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Les enfants sont de bons témoins

Les enfants seraient de bien meilleurs témoins que l’on ne croit. C’est ce que soutient l’Université Lund (Suède), comme le rapporte Medical News Today. Une étude menée auprès d’enfants de différents âges les présente en effet comme de bons témoins potentiels.

On prétend même qu’ils seraient d’excellents sujets pour reconnaître le coupable d’un crime au poste de police, derrière la vitre à double face. La raison en est qu’ils savent bien se remémorer les événements.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi des enfants de 8 à 9 ans, de 11 à 12 ans, ainsi que des adultes. Il s’est avéré que les enfants plus vieux et les adultes avaient plus de difficulté à démêler la réalité de la fiction, puisqu’ils avaient connu plus d’expériences dans la vie.

Toutefois, si les adultes demeurent conscients qu’ils peuvent mêler certains éléments, les enfants sont toujours sûrs de leur réponse, même quand ils se trompent. Ajoutons que les enfants ne comprennent pas toujours ce qu’il advient de la personne identifiée et qu’ils sont plus influençables.

Malgré tout, les enfants sont tout à fait capables de reconnaître des détails chez les autres, et ce, en particulier si la personne a le même âge qu’eux.

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L’intimidation demeure tabou chez les enfants

Un récent sondage mené par l’Université du New Hampshire portant sur 4 500 jeunes et parents présente un constat des plus troublant.

58 % des enfants visés avaient été victimes de violence, d’un crime ou de sévices l’année précédant la recherche parue dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Plusieurs cas étaient aussi de l’intimidation, mais moins de la moitié des victimes (46 %) en ont parlé.

L’une des raisons à cela est que les autorités prennent plus au sérieux les agressions comme les sévices sexuels et les enlèvements que l’intimidation.

Il semble pourtant clair, en voyant ces chiffres, que les enfants et les adolescents vivent réellement sous la peur de celui qui les intimide.

Malgré tout, on dit que l’intimidation est prise plus au sérieux que par le passé, si l’on compare les données actuelles avec d’autres datant de 1992.

Mentionnons finalement que les enfants et adolescents participant à l’étude étaient âgés de 10 à 17 ans. Les parents étaient ceux d’enfants qui étaient âgés d’au moins 9 ans en 2008.

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Fumer durant la grossesse pourrait pousser vers le crime

Selon le Journal of Epidemiology and Community Health, le cerveau du bébé peut être touché si la mère fume plus de 20 cigarettes par jour durant sa grossesse.

Des chercheurs de l’Université Harvard ont tout d’abord choisi des femmes enceintes entre 1959 et 1966. Ils ont ensuite retrouvé les 4 000 enfants nés de ces mères. Ils les ont repérés vers 1999 et 2000, lorsqu’ils ont eu de 33 à 40 ans, sur les données de criminalité.

Il en est ressorti que les enfants nés d’une mère qui fumait beaucoup durant sa grossesse, à raison de 20 cigarettes et plus par jour, avaient plus de risques d’avoir un casier judiciaire.

Les personnes nées de fumeuses assidues courent 30 % plus de risques de poser un ou des actes criminels. De plus, ce chiffre touche autant les hommes que les femmes, même si la criminalité est moins fréquente chez ces dernières dans la population en général.