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La chaleur de l’été peut déranger bébé

Inconfort, malaises, rougeurs, pleurs… votre poupon a peu pour démontrer son désintérêt pour la chaleur de l’été, et son organisme s’adapte moins bien aux changements de température que celui de l’adulte, explique Top Santé.

Pour lui donner un coup de main et anticiper les besoins du nourrisson, le parent devrait changer très souvent la couche, laisser ses fesses à l’air libre entre deux changements, car elles auront moins de risque de devenir rouges de douleur en raison de l’humidité qui cause la macération.

Un bébé devrait boire plus souvent en période de chaleur. Eau, boisson 100 % fruitée ou légèrement sucrée, lait… l’important est qu’il ne se déshydrate pas. Forcez-le au besoin et, surtout, gardez votre enfant à l’air conditionné ou dans des endroits frais et à l’ombre durant les périodes de chaleur. Si votre petit souffre de diarrhée ou de selles liquides, une visite chez le médecin est vivement recommandée.

Si la chaleur tombe durant vos vacances et vous désirez profiter du soleil, évitez les coups de chaleur et risques d’insolation en sortant avant 11 h le matin et après 17 h avec votre bébé. Ce dernier devrait toujours porter un t-shirt, qu’il soit dans l’eau ou non. La crème solaire devrait être appliquée et renouvelée toutes les heures.

Si, malgré toutes ces précautions, votre bébé devient rouge, « enveloppez-le de linge frais et humidifié, installez-le dans la pièce la plus fraîche de la maison et faites-lui boire une solution de réhydratation orale (vendue en pharmacie) pour le “recharger” en sels minéraux », conseille Top santé, rappelant qu’il ne faut surtout pas faire prendre un bain froid à un bébé qui a chaud, car cela pourrait déclencher des convulsions.

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Les compléments alimentaires ne protègent pas des coups de soleil

Été et beau bronzage riment ensemble. Les gens font tout pour avoir un super teint durant leurs vacances. Certains vont jusqu’à prendre des compléments alimentaires à base de substances antioxydantes comme le lycopène, le sélénium, la lutéine ou les caroténoïdes pour obtenir une peau dorée.

Les compléments alimentaires sont bons pour la peau et font en sorte qu’elle soit plus apte à se défendre contre certains méfaits des UV, en retardant en quelque sorte les risques d’attraper un coup de soleil.

Top Santé explique : « Les compléments alimentaires n’ont aucun effet ou presque sur les risques de coups de soleil puisqu’ils multiplient la dose maximale de soleil admise par la peau par 1,3. Autrement dit, on mettra 23 minutes avant d’avoir un coup de soleil au lieu de 20 minutes d’exposition ».

Les gélules ne sont donc pas une protection solaire et ne devraient en aucun cas remplacer chapeau, lunettes de soleil et crème solaire, qui demeurent les outils les plus efficaces de protection contre les UVA et les UVB, confirment les dermatologues.

Les spécialistes de la peau rappellent aux personnes bronzées que leur beau teint les rend moins sensibles aux coups de soleil, mais qu’elles ne sont pas pour autant à l’abri du cancer de la peau et des mélanomes, de plus en plus présents chez les moins de 40 ans.

Il semblerait qu’il y ait seulement 15 % des gens qui pensent à remettre de la crème solaire toutes les deux heures lorsqu’ils sont à l’extérieur au soleil ou après la baignade.

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Les crèmes solaires en vaporisateur sont mauvaises pour les enfants

Pourtant si facile à utiliser, les crèmes solaires à vaporiser devraient être réservées aux adultes, avance la Food and Drug Administration (FDA), en cette période estivale.

Alors que les enfants sont portés à bouger lorsqu’on leur met de la crème solaire, il est dangereux que celle en vaporisateur soit inhalée ou encore se retrouve dans leurs yeux. Selon le magazine de consommateurs Consumer Reports, il est tout de même mieux de mettre ce type de crème que rien du tout.

Toutefois, s’il s’agit de votre seule alternative, il est conseillé de vaporiser la crème dans vos mains avant de frotter l’enfant, surtout que s’il bouge, vous risquez de manquer des endroits de sa peau fragile.

Le site Top Santé, quant à lui, rappelle d’ajouter de la crème solaire aux enfants aux 2 heures ou après la piscine. La protection de celle-ci doit toujours être élevée.

Les parents devraient également favoriser l’ombre d’un parasol pour leurs petits, avoir à la portée de la main des verres fumés pour ces derniers et s’abstenir d’exposer leurs enfants au soleil, surtout entre 12 h et 16 h. Ce moment de la journée est celui où le rayonnement ultraviolet est le plus coriace.

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Comment mettre de la crème solaire aux enfants sans se disputer

Parenting Squad vous propose quelques trucs pour protéger la peau de vos tout-petits.

Les bâtons de crème solaire : Ils sont efficaces et faciles à mettre dans le visage. C’est souvent cette partie du corps qui fait en sorte que les enfants se tortillent et refusent de revenir appliquer de la crème.

Le vaporisateur : À utiliser lors des applications subséquentes. Ainsi, vous n’aurez qu’à utiliser le format en crème le matin. Faites attention aux yeux cependant, et prenez garde à ce qu’ils ne respirent pas le produit.

Tout le monde doit participer : Faites-le en famille, papa compris. Chacun crème le dos de l’autre. Par la suite, ils n’ont qu’à vous imiter pour le reste.

Combinez l’heure de la crème à celle de la collation : Avec une collation en bouche, une distraction efficace, vous serez en mesure de les garder en place un peu plus longtemps.

Changez-leur les idées : Appliquez la crème avant de quitter la maison. C’est le moment idéal d’utiliser la télévision pour capter l’attention des enfants.

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L’écran solaire ne protège pas contre le plus mortel des cancers de la peau

Sans la protection du gène p53, le cancer de la peau peut rapidement prendre le dessus. Or, des scientifiques de l’Université de Manchester et de l’Institut de recherche du cancer ont découvert que la lumière UV passe même à travers la crème solaire.

De ce fait, les rayons UV s’attaquent directement au gène p53, et ce dernier est habituellement celui qui protège notre ADN contre les effets nocifs de la lumière du soleil.

« Il y a longtemps que nous savons que la lumière UV cause du mélanome malin, un type de cancer de la peau, mais la façon dont cela se produisait n’était pas claire », affirme le professeur Richard Marais. « La lumière UV vise spécifiquement le gène qui nous protège habituellement d’elle. »

Au terme de cette étude, comme le rapporte le Telegraph, Marais conçoit qu’il nous faudra utiliser « une combinaison d’écran solaire et d’une autre stratégie pour protéger notre peau ». Ceci inclut notamment « le port du chapeau, des vêtements amples et la recherche d’ombre lorsque le soleil est à son plus fort ».

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Cancer de la peau : les jeunes sont insouciants

Une méta-analyse de 51 études a montré que les coups de soleil durant l’enfance ont presque doublé le risque de mélanome à l’âge adulte.

Une étude a démontré que la plupart des enfants et des adolescents n’utilisent pas régulièrement un écran solaire, en dépit des rapports des taux élevés de coups de soleil.

Entre 2004 et 2007, lors d’une étude portant sur le suivi de 360 enfants, 53 % des jeunes ont déclaré aimer avoir un bronzage à l’entrevue initiale. Trois ans plus tard, ce chiffre est passé à 66 %.

La proportion de jeunes ayant déclaré qu’ils avaient passé du temps au soleil pour obtenir un bronzage a augmenté de 21,8 % en 2004 à 39,8 % en 2007.

Utiliser des écrans solaires sur une base régulière a baissé de 50 % entre le début du suivi à 25 % en 2007.

Les jeunes filles sont d’ailleurs deux fois plus susceptibles de vouloir être bronzées que les garçons.

Le mélanome est l’un des deux cancers les plus répandus chez les jeunes Américains. La préadolescence représente une période cruciale pour informer et faire comprendre aux jeunes les dangers de l’exposition au rayonnement UV.

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Le vin et le raisin pour protéger du soleil

Après avoir appris que le chocolat noir et la caféine pouvaient protéger contre les effets nocifs des rayons UV, voilà que le Journal of Agricultural and Food Chemistry ajoute que le vin et le raisin seraient également des atouts de choix.
 
Ce sont les polyphénols contenus dans le vin et le raisin qui offriraient cette protection.
 
Attention toutefois, dans leur cas, on ne parle pas d’une efficacité si l’on boit du vin ou mange des raisins. Ils offriraient une protection s’ils sont inclus dans une crème solaire.
 
Voilà pourquoi on pense les intégrer aux ingrédients prochainement, si d’autres tests s’avèrent aussi concluants que les premiers.
 
Selon l’équipe de l’Université de Barcelone, ces polyphénols ont des propriétés antioxydantes qui freinent la formation des molécules qui endommagent et détruisent les cellules de la peau.
 
Ces molécules sont appelées les radicaux oxygénés libres et se forment avec l’action des rayons UV. C’est ce qui entraîne les coups de soleil, le vieillissement prématuré de la peau et les cancers de la peau.
 
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Pour la crème solaire, le FPS 30 est le minimum

En janvier, on mentionnait qu’une crème solaire avec FPS 15 était suffisante pour offrir une bonne protection contre les rayons UVA et UVB.
 
Des médecins disent maintenant que ce facteur de protection est nettement insuffisant pour prévenir des risques du cancer de la peau. On recommande plutôt un FPS de 30 minimum.
 
Selon le Daily Mail, le FPS 15 ne fonctionne bien que si la crème est appliquée en couche épaisse de 2mg/cm2. Donc, pour couvrir tout le corps, nous aurions besoin d’une bouteille de 35 ml pour une seule application ou de 200 ml tous les deux ou trois jours.
 
La majorité des gens ne mettent pas autant de crème. Comme elle s’évapore de la peau, on doit en appliquer de nouveau environ toutes les deux heures. Donc, il faut choisir un minium de 30 pour le FPS de vos crèmes cet été.
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La crème solaire à elle seule ne protègerait pas assez

Des chercheurs australiens mentionnent qu’appliquer de la crème solaire quotidiennement permettrait de réduire les risques de mélanome de 50 à 73 %. Le mélanome est la forme maligne de cancer de la peau.
 
Toutefois, d’autres chercheurs affirment dans le Journal of Clinical Oncology que la crème solaire à elle seule ne suffirait pas.
 
Leur étude s’est déroulée entre 1992 et 1996. 1 600 Australiens ont été recrutés; tous avaient accès gratuitement à autant de crème solaire (FPS 15) qu’ils en voulaient. Ils devaient l’appliquer plusieurs fois par jour. Un autre groupe était libre de mettre de la crème ou non, et ce, peu importe l’indice de protection solaire.
 
15 ans après l’étude, on a diagnostiqué 11 cas de mélanome dans le premier groupe et 22 dans le deuxième. En isolant les cas, on remarque 3 cas de mélanome invasif dans le premier groupe et 11 dans le second.
 
Par contre, deux chercheuses mettent en garde les gens en disant que la crème solaire serait insuffisante pour protéger du cancer. Le fait que les gens n’avaient pas à payer pour la crème et que l’application n’était jamais faite de la même façon à différents moments de la journée a pu fausser les résultats.
 
« L’application seule de crème solaire ne réduit vraisemblablement pas l’incidence du cancer de la peau, qui est un problème de santé publique grandissant. Il faut éviter les expositions excessives au soleil en portant des vêtements qui protègent des rayons, ainsi qu’en offrant davantage d’espaces couverts dans les endroits récréatifs », disent-elles.
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L’étiquetage des crèmes solaires va changer

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis veut implanter une réglementation similaire à celle de l’Union européenne en matière d’étiquetage des crèmes solaires vendues sans ordonnance.

L’administration américaine en matière de santé décide ainsi de s’attaquer aux rayons ultraviolets A, communément appelés les UVA. Ces derniers sont reconnus pour faire bronzer, alors que les UVB sont responsables des brûlures et des coups de soleil. Dans les deux cas, les rayons ultraviolets sont nocifs pour la peau lorsqu’elle est trop exposée au soleil.

Les fabricants devront donc se conformer à la nouvelle réglementation et indiquer le niveau de protection qu’offre une crème solaire contre les UVA. Pour le moment, cette information ne se trouve pas sur les étiquettes des produits vendus aux États-Unis.

Le système proposé par l’agence fédérale se veut simple avec une classification avec quatre étoiles indiquant une protection allant de faible à maximum. De plus, une mention « aucune protection contre les UVA » sera apposée sur les crèmes solaires qui ne fournissent pas une protection d’une étoile.

Le directeur de la FDA, le Dr Andrew von Eschenbach, a déclaré : « Avec les nouvelles propositions de la FDA, les consommateurs seront aussi informés du degré de protection contre les ultraviolets A dans les crèmes solaires, ce qui les aidera à mieux s’informer pour se protéger eux-mêmes et leurs enfants contre les effets néfastes du soleil. »