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Les peurs irrationnelles des enfants: un beau défi!

Depuis quelques jours, mon deux ans refuse de prendre son bain ou sa douche. Ce n’est pas super facile quand il joue au parc et qu’il a de la terre jusque dans les oreilles. Après une investigation digne d’Inspecteur Gadget #90 j’ai compris que fiston avait peur qu’un loup sorte du robinet.

Comme parent, c’est souvent difficile de trouver, une solution a une peur irrationnelle d’un enfant si jeune. Malheureusement, je ne peux pas juste lui expliquer que c’est bien impossible qu’un grand loup passe dans un tuyau et sorte par un robinet. Cette peur est tellement présente, qu’il en parle dès qu’il arrive à la maison plusieurs heures avant l’heure du bain. Je n’ai pourtant aucune idée d’où vient cette crainte.

Crédit:Francesca Tosolini/Unsplash. Montage: Véronique Theworst

Dans les deux derniers jours, j’ai donc fait quelques tentatives pour faire disparaitre cette peur :

  1. On a regardé dans le robinet et on n’a pas vu de loup. Cependant, cela ne l’a pas convaincu qu’il ne pourrait pas arriver plus tard.
  2. On a soufflé sur la maison qui est en brique parce les loups détruisent uniquement les maisons de paille ou de bois #3petitscochons.
  3. On a fait une préparation magique dans un vaporisateur. Malgré plusieurs pouche-pouche dans la douche, il avait toujours peur.
  4. On a mis des dinosaures dans le bain, parce que tout le monde sait bien que les loups ont peur des dinosaures. Deux ans les trouve par contre trop petits contre un grand méchant loup.

En ce moment, j’en suis à prendre ma douche avec lui parce que c’est la seule chose qui fonctionne. Peut-être que dans les prochains jours, il va accepter de prendre sa douche pendant que je lui tiens la main à l’extérieur du bain. Puis tranquillement, je pourrai augmenter la distance. Je lui laisse du temps pour se défaire de cette peur.

Est-ce que vos enfants ont des peurs particulières ? Qu’avez-vous fait pour les faire disparaitre ?

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Les femmes reportent la grossesse à cause des changements physiques

Selon une nouvelle étude rapportée par Female First, les femmes britanniques mettent l’apparence physique avant la famille.

Malgré leur désir d’avoir des enfants, les trois quarts des femmes ont admis, lors d’un sondage, avoir retardé le moment de fonder une famille à cause des conséquences de la grossesse sur leur corps.

C’est dans le cadre d’une étude en ligne sur le site UkMedix que ces mères ou mamans en devenir ont répondu au questionnaire.

Le tiers des répondantes étaient préoccupées par leur corps malgré tout pendant la grossesse, et 68 % ont indiqué qu’elles avaient peur de ne pas retrouver leur taille d’avant.

La pression ressentie pour entrer dans leur jean en sortant de l’hôpital était une préoccupation pour nombre d’entre elles. 64 % ont affirmé que les célébrités qui retrouvent toutes leur taille de guêpe rapidement ajoutent à cette pression. Seulement 9 % ont affirmé que cette pression provenait du conjoint.

Les autres préoccupations d’importance pour ces femmes étaient à 32 % le congé de maternité, à 27 % la crainte que la carrière soit affectée, et le quart craignaient de perdre leur vie sociale.

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Voyage avec l’école : comment diminuer les craintes du parent

Vous pouvez prendre quelques précautions et avoir une bonne discussion avec votre enfant avant son départ, mais également demeurer en contact pendant le voyage. Heureusement, dans le cas présent, les médias sociaux et les courriels sont bienvenus.

Les incontournables, selon Parenting Squad :

 
Faire des copies des documents importants

– De la première page du passeport et du visa si celui-ci est nécessaire. Conservez une copie et assurez-vous que votre enfant aussi en a une.

– Du devant et du dos de la carte de crédit qui sera utilisée, puis inscrivez le numéro de téléphone à joindre en cas de perte ou de vol.

– Des papiers d’assurance et de la couverture.

– De tous les documents de voyage de votre enfant, entre autres l’itinéraire et les coordonnées, que vous conserverez bien classés dans une chemise.

Discussion préventive

Abordez tous les sujets sur les mesures de sécurité et vos craintes respectives ou vos attentes. Si votre enfant est inquiet, rassurez-le. Puis, prévoyez également un rendez-vous quotidien pour vous parler si nécessaire.

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5 bonnes raisons pour mettre votre peur de l’accouchement de côté

Même si vous suppliez votre médecin de vous endormir, vous savez que cela n’arrivera pas. Pourquoi ne pas tenter de transformer vos peurs en sentiment d’accomplissement?

Une expérience unique

Comme l’indique Plurielles.fr, l’accouchement, au-delà de la crainte, restera gravé comme le plus beau jour de votre vie, et ce, parce que vous donnerez naissance. C’est un don, pas une malédiction! Devenir maman vaut cette épreuve, soyez-en certaine.

Vive les temps modernes

Aujourd’hui, avec tous les soins, la médecine et les méthodes qui s’offrent à vous, dont la césarienne et l’épidurale, les risques sont réellement minimes. Vous serez entre bonnes mains et accompagnée de gens spécialisés et compétents. Il y a 200 ans… on pouvait en douter sérieusement.

Vous êtes mieux préparée que quiconque

Vous avez des amies qui sont passées par là, vous avez lu, consulté internet, visionné des vidéos, vous avez également suivi des cours prénataux et êtes plus prête que vous le croyez. Faites-vous confiance.

La communication, votre alliée

Vous pouvez en parler autour de vous. Que ce soit au médecin, à votre conjoint, votre mère, vos amies, n’hésitez pas à faire part de vos peurs. Et si les gens n’en peuvent plus, c’est que vous avez fait le tour. Désormais, profitez du temps qu’il vous reste en vous dorlotant.

Vous êtes normale

Avoir peur de l’accouchement fait partie du processus normal de la grossesse, de nos craintes de l’inconnu. Vous y avez droit. Cessez donc d’être si dure envers vous-même.

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4 étapes pour les hommes lorsque la grossesse tarde à se concrétiser

Voici un résumé des étapes qui vous aideront à réfléchir à la situation. Comme l’indique ParentingSquad,  lorsque le plaisir « d’essayer de faire un enfant » devient une obligation et même un facteur de stress, il faut agir.

Passez des tests

La meilleure façon d’éliminer ou de confirmer un problème d’infertilité est de consulter un spécialiste. Commencez ainsi, vous éviterez ainsi de vous questionner.

Parlez à votre conjointe

Ne gardez pas vos inquiétudes pour vous-même. Si elle se sent déprimée parce que ses amies n’ont pas ces difficultés, il se peut que de votre côté, vous soyez stressé parce que « faire l’amour sur demande », lorsqu’elle ovule, vous coupe totalement vos envies. Partager vous rapprochera dans ce processus.

Soyez attentionné et impliquez-vous

Une petite note, un mot toux, une attention, un massage, des fleurs, n’importe quoi pour démontrer à votre moitié que c’est aussi important pour vous. N’oubliez pas non plus d’aller avec elle lors de ses rendez-vous chez le médecin, ou gardez-vous du temps pour qu’elle vous raconte par la suite.

Prenez une pause… pour mieux recommencer

Lorsque le plaisir n’y est plus, demandez une pause pour éviter de subir trop de pression. De toute façon, si l’un ou l’autre dans le couple est trop stressé, vous ne ferez que diminuer les chances de concevoir. Suggérez de passer du temps ensemble à penser à autre chose.

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Comment faire de votre nouvelle maison un refuge douillet pour vos enfants

Selon Earnestparenting.com, plusieurs causes peuvent expliquer qu’un enfant n’aime pas (ou même déteste) une nouvelle maison.

Il ne ressent aucune attache (aucun souvenir), le nouvel environnement est totalement inconnu, il a peur des lieux, et il n’a aucun ami ou famille dans le nouveau quartier.

La meilleure façon pour que votre enfant laisse ses craintes de côté consiste à intégrer des éléments de son ancien environnement dans le nouveau.

Par exemple, organisez des journées où des amis viendront passer la journée ou même coucher. Cela créera de nouveaux souvenirs rapidement, et votre enfant fera visiter les lieux à ses connaissances. Il développera ainsi plus facilement un nouveau sentiment d’appartenance, en plus de comprendre qu’il peut encore voir ses amis.

Pensez aussi à la famille, surtout aux gens avec qui votre enfant a plusieurs souvenirs à partager, comme les grands-parents. En passant du temps avec eux, votre enfant se sentira plus rapidement à l’aise chez lui.

Attendez avant de le laisser seul avec une gardienne. Il doit se familiariser avec les lieux au préalable. Sinon, demandez à quelqu’un de la famille de venir garder.

Finalement, vous pourriez disposer les meubles de sa nouvelle chambre de la même façon que dans la précédente, du moins pour un temps.

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Ces mamans qui cessent l’allaitement à cause du stress

Les craintes des nouvelles mamans sont nombreuses. Que ce soit par conviction, par pression des proches ou parce qu’on a peur du jugement, à priori, si notre choix d’allaiter n’est pas totalement volontaire ou que l’on manque de soutien, il se peut que le stress prenne rapidement le dessus.

Une recherche publiée dans la revue Pediatrics explique les principales raisons qui poussent les nouvelles mères à abandonner l’allaitement au profit du biberon. Plus de 2700 femmes ont répondu au sondage et sur ce nombre, 532 allaitaient pour la première fois.

Après seulement 3 jours d’allaitement, sur ces 532 femmes, plus de la moitié étaient inquiètes parce que leur enfant arrivait difficilement à prendre le sein. Plus de 44 % soulevaient la douleur associée à l’allaitement, et 40 % craignaient de ne pas fournir suffisamment de lait. De plus, la peur de devoir allaiter dans un endroit public semblait s’ajouter au stress.

Les chercheurs ont noté que la combinaison de ces facteurs apportait un stress énorme, qui se mutait rapidement en anxiété et poussait les femmes à opter pour le biberon après seulement quelques jours.

Bien entendu, la remise en question qui en a résulté tenait compte du manque de soutien apporté aux femmes qui allaitent pour la première fois.

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Comment préparer son enfant avant une opération

Vous êtes la première personne qui a besoin d’être rassurée, dans la mesure où vous souhaitez rassurer votre enfant. Renseignez-vous auprès du médecin sur le déroulement avant, pendant et après l’opération. Il vous sera plus facile de répondre aux questions de votre enfant par la suite.

Comme le mentionne Parenting Squad, attention aux mots! Votre enfant vous posera un tas de questions. Par exemple, évitez de lui dire qu’il est « courageux et que tout se passera bien ». Cela implique que l’opération est dangereuse ou qu’il a raison d’avoir peur. C’est bête, mais il faut expliquer ce qui se passera en termes simples, du début à la fin.

Il existe des livres pour enfants qui parlent d’opération et qui pourraient grandement vous aider si vous n’arrivez pas à calmer ses craintes. Renseignez-vous auprès d’un libraire.

S’il vous est possible d’organiser une petite tournée de l’hôpital, afin de familiariser votre enfant avec les environs, cela pourrait l’aider à se sentir plus à l’aise le jour de l’opération. Il reconnaîtrait les lieux et peut-être même une infirmière ou deux.

Lorsqu’il est temps de faire la valise, laissez votre enfant apporter son jouet préféré, son toutou et tout ce qui peut le rassurer, tout en demeurant raisonnable! Il faut quand même que tout cela entre dans un sac.

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Devenir parents, une adaptation qui peut prendre 2 ans

Il s’agit des résultats d’un sondage réalisé auprès de 2000 parents au Royaume-Uni par la compagnie de produits pour enfants Munchkin. Selon femalefirst.co.uk, les données ont grandement surpris les dirigeants de l’entreprise.

En tout, 58 % des mères craignaient de ne jamais arriver à maîtriser ce nouveau rôle. En outre, les deux tiers des femmes indiquaient que leur conjoint prenait également beaucoup de temps à s’adapter à son rôle de père.

Plus de la moitié des répondantes ont affirmé qu’elles se sentaient nerveuses bien avant l’arrivée du bébé. Sur les 2000 parents interrogés, plus de 60 % n’avaient personne à qui se confier, par peur d’avoir l’air ridicule.

Malgré toute cette inquiétude, de nombreux parents ont admis qu’ils regrettaient toute cette angoisse, et les deux tiers auraient aimé être plus calmes pour mieux profiter de cette belle expérience.

Voici le top 10 des éléments que les mères affirment devoir maîtriser avant de considérer qu’elles ont réussi à s’adapter à la parentalité :

– Avoir une routine;
– Savoir quoi faire lorsque bébé pleure;
– Ne pas s’inquiéter des réactions de bébé en public;
– Ne pas paniquer lorsque l’enfant est malade;
– Toujours quitter la maison avec un rechange de vêtements;
– Être en mesure de changer une couche rapidement;
– S’assurer que le nourrisson dorme des nuits complètes;
– Quitter la maison avec suffisamment de lait, nourriture et collations;
– Toujours avoir un jouet pour amuser bébé;
– Être en mesure de quitter la maison à l’heure.