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DiCaprio : les «crackheads» l’ont tenu loin de la drogue

Leonardo DiCaprio aime faire la fête, et son style de vie volage n’est plus à démontrer.

Mais, il semble que l’acteur de 41 ans garde une certaine distance avec les drogues dures. La raison? De douloureux souvenirs des affres de la drogue sur les « crackheads » (accros du crack) de son quartier mal famé de Los Angeles, alors qu’il était encore tout jeune.

« La gloire peut rendre instable et mettre une grande pression. Plusieurs se réconfortent dans la drogue, qui procure une réalité alternative ou une manière de mieux réagir à tout ça. Moi, j’ai grandi avec ça près de moi. Partout ou je regardais. Littéralement, je sortais de la maison et c’était partout, en plein devant mon visage. Des crackheads partout. Ça m’a fait penser à deux fois. Une grande leçon. Je ne dis pas que les jeunes doivent voir ça pour s’en éloigner, mais ça n’est juste jamais devenu une option pour moi », explique Leonadro DiCaprio en entrevue avec Deadline.

La star de The Revenant est pressentie pour remporter son premier Oscar en carrière cette année. Il se présentera à la 88e cérémonie des Oscars avec un BAFTA et un Golden Globe d’interprétation en poche.

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Le fils de Tom Hanks accro à la cocaïne

Chester Hanks, 25 ans, a un gros problème de dépendance à la cocaïne. Le fils de Tom Hanks a décidé d’en parler ouvertement via son compte Instagram.

Accro à la puissante drogue depuis qu’il a 16 ans, il raconte entre autres que ses troubles de consommation sont dus à la pression sociale et au fait d’être le fils d’un homme aussi célèbre que Tom Hanks.

Celui qui est entré en cure de désintoxication au début de l’été explique : «Ça été tout un parcours pour découvrir qui je suis à cause de toute la pression subie au cours de ma vie, vous savez, être le fils de mon père et tout.»

Toujours via Instagram, il a publié une série de vidéos dans lesquels il explique comment il en est venu à réaliser que son mode de vie n’allait pas.

«Je suis allé en désintox. J’essaie de mettre de l’ordre dans ma vie et je réussis plutôt bien!» confie-t-il. Il ajoute : «Il y a quelques mois à peine, je vendais de la coke et j’en prenais aussi, jusqu’à ce que je n’y arrive plus tellement mon nez était bloqué. Je fumais même du crack!»

Le jeune rappeur a en effet eu plusieurs problèmes qu’on devine reliés à sa consommation. Entre autres, il a détruit une chambre d’hôtel après s’être fait refuser du sexe par trois femmes différentes en une soirée. Il a sauté un plomb sur Instagram en utilisant à plusieurs reprises le mot n**** dans une série de publication.

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Tom Hardy aurait vendu sa mère pour du crack

Tom Hardy y est allé d’une stupéfiante révélation dans une entrevue accordée en marge du Festival de Cannes et de la promotion de Mad Max : Fury Road.

L’acteur britannique de 37 ans admet non seulement avoir été accro aux drogues dures au cours de sa vie, mais qu’il aurait aussi probablement « vendu sa mère pour une roche de crack », à un certain point.

« J’étais une honteuse statistique de banlieue. On m’a dit très tôt : « Si tu empruntes ce chemin, Tom, tu ne reviendras pas. C’est tout. C’est tout ce que tu dois savoir ». Ce message est resté avec moi pour le reste de mes jours. Je suis f****** chanceux d’être ici », explique Tom Hardy à Essentials (Yahoo! New Zealand).

Hardy explique du même souffle que son image de dur à cuire ne colle pas tout à fait avec la réalité.

« Les gens ne me portaient pas attention jusqu’à ce que je prenne de la masse et que je commence à botter des culs et à être agressif! Je ne suis pas un combattant. Je suis un petit garçon bourgeois de Londres », lance la star d’action.

Après une première réussie à Cannes, Mad Max : Fury Road arrive maintenant en salles, dès aujourd’hui (15 mai).

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Randy Raymond emprisonné pour trafic de drogue

L’interprète du succès Revolver, Randy Raymond, a été condamné à 56 jours de prison le 17 juillet dernier pour trafic de crack, mentionne le journal L’information de Sainte-Julie-Varennes et Saint-Amable.

Le service de police de Longueuil a d’abord arrêté le chanteur le 31 mars dernier après que celui-ci ait fait une transaction. Les autorités avaient été informées qu’un trafic de crack s’effectuait à Longueuil. Au moment de son arrestation, Raymond avait aussi en sa possession 1 915 $ et 3 téléphones portables.

Seulement, le juge Marc Bisson a critiqué le travail de la police, car il y a eu cafouillage lors des analyses en laboratoire, et Randy Cemeus, de son vrai nom, a été accusé pour une quantité de crack beaucoup moins importante qu’il n’avait en réalité. La seule preuve que le juge disposait était pour 0,6 gramme de crack, alors que le chanteur aurait pu être accusé pour 11,7 g.

Raymond avait été détenu trois jours après son arrestation, mais il est en prison depuis le 25 juin, car il a été arrêté de nouveau pour les mêmes accusations. Comme il a déjà purgé 26 jours de prison, il lui en reste 30 à faire. Mais il doit se présenter de nouveau au palais de justice aujourd’hui (19 juillet) pour faire face à deux chefs d’accusation de bris de conditions au palais de justice de Longueuil et un chef d’accusation de bris de conditions au palais de justice de Montréal.

quo;interprète du succès Revolver, Randy Raymond, a été condamné à 56 jours de prison le 17 juillet dernier pour trafic de crack, mentionne le journal L’information de Sainte-Julie-Varennes et Saint-Amable.

Le service de police de Longueuil a d’abord arrêté le chanteur le 31 mars dernier après que celui-ci ait fait une transaction. Les autorités avaient été informées qu’un trafic de crack s’effectuait à Longueuil. Au moment de son arrestation, Raymond avait aussi en sa possession 1 915 $ et 3 téléphones portables.

Seulement, le juge Marc Bisson a critiqué le travail de la police, car il y a eu cafouillage lors des analyses en laboratoire, et Randy Cemeus, de son vrai nom, a été accusé pour une quantité de crack beaucoup moins importante qu’il n’avait en réalité. La seule preuve que le juge disposait était pour 0,6 gramme de crack, alors que le chanteur aurait pu être accusé pour 11,7 g.

Raymond avait été détenu trois jours après son arrestation, mais il est en prison depuis le 25 juin, car il a été arrêté de nouveau pour les mêmes accusations. Comme il a déjà purgé 26 jours de prison, il lui en reste 30 à faire. Mais il doit se présenter de nouveau au palais de justice aujourd’hui (19 juillet) pour faire face à deux chefs d’accusation de bris de conditions au palais de justice de Longueuil et un chef d’accusation de bris de conditions au palais de justice de Montréal.

Crédit photo : Patricia Gougeon/BUM Interactif Groupe (BIG)

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Russell Brand a frôlé la rechute d’héroïne

Plus de 10 ans après s’être battu contre l’héroïne et le crack, Russell Brand admet que la drogue est toujours présente dans son esprit, et qu’il en a envie lors des moments difficiles.

Selon Female First, Russell Brand a raconté mardi (5 mars) qu’il s’est approché du chaos alors qu’il venait de recevoir une mauvaise nouvelle.

« La dernière fois que j’ai pensé à prendre de l’héroïne était hier. J’ai reçu une troublante nouvelle de la part d’une femme magnifique. Elle m’a appris qu’elle était enceinte, et que l’enfant n’était pas de moi. »

Le comique anglais reconnait qu’il comptait alors acheter de la drogue auprès d’un revendeur qu’il connaissait, mais il a été sauvé par un appel à celui qui le soutient dans sa lutte.

« Je pensais aux endroits où je pouvais me procurer de la drogue […], puis j’ai pris mon téléphone. J’ai appelé quelqu’un qui n’est pas un docteur ou un grand sage, juste un type comme moi, un autre alcoolique, qui comprend ce que je ressens. »

« Le téléphone sonnait, et je souhaitais à moitié qu’il sonne indéfiniment. Il était 4 h du matin à Londres, il dormait sans doute, n’entendrait pas et ne décrocherait pas. Puis, la sonnerie s’est arrêtée, et je l’ai entendu marmonner : “Allo, comment ça va mon ami?” »

« Et pour un autre jour, Dieu merci, je n’en ai pas pris. »

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L’alcool serait plus dangereux que les drogues

Des chercheurs britanniques ont comparé différentes substances, comme l’héroïne, la cocaïne, le crack, la marijuana et l’ecstasy, avec l’alcool.
 
Selon leurs résultats publiés dans la revue The Lancet, l’alcool serait le plus nocif de tous si l’on considère tous ses impacts, autant chez les individus que la société.
 
L’alcool affecte tous les organes du corps humain. Il cause le plus haut taux de mortalité sur les routes, il cause l’éclatement des familles et finit par être extrêmement dispendieux pour les systèmes de santé et services sociaux, ainsi que pour le milieu judiciaire et carcéral.
 
Par contre, au niveau de la santé d’une personne, ce sont l’héroïne, le crack et les méthamphétamines qui sont les plus dommageables. Ces trois drogues sont les plus mortelles de toutes.
 
Toutefois, si l’on tient compte de tous les impacts individuels et collectifs, l’alcool les surpasse, mentionne le professeur David Nutt de l’Imperial College London.
 
Parmi les drogues les moins nocives, on retrouve la marijuana, le LSD et l’ecstasy.