Cette affirmation peut sembler extrême, mais il s’agit des résultats obtenus à la suite d’une étude relative aux conséquences de la fessée sur la vie future d’un enfant.
Les chercheurs ont décortiqué les tendances criminelles d’étudiants universitaires dans 15 pays, en utilisant 9 « unités de mesure » criminelles. On vérifiait notamment les tendances à la criminalité, si l’étudiant avait agressé l’un ou l’autre de ses parents dans les années précédentes, ainsi que tout autre personne, ami, partenaire, etc.
Les facteurs tenus en compte dans l’enfance comprenaient entre autres l’éducation parentale, les mesures correctives utilisées, ainsi que l’approche positive et aimante des parents.
« Beaucoup de parents et psychologues croient que si la fessée est donnée dans un cadre positif, par des parents aimants, il n’y aura pas de conséquence négative chez l’enfant », rapporte Straus, l’un des chercheurs. Cette croyance est fausse.
En fait, selon les résultats rapportés, Science World Report affirme que même si l’approche positive du parent diminuait la prédominance criminelle de l’étudiant, chaque cas rapportant avoir eu droit à la fessée était relié à certains comportements criminels.
Dans les cas où les 2 parents avaient donné la fessée, la prédisposition criminelle augmentait considérablement dans 8 des 9 unités de mesure considérées.