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Crèmes solaires : une enquête dénonce le manque de fiabilité des indices de protection

Les indices de protection des crèmes solaires pour enfants, censées figurer dans les catégories « haute » ou « très haute protection », ne seraient pas aussi efficaces qu’annoncés. C’est le constat établi par une enquête menée par le magazine 60 millions de consommateurs, en partenariat avec l’Institut national de la consommation (INC).

À l’approche des départs en vacances, les crèmes solaires envahissent les têtes de gondoles des grands magasins et des pharmacies, garantissant des niveaux de protection optimaux pour les consommateurs.

Ces derniers peuvent-ils réellement se fier aux catégories de protection? C’est la question que s’est posée le mensuel dans son dossier estival, pour son numéro de juillet/août qui paraîtra le 27 juin.

Le magazine, par la voie de l’INC, a testé dix crèmes solaires pour enfants. Résultat : l’indice de protection de six produits évalués sur dix n’offrait pas l’efficacité escomptée. Seules les crèmes solaires Avène, Mixa Solaire, Vichy et Alga Maris ont répondu positivement au test, confirmant leur très haute protection.

Certaines crèmes contiennent des anti-inflammatoires, qui auraient pour effet de retarder les coups de soleil et donc d’augmenter la valeur de l’indice de protection. L’étude montre que ces produits ne garantissent pas pour autant la protection contre les ultra-violets, notamment responsables du vieillissement de la peau et de certains cancers.

Chaque année, l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) donne des recommandations de base pour prévenir les coups de soleil chez les enfants et les adolescents. Outre l’application d’une crème solaire adaptée toutes les deux heures, les plus jeunes doivent également porter des vêtements couvrants, un chapeau à larges bords et des lunettes de soleil.

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Évitez les crèmes solaires avec vitamine A

L’Environemental Working Group et la revue Consumer Reports mentionnent que les crèmes solaires avec palmitate de rétinyle, un dérivé de la vitamine A, devraient être totalement évitées.
 
La vitamine A augmenterait en effet les risques de cancer de la peau.
 
Selon la recherche, 30 % des crèmes vendues en Amérique du Nord en possèdent, car la vitamine A contient des antioxydants qui ralentissent le processus de vieillissement.
 
Cependant, des études ont mentionné que le palmitate de rétinyle a des propriétés photocarcinogènes. C’est-à-dire qu’il favorise le développement de cellules cancéreuses lorsqu’il est appliqué sur la peau.
 
Par contre, pour certains experts, les données à ce sujet ne sont pas encore assez concluantes et cette position est plutôt exagérée pour le moment, d’autant plus que la vitamine A n’est pas le principal ingrédient des crèmes solaires.