif à la COVID-19 et que c’était pour cette raison-là qu’il avait été isolé du reste du groupe (à la maison).

Ouellet a confirmé qu’il n’avait eu qu’un test positif et que tous les autres s’étaient avérés être négatifs. Même 48 heures avant et 48 heures après le test en question!

Il n’a jamais ressenti de symptômes et ne sait pas vraiment s’il a développé la maladie ou s’il a été un cas de faux-positif (il y en aurait eu deux chez le Canadien selon The Athletic). Rappelons que pas moins de 30 % des résultats positifs seraient en fait des faux-positifs selon une récente étude.

Par contre, le protocole de la LNH est beaucoup plus strict que celui de la MLS. Les faux-positifs et les joueurs qui testent rapidement négatifs doivent tout de même s’isoler durant une dizaine de jours.

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Potins

Masque pour malentendants: La fille de René Simard se fait refuser l’accès d’un magasin

Le port du masque est désormais obligatoire au Québec, et ce dans tous les lieux publics fermés ou partiellement couverts. C’est donc muni de son masque que Rosalie Taillefer-Simard, la fille de René Simard et l’animatrice Marie-Josée Taillefer, s’est dirigée vers la quincaillerie de son quartier ce mardi. Elle s’est toutefois fait refuser l’accès au commerce, car son masque avait une fenêtre au niveau de la bouche faite d’un plastique souple. Il a été conçu ainsi pour les malentendants.

De retour chez elle à la suite de ce malencontreux événement, Rosalie Taillefer-Simard a choisi de revenir sur son expérience en partageant une vidéo sur sa page Facebook afin de lancer un message pour sensibiliser le personnel des commerces. La pandémie actuelle a frappé les personnes sourdes et malentendantes d’une façon bien particulière, rappelle la jeune femme. En effet, ceux-ci sont habitués de lire sur les lèvres, chose qu’il n’est pas possible de faire avec un masque normal. C’est pourquoi les masques pour malentendants sont la solution idéale pour eux.

Rosalie Taillefer-Vaillancourt a toutefois indiqué avoir pu entrer dans la quincaillerie comme elle avait un autre masque avec elle. Son étonnement, mais surtout son questionnement reste toujours.

« Je suis allée à la quincaillerie tantôt et ils ont refusé que j’entre dans le magasin. J’en revenais pas! Une chance, j’avais un autre masque dans mon auto, donc j’ai pu faire mes commissions, mais je trouve que ce n’est pas évident. J’aimerais ça comprendre pourquoi ces masques ne sont pas acceptés dans certains commerces », a-t-elle indiqué.

Au lendemain de la publication de la vidéo, Rosalie Taillefer-Simard était de passage à Salut Bonjour ce mercredi pour en dire plus sur la situation. Selon elle, « c’est un manque d’informations » qui a mené à son refus d’entrer le commerce.

Questionnée par l’animateur Alexandre Dubé, Rosalie Taillefer-Vaillancourt a souligné avoir été discutée avec la personne qui lui avait refusé le passage pour savoir les raisons d’une telle décision.

« Elle disait que c’était à cause du plastique, mais ce n’était pas clair. Elle n’avait pas d’arguments solides. Donc, c’est vraiment un manque d’informations chez le personnel. »

C’est pourquoi la jeune femme a expliqué en détail l’importance des masques pour malentendants et pourquoi ceux-ci devraient être acceptés partout. À titre informatif, Rosalie Taillefer-Simard est née avec une surdité profonde. C’est à l’âge de quatre ans qu’elle a été opérée pour recevoir un implant cochléaire.

« Tous les masques cachent la partie inférieure du visage, ça fait en sorte qu’on ne peut pas lire sur les lèvres. Même aussi, il faut dire que le Plexiglas coupe le son, donc en plus du masque, nous on a de la misère à entendre même si on a des appareils auditifs ou des implants cochléaires. Lire sur les lèvres, ça permet de confirmer ce qu’on entend. C’est ce que les gens parfois ne comprennent pas », a-t-elle ajouté en soulignant que toute la communauté sourde et malentendante se soutient et se comprend.

Rosalie Taillefer-Simard a également partagé les conseils donnés par l’organisme Audition Québec qui suggère à la population que lorsqu’elle croise une personne sourde ou malentendante qui ne semble pas comprendre ce que l’on dit, deux options sont possibles ; la première est de se distancer à deux mètres de distance pour baisser son masque et la seconde est de se placer derrière un Plexiglas, puis de baisser son masque. Ainsi la personne malentendante pourra vous comprendre et vous aurez communiqué en toute sécurité.

Au final, Rosalie Taillefer-Simard ne retient que du positif de cet événement qui lui a permis de faire connaître les défis auxquelles font face les personnes sourdes et malentendantes. En souhaitant que la situation s’ajuste dans le futur.

On lève donc notre chapeau à Rosalie Taillefer-Simard pour avoir partagé ce message important!

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Sport

Pas moins de 20 cas positifs à la COVID-19 chez l’Avangard Omsk

Le Spartak de Moscou a dû suspendre son camp d’entraînement la semaine dernière après qu’une dizaine de joueurs et membres du personnel ont testé positif à la COVID-19. Bien évidemment, les personnes impliquées ont été placées en isolement.

Eh bien, il faut croire que l’Avangard Omsk – qui a élu domicile dans la région de Moscou en attendant des réparations importantes dans leur aréna d’Omsk – y est allé d’un genre de « hold my beer ».

Au moins 20 joueurs et employés de l’Avangard ont été testés positifs à la COVID-19 au cours des dernières heures. Ils viennent d’être isolés et le camp d’entraînement a bien évidemment été suspendu.

La grande majorité des personnes infectées seraient asymptomatiques ou très peu symptomatiques

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Sport

Auston Matthews : L’histoire de son test positif à la COVID-19

Parlons un peu de la COVID-19 ensemble, vous le voulez bien? Parce que ce virus en inquiète plus d’un, avec raison… mais dites-vous que plusieurs personnes, voire une tonne, s’en sortent très bien. 

Décortiquons un brin la situation d’Auston Matthews. Le 19 juin, on a appris que la vedette des Leafs avait testé positif à la COVID-19. Pas moins de 24 jours plus tard, il était attendu au camp des Maple Leafs de Toronto. Donc, il a bien guéri et il n’a aucune séquelle importante… sinon, il ne serait pas là.

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Art de vivre

Josélito Michaud anime une série balado sur la vie après la pandémie

La vie après le confinement – qui commence à se tracer doucement alors que les mesures s’assouplissent et que les commerces locaux rouvrent leurs portes – comporte son lot d’incertitudes. Après tout, personne n’a de boule de cristal dans laquelle lire le futur (ça serait bien en ce moment, non?). Tout ce que nous pouvons faire pour le moment, c’est de respecter les consignes afin d’éviter le plus possible une deuxième vague… et discuter ensemble pour se confier nos craintes et s’entraider. C’est dans cet esprit qu’une nouvelle série balado animée par Josélito Michaud vient d’être lancée: Et après… ?

Crédit: Et après… ? / QUB radio

Dans le balado Et après… ? disponible via QUB radio, l’animateur échangera en compagnie de différents invités des milieux culturel et politique du Québec. Au fil des épisodes, nous entendrons donc 10 hommes et 10 femmes discuter des enjeux liés à la vie après la pandémie; ces personnalités publiques en profiteront d’ailleurs pour lancer leurs hypothèses et refaire le monde une discussion à la fois pour tenter de comprendre ce qui changera dans un futur très proche.

Réputé pour son ouverture et sa bienveillance lors des entrevues, Josélito Michaud est la personne tout indiquée pour alimenter ces discussions qui s’annoncent très intéressantes. Voici quelques questions qui seront abordées:

  • Quelles seront les véritables séquelles d’un tel événement dans nos vies?
  • Allons-nous revoir nos objectifs de vie?
  • Y a-t-il des leçons à tirer de cette pandémie?
  • Que restera-t-il du passage de ce virus? Des apprentissages à comprendre? Des choses à revoir pour éviter une autre catastrophe semblable?

Les deux premiers épisodes de la série balado sont disponibles en ligne dès maintenant et on y retrouve l’auteur-compositeur-interprète Daniel Bélanger ainsi que l’auteure Kim Thuy. Au cours des prochains épisodes, nous aurons le plaisir d’entendre Pauline Marois, Nicole Bordeleau, l’animateur Ricardo Larrivée, le politicien Denis Coderre, la scénariste Danielle Trottier, Grégory Charles, la scénariste Michèle Allen ainsi que Dr Jean-François Chicoine.

Allez-vous changer le monde avec les invités?

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Le témoignage de «réouverture post-confinement» d’une propriétaire de restaurant porte à réfléchir!

Dans une publication partagée hier sur son compte Facebook, la propriétaire du Maestro S.V.P., un restaurant bien connu des Montréalais pour sa cuisine haut de gamme et ses plats gourmands issus des produits de la mer, nous faisait part de son mécontentement et sa peine face à la réouverture post-confinement de son institution.

I am so sad today, and I will be tomorrow. There is so much disrespect regarding COVID-19 in Montreal. Across the…

Posted by Ilene Polansky on Monday, July 6, 2020

« Je suis tellement triste aujourd’hui, et je le serai demain. Il y a tellement un manque de respect envers COVID-19 à Montréal. En face de mon restaurant, je vois des files d’attente au bar sans distanciation sociale et personne ne porte de masque, et ce, presque tous les jours. La nuit dernière a dû être l’une des pires nuits de mes 28 ans d’histoire en tant que propriétaire du Maestro S.V.P. 

Alors qu’il y avait des clients aimables et compatissants, plusieurs autres me traitaient comme une domestique. Un groupe d’environ cinq personnes a jeté des boissons ramenées du dépanneur partout sur mon étage, le laissant rouge, collant et couvert de canettes vides de boisson énergisante Monster, de Coke et de Crush à l’orange. Ils ont laissé tomber de la nourriture partout, tandis qu’un autre groupe assis à une table (distanciée) à proximité faisait jouer des vidéos sur leurs téléphones portables avec le son au maximum, alors qu’ils hurlaient et riaient comme s’ils étaient les seuls au restaurant. 

Les deux groupes se levaient, se déplaçaient dans le restaurant et entraient et sortaient par la porte d’entrée et les grandes fenêtres qui s’ouvrent sur la terrasse, montrant un manque total de conscience de son entourage

Une table de deux personnes qui est venue plus tôt a demandé si le dessert était « on the house » lorsque je leur ai offert le menu, et n’a laissé presque rien comme pourboire sur une facture de 196 $. Quand je leur ai demandé si le service était convenable et que je les ai interrogés sur le manque de pourboire, ils ont répondu en se décrivant comme des « travailleurs au salaire minimum », qui ne pouvaient pas se permettre un pourboire. Ils m’ont alors dit qu’ils écriraient une « mauvaise critique » pour Maestro. L’une des tables des groupes susmentionnés a laissé 0,00 $ comme pourboire sur une facture de 494 $, disant qu’ils « avaient dépensé suffisamment ». Un autre client a choisi de s’asseoir sur la terrasse, mais a changé d’avis peu de temps après. Malheureusement, nous avions atteint notre limite de demi-capacité [imposée par les nouvelles règles sanitaires gouvernementales] à ce moment-là, alors j’ai expliqué que ce n’était pas possible. Sa réponse a été de me donner le doigt d’honneur avec sa main à quelques centimètres de mon visage. Quatre hommes ivres ont exigé que j’arrange ma terrasse d’une manière qui ne respecte pas les règles de distanciation sociale. Quand j’ai refusé, ils ont menacé de « faire une critique d’une étoile ».

Je suis profondément attristée par tout ce que j’ai décrit et ces expériences m’ont encouragée à réfléchir sur ma propre histoire: mon restaurant a survécu à Montréal – une ville avec certains des meilleurs – pendant 28 ans. Bien que je n’aie jamais vu mon statut de femme comme quelque chose qui a entravé mon succès, la réalité est qu’à cause de cela, et d’autres facteurs qui composent mon identité, j’ai commencé dans une position désavantageuse sur de nombreux fronts. Pourtant, je me suis montré à la hauteur à chaque fois et à cause de cela, j’ai survécu.

À 59 ans, je travaille toujours le plancher; je prends toujours de jeunes employés sous mon aile et les mets au défi de faire face à leurs faiblesses tandis que je souligne leurs forces. Je me lève toujours le matin pour m’asseoir à mon bureau, avant même de manger, pour commencer la première tâche de la journée qui contribuera à la capacité du Maestro à apporter de la joie aux gens à travers l’atmosphère, la communauté et surtout, des fruits de mer incroyables.

Aux clients et amis qui m’ont soutenu tout au long de cette période, merci beaucoup. Vous m’avez rappelé que le monde est beaucoup moins effrayant lorsque nous y sommes ensemble; « il y a de la force dans les chiffres », comme dit le proverbe.

À ceux qui m’ont méprisée et manqué de respect, honte à vous. Au nom de tous ceux qui travaillent dur pour traverser cette pandémie en toute sécurité et en paix, réveillez-vous et faites mieux. » Écrit Ilene Polansky.

Suite à la lecture de ce témoignage poignant d’une vétérane de l’industrie, on ne peut éviter de prendre un moment d’introspection à savoir si la façon dont nous traitons nos serveurs lors de nos récentes sorties est adéquate.

Malgré que le «déconfinement progressif» soit entamé depuis plusieurs semaines déjà, la pandémie de la COVID-19 est toujours bel et bien présente parmi nous et l’ombre d’une 2e vague plane constamment au-dessus de nos têtes. Que nous soyons pressés de sortir et excités à l’idée de pouvoir enfin apprécier un repas au restaurant, il est primordial de garder à l’esprit que les temps sont encore incertains et que cette réouverture peut être anxiogène pour plusieurs.

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Sport

CH : aucun joueur à Brossard n’aurait la COVID-19

Depuis peu, la LNH a changé sa manière de faire les choses en ce qui a trait aux annonces des joueurs qui ont la COVID-19.

On se souviendra qu’avant, les cas de COVID-19 étaient annoncés au besoin et non pas à date fixe. En plus, on pouvait savoir quelle équipe avait un cas dans son équipe, ce qui n’est plus le cas maintenant.

On se souviendra d’ailleurs que le gouvernement du Québec avait pris la même décision (l’annoncer à date fixe), mais avait reculé suite au mécontentement de la population.

Tout ça pour dire qu’il est difficile maintenant de savoir si c’est un joueur du CH ou un joueur d’une autre équipe qui est atteint.

Mais quand on y pense, on peut déduire des choses.

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Art de vivre

J’ai finalement compris que nous ne pourrons pas visiter notre famille cet été

Je crois que j’ai réalisé la distance qu’il y avait entre les gens que j’aime le plus au monde (hormis mes enfants et mon mari) quand j’ai reçu le courriel qui disait que notre voyage en France était annulé. J’ai pris 3 ans avant de décider de prendre des vacances en France parce que j’avais peur que ce soit trop dur à nouveau de quitter mes proches quand on allait repartir. 

Depuis que l’on a pris nos billets d’avion, j’oscillais entre le « ouf, ça va être intense pendant 6 semaines pour nous qui sommes si tranquilles ici » et les papillons dans le ventre à l’idée de présenter ma fille à ses arrière-grands-mères, à ma soeur et à mes amis. Mes deux gars avaient tellement hâte et je m’y voyais déjà, les doigts de pied en éventail sur la plage.

Après 4 mois avec 3 enfants à temps plein à la maison, 3 repas par jour et 10 collations à préparer, j’allais enfin voir la mer et puis, surtout, voir ma mère. La nouvelle m’a écrasée et j’ai passé la journée à pleurer; mon voyage est annulé. Je suis triste et j’ai envie de rentrer. Jamais en déménageant ici je n’ai envisagé qu’on me conseillerait un jour fortement de ne pas aller en France si mon voyage n’est pas considéré comme essentiel (et essentiel selon le gouvernement, pas selon moi, on s’entend).

Au-delà de la peine, j’avais aussi besoin d’air et ce voyage était ma bouffée d’air frais anticipée. J’aime mes enfants plus que tout, mais j’avais envie que mamie prenne le relais juste une nuit ou deux. J’ai envie de voir des gens, d’être collés dans une file d’attente de restaurant, j’ai envie de parler, rire, échanger. Et mes enfants aussi commencent lourdement à s’ennuyer parce que oui, c’est le fun le jardin, la piscine, les voisins; mais trois mois plus tard, ça commence à faire lourd de ne pas voir autre chose, d’autres gens.  

Blâmez-moi de me plaindre avec ma cour et ma piscine si vous voulez, mais j’en ai marre. Pourtant, on a bien vécu le confinement; le déconfinement progressif est moins bien toléré, on dirait. Je ne remercierai jamais assez ma voisine d’être là pour nous; sans eux, à ce stade, je doute fort de ce que serait mon état mental. Au moins, mes enfants, du haut de leur 6 et 7 ans, sont venus me consoler quand j’ai su qu’on ne partait pas, prônant qu’on allait aller aux glissades d’eau avec papa à la place. J’aime qu’ils voient le positif dans la situation; ils ont raison, nous allons profiter du Québec cet été à la place!

J’espère juste qu’il sera possible de profiter pleinement de ce voyage l’an prochain, que ma grand-mère, que j’ai pris la décision de ne pas rentrer voir avant, sera encore là et que la pandémie sera derrière nous. À mes proches qui me liront et à mes amis avec qui je comptais passer le plus clair de mon temps cet été, j’ai tellement hâte de vous voir (l’an prochain?).

Vous avez une histoire à partager? Écrivez-nous au info@tplmag.com

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Art de vivre

Deux créatrices montréalaises lancent une version « COVID » du jeu Serpents & échelles

Afin d’aider les familles à se détendre et passer de bons moments ensemble, deux créatives jeunes femmes ont conçu et lancé un jeu inspiré du classique Serpents & échelles, en lui donnant une petite twist humoristique.

Découvrez Covid & échelles, le jeu de société québécois qui fait rimer déconfinement et amusement!??????? Pendant le…

Posted by Covid & échelles on Thursday, June 4, 2020

Covid et échelles a été conçu par l’autrice Zoé Boudreau et l’illustratrice Chloé Baillargeon. On peut y jouer de 2 à 4 joueurs et l’âge recommandé est de 5 ans et plus. Le jeu propose un parcours à obstacles amusant, à prendre au deuxième degré! Selon Zoé Boudreau, le jeu lui « [permet] de faire le point sur les événements et de les transposer dans un contexte ludique à la portée de mes enfants. Ce n’était pas pour moi une manière de minimiser la gravité de la crise, mais plutôt un moyen d’en prendre une distance pour mieux la traverser. » 

Le jeu peut être téléchargé, imprimé et assemblé chez soi en quelques clics seulement. L’ensemble prêt-à-jouer, au coût de 9,95$ comprend les règles du jeu, quatre pions, un dé et la planche de jeu en format PDF à imprimer de chez soi. Il y a trois versions culturellement adaptées à selon les événements marquants qui se sont déroulés durant la période. Il y a une version québécoise, une version française et une version américaine du jeu.

Le jeu de société Covid & échelles peut être téléchargé, imprimé et assemblé chez soi. L’ensemble du jeu prêt-à-jouer comprend les règles du jeu, quatre pions, un dé et la planche du jeu, le tout en PDF à imprimer depuis le confort de votre demeure. La moitié des profits iront à l’organisation non gouvernementale NOW, qui a pour but de soutenir et défendre les droits des minorités opprimées à travers le monde. 

Covid & échelles est réalisé en trois versions culturellement adaptées : québécoise, française et américaine (anglais). Il est disponible en ligne dès maintenant au prix de 9,95 $ (CAD). À noter que 50 % des profits sont reversés à NOW, une organisation non gouvernementale franco-québécoise qui a pour but de soutenir et de défendre les droits des minorités opprimées à travers le monde.

Pour en savoir plus sur le jeu, cliquez ici

Nous ne sommes pas payées pour vous parler de ce jeu,

on aime simplement vous partager nos belles découvertes !