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Vous pleurez devant des films? C’est que vous êtes une personne plus forte émotionnellement!

Vous êtes du genre à avoir besoin d’une boite de mouchoirs quand vous regardez un film et vos amis ou votre partenaire se moquent (gentiment) de vous? Saviez-vous que la science a de bonne nouvelles pour vous?

En effet, les larmes et sanglots que vous laisser échapper devant l’écran sont un signe positif, selon une étude!

La recherche en question a démontré que les gens qui ont tendance à pleurer en regardant des films sont émotionnellement plus fortes que les personnes qui ne pleurent pas.

Oubliez les gens qui vous jugent! En ces moments-là, vous recevez seulement une vague d’ocytocine, un  neuropeptide qui est responsable de l’empathie.

La recherche a été menée par l’un des étudiants de Paul J. Zak, un scientifique et orateur qui écrit pour Psychology Today. On y a constaté les scènes émouvantes dans les films provoquent un pic d’ocytocine dans le sang.

Adobe Stock

Les participants affectés par l’ocytocine ont été plus généreux en donnant de l’argent à des oeuvres de bienfaisance, sans savoir à qui ils donnaient et sans pouvoir être remerciés. Cela démontrer que ces gens sont plus emphatiques , gentils et désintéressés. De très belles qualités!

Pendant un film, par exemple, nous suspendons volontairement l’incrédulité pour mieux nous immerger dans l’histoire. Ceux qui pleurent sont mieux en mesure de se mettre à la place de quelqu’un d’autre pour vivre des perspectives autres que la leur.

On pense que, puisqu’affronter sa propre douleur est déjà très difficile, savoir s’imaginer vivre les situations douloureuses qu’une tierce personne traverse et ressentir ses émotions est un signe d’empathie et de force. Les gens qui ressentent ça serait donc très résiliantes. Car, même si les gens qui pleurent devant les films ou les livres paraissent trop sensibles, elles ont tendance à rebondir et à guérir plus vite de leurs souffrances

Faire face à sa propre douleur est déjà assez pénible, mais imaginer vivre et ressentir la douleur de quelqu’un d’autre démontre une force incroyable, qui forme des gens super résilients.

N’ayez donc plus peur de laisser aller vos émotions la prochaine fois que vous verrez des scènes émouvantes!

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Voici les gagnants et les gagnantes du 43e gala de l’ADISQ!

La scène du Gala de l’ADISQ a tremblé dimanche dernier sous les applaudissements, les performances et les discours de la soirée. La liste des gagnants et gagnantes est tout aussi impressionnante que les longues robes et les smokings.

Entre nous, ça ne fait pas changement des années précédentes. L’ADISQ délivre toujours des Galas à couper le souffle. Rappelons que l’année dernière, malgré la pandémie, nous avons eu droit à un spectacle enchanteur.

D’ailleurs, notre artiste chouchou, Roxane Bruneau, est repartie avec les yeux pétillants ainsi que ses Félix! La magnifique chanteuse est sortie vainqueur des catégories Chanson de l’année et Interprète féminine de l’année. Bravoooooo!

Crédit:Roy Turner

Clin d’oeil à Louis-José Houde, qui a une fois de plus animé le Gala et nous a fait rire aux éclats toute la soirée. Avez-vous aimé son monologue d’ouverture?

Crédit:Facebook de ADISQ

Sans plus attendre, si vous avez manqué la diffusion en direct ou encore si vous voulez revivre ces moments, voici la liste des nominés et de ce ceux et celles qui sont repartis avec des Félix.

Album de l’année – Adulte contemporain

  • Nos maisons, Belle Grand Fille
  • Le ciel est au plancher, Louis‐Jean Cormier  
  • Chansons hivernales, Pierre Lapointe
  • SITKA, Andréanne A. Malette
  • Incarnat, Ariane Moffatt

Album de l’année – Musique instrumentale

  • Les filles montagnes, Viviane Audet
  • Travelling, Daniel Bélanger
  • Perséides, Cœur de pirate
  • Opus 7 Préludes, Alain Lefèvre
  • Reflection 1, Louis‐Étienne Santais

Spectacle en ligne de l’année – Francophone

  • À tous les vents de 2Frères
  • Génies en herbe de Koriass et FouKi
  • L’Amérique pleure de Les Cowboys Fringants
  • VIVRE : Le spectacle spectral de Klô Pelgag 
  • Dé-confiné de Damien Robitaille

Artiste autochtone de l’année

  • Anachnid
  • Kanen
  • Matiu
  • Scott Pien-Picard
  • Q052

Album de l’année – Country

  • Léda, Irvin Blais
  • Sweet Montérégie, Alex Burger
  • Émilie Daraîche, Émilie Daraîche
  • L’heure d’été, Léa Jarry
  • Besoin de rien, Pat Groulx et les bas blancs

Révélation de l’année

  • Alex Burger
  • Comment Debord
  • CRi 
  • Léa Jarry
  • Thierry Larose

Auteur ou compositeur de l’année / Auteure ou compositrice de l’année

  • Antoine Corriveau pour Pissenlit, Antoine Corriveau
  • Louis‐Jean Cormier, Daniel Beaumont/Louis‐Jean Cormier pour Le ciel est au plancher,  Louis‐Jean Cormier
  • Ariane Moffatt pour Incarnat, Ariane Moffatt
  • Chloé Gagnon‐Pelletier pour Notre‐Dame‐des‐Sept‐Douleurs, Klô Pelgag
  • Vincent Vallières pour Toute beauté n’est pas perdue, Vincent Vallières

Album de l’année – Rap

  • Normal de l’Est, Connaisseur Ticaso
  • Grignotines de Luxe, FouKi
  • ElevaZIIION (Société distincte), Imposs
  • CLUB Mixtape 2020, KNLO
  • Génies en Herbe, Koriass, FouKi

Chanson de l’année

  • « Faut qu’j’y aille », 2Frères (Steve Marin/Steve Marin, Gautier Marinof)
  • « Figé dans le temps », Ludovick Bourgeois (Jeffrey Piton, Patrick Donovan, Paméla Lajoie)
  • « À ma manière », Roxane Bruneau (Roxane Bruneau/Roxane Bruneau, Mathieu Brisset)
  • « T’es belle », Cœur de pirate (Béatrice Martin)
  • « Où sera le monde? », Marc Dupré (Nelson Minville/Marc Dupré)
  • « Ciel » (avec Alicia Moffet), FouKi (Michael Christopher Mlakar, Brody Myles Gillman, Léo Fougères, Alicia Moffet, Laurence Lafond‐Beaulne/ Michael Christopher Mlakar, Brody Myles Gillman, Pierre‐Luc Rioux, Richard Beynon)
  • « Tokébakicitte, Jérôme 50 (Jérôme 50)
  • « Sur mon épaule », Les Cowboys Fringants (Jean‐François Pauzé)
  • « Le cœur a ses raisons », Sarahmée (Sarahmée/Diego Montenegro, Clément Langlois Légaré, Gary Derussy, Tom Lapointe)
  • « Homme de rien », Vincent Vallières (Vincent Vallières)

Groupe ou duo de l’année

  • 2Frères
  • Bleu Jeans Bleu
  • Comment Debord
  • Corridor
  • Les Cowboys Fringants

Interprète masculin de l’année

  • FouKi
  • Louis-Jean Cormier
  • Pierre Lapointe
  • Damien Robitaille
  • Vincent Vallières

Interprète féminine de l’année

  • Roxane Bruneau
  • Cœur de pirate
  • Ariane Moffatt
  • Klô Pelgag
  • Guylaine Tanguay

🏆  « Félicitations à tous et à toutes!» 🏆

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ADISQ: Des performances à couper le souffle

Ce n’est pas un secret que le 43e Gala de l’ADISQ, qui a eu lieu dimanche dernier, a été un spectacle incroyable! Après les monologues hilarants de l’animateur, Louis-José Houde, les artistes ont tout autant mis le paquet.

Voici la liste de ceux et celles qui ont performé sur la scène, le 7 novembre dernier :

  • Alex Burger
  • Angèle Dubeau
  • Charlotte Cardin
  • CRi
  • Damien Robitaille
  • David Goudreault
  • Dominique Fils-Aimé
  • Élage Diouf
  • FouKi
  • Guylaine Tanguay
  • Irvin Blais
  • Klô Pelgag
  • Léa Jarry
  • Roxane Bruneau
  • Scott-Pien Picard
  • Simon Leoza
  • Vincent Vallières

Dans la liste de nos préférés, Charlotte Cardin en fait partie (évidemment). Elle a chanté Anyone who loves me, avec une chorale pour l’accompagner. Nous avons encore des frissons, c’était magique et assurément à la hauteur de son talent.

Puis, il y avait aussi la flamboyante Klô Pelgag, qui a interprété Mélamine et on capote!

Est-ce qu’on peut aussi parler du numéro d’ouverture avec des prestations musicales d’Angèle Dubeau et La Pietà, David Goudreault, Scott-Pien Picard, CRi et Roxane Bruneau? On regarde ce numéro en boucle, encore et encore!

D’autant plus, vous allez sourire en regardant la prestation de Damien Robitaille, qui a chanté Il me semble.  Nous nous sommes surpris à taper des mains et danser dans notre salon, devant la télévision (avec notre verre de rouge léger entre les mains).

Nous sommes en amour total avec nos artistes du Québec. L’ADISQ est d’ailleurs la soirée parfaite pour nous rappeler que nous n’avons rien à envier à nos voisins du sud. Nous nous comptons chanceux d’avoir autant de talents dans notre belle province. C’est ce qui forge notre nation, c’est ce qui rassemble les plus jeunes et les moins jeunes. Vive la culture d’ici!

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L’ADISQ dévoile les artistes qui donneront une performance au 43e Gala

Le dimanche 7 novembre prochain à 20h, Louis-José Houde animera le 43e Gala de L’ADISQ sur ICI TÉLÉ. Maintenant, prenez une bonne respiration, car on a ENFIN la liste des artistes qui nous gâteront avec une prestation sur la scène!

Parmi eux, ont y retrouvera Alex Burger, Angèle Dubeau & La Pietà, Charlotte Cardin, CRi, Damien Robitaille, David Goudreault, Dominique Fils-Aimé, Élage Diouf, FouKi, Guylaine Tanguay, Roxane BruneauIrvin Blais, Klô Pelgag, Léa JarrySimon Leoza et Vincent Vallières.

Marie-José Desrochers, la présidente-directrice générale de la Place des Arts a mentionné lors d’une conférence de presse : « Cette année, le Gala de l’ADISQ sera présenté en direct de notre Salle Wilfrid-Pelletier. Nous sommes particulièrement heureux d’être à nouveau au coeur de cette grande célébration, et de retrouver le public et les représentants de l’industrie à la Place des Arts pour fêter la musique du Québec. Je salue l’ensemble des artistes et artisans qui ont su démontrer, malgré cette année tumultueuse et pleine de rebondissements, toute leur créativité. Grâce à eux, le milieu des arts est resté vivant, vibrant et pertinent. je félicite chaleureusement les nommées, et je vous souhaite à toutes et à tous un excellent Gala! »

Vous pouvez toujours consulter la liste des nominés juste ici.

De notre côté, on va se mettre sur notre 36 et rêver d’être dans la salle avec tous ces talentueux artistes que nous aimons tant!

Crédit:ADISQ
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Les troubles alimentaires touchent aussi les garçons

Radio-Canada rapporte une entrevue accordée à Catherine Perrin par trois invités qui se spécialisent à leur façon dans les troubles alimentaires, trois hommes de surcroît, et qui croient qu’on ne parle pas assez de ce type de problèmes chez les garçons.

Il s’agit du Dr Jean Wilkins, de l’auteur Simon Boulerice et de Jean-Marie Lapointe, qui partagent tous le même avis.

Simon Boulerice et Jean-Marie Lapointe veulent sensibiliser les garçons victimes de boulimie et d’anorexie et leur entourage, et lancer le message que le phénomène n’est pas plus banal lorsqu’il s’agit d’un garçon que d’une fille.

Le Dr Wilkins a quant à lui fondé la division de médecine adolescente de Sainte-Justine, et souligne qu’une personne sur dix souffrant de troubles alimentaires est en fait un garçon.

« Le contrôle est central dans cette maladie-là. On pourrait dire que c’est une inflammation du contrôle : une contrôlite! », explique avec couleur le spécialiste.

Boulerice et Lapointe en profitent pour partager leurs expériences avec la maladie, mais surtout pour dénoncer l’absence presque totale de compréhension et d’empathie de la part des gens, simplement parce qu’ils sont des hommes. Un problème que le trio souhaite contribuer à changer.

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Les femmes crieraient trop en accouchant

Une fois sur quatre, les cris d’une femme qui accouche peuvent dépasser cent quinze décibels.

Or, un bruit de 115 décibels est au-dessus de la limite permise d’exposition professionnelle ont fait remarqué des sages-femmes d’un hôpital de Skövde, en Suède.

On peut lire dans le Dagens Sjuksköterska, un quotidien de ce pays destiné aux infirmières, que certaines de ces professionnelles suédoises se plaignent des cris des futures mamans.

La requête n’a pas été prise trop au sérieux jusqu’ici. Cette plainte quant aux conditions de travail de personnes aidant à donner la vie est des plus surprenantes.

Il semble pourtant qu’elle est fréquente et répétée. Pourtant, il serait difficile de demander à une femme de retenir ses cris pendant son accouchement.

Certains recommandent donc aux sages-femmes de se mettre des bouchons dans les oreilles afin de régler en partie ce problème.

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Le cerveau, responsable des crises d’enfants

Les parents aux prises avec un bambin qui hurle et crie doivent serrer les dents et se dire que ce n’est qu’un mauvais moment à passer dans le développement de leur enfant.

C’est que le cerveau des petits, pas encore à maturité, les empêche de raisonner et comprendre la colère qui les habite. La zone de résolution de problèmes, qui se situe dans le cerveau supérieur, n’est pas en mesure de tempérer les excès du cerveau inférieur, d’où les excès de rage chez les enfants.

« Les jeunes enfants n’ont pas de mécanismes inhibiteurs suffisants pour maîtriser toute leur colère. Ça nous semble injustifié, mais c’est très rarement un problème de santé. C’est un mauvais moment à passer », a mentionné à La Presse le Dr Albert Larbrisseau, professeur titulaire en pédiatrie à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal.