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Bono rend hommage à son directeur de tournée décédé

Le directeur de tournée du groupe U2 est décédé d’une crise cardiaque mardi dans sa chambre d’hôtel de Los Angeles. Dennis Sheehan était associé au groupe culte depuis plus de 30 ans. C’est donc avec un immense pincement au cœur que Bono a pris la parole pendant le spectacle, question de lui rendre un vibrant hommage.

«Nous avons perdu un membre de la famille, nous encaissons encore la nouvelle. Il n’était pas seulement une légende du monde de la musique, il était une légende au sein de notre groupe. Il est irremplaçable», a-t-il lancé aux fans.

Dennis Sheehan avait 68 ans. Il avait aussi collaboré aux tournées de Led Zeppelin, Iggy Pop et Patti Smith au début de sa carrière. Les ambulanciers ont été appelés à sa chambre du Sunset Marquis Hotel de Los Angeles en matinée mardi, mais le décès de Sheehan a rapidement été constaté.

Il s’agit de l’une des quelques morts dans l’entourage de U2 au cours des derniers mois : Jack Heaslip, qu’on qualifiait de mentor spirituel du groupe, est décédé en février, alors que le père du batteur Larry Mullen Jr. est mort au début de mai.

Photo : BANG/BIG

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L’antibiotique clarithromycine dangereux pour le coeur

Cet antibiotique est couramment utilisé pour soigner des infections bactériennes comme les angines, les bronchites et les ulcères gastriques. Or, il existe un risque de décès d’arrêt cardiaque, bien que faible (0,01 %), lié au clarithromycine, informe Santé Log.

Les conclusions ont été publiées dans la revue médicale British Medical Journal. Des scientifiques de Statens Serum Institut de Copenhague ont examiné près de 5 millions de traitements antibiotiques prescrits entre 1997 et 2011. La plupart des sujets; des adultes danois âgés de 40 à 74 ans avaient été traités avec de la pénicilline V (4,3 millions), 588 000 avec la roxithromycine et 160 000 avec la clarithromycine. Parmi ces derniers, 285 personnes sont décédées d’un trouble cardiaque.

À la base, il faut savoir que les médecins sont prudents et ne donnent pas de clarithromycine aux patients dont l’historique médical comprend un trouble cardiaque. Dans plusieurs cas, ce traitement constitue une alternative pour les personnes allergiques à la pénicilline.

En attendant des recherches approfondies, les chercheurs mentionnent aux patients recevant du clarithromycine de ne pas s’inquiéter et surtout de ne pas « modifier leur prescription médicale sans l’avis de leur médecin », lit-on sur Top Santé.

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Après une crise cardiaque, ne faites pas trop d’exercices

Après une crise cardiaque, il est recommandé de ne pas courir plus de 48 km ou marcher plus de 74 km par semaine, car cela augmente les risques de récidives et de décès. Ces chiffres représentent environ 7 km de course ou 10,5 km de marche par jour.

Chez ceux qui frôlent la mort, plusieurs changent leur mode de vie, adoptent de nouvelles habitudes et deviennent excessifs pour demeure en forme. Cependant, une surdose d’exercice pourrait couper court à cette « nouvelle vie » en entraînant la mort, comme l’indique Top Santé

Les chercheurs de l’hôpital de Hartford, aux États-Unis affirment toutefois que cette recommandation ne s’applique pas à la population en générale ou même aux gens souffrant de maladies cardiovasculaires, d’hypertension, de diabète de type 2 ou qui ont eu un accident vasculaire cérébral. 

Dans leur cas, l’exercice régulier, même à grande dose, ne peut qu’aider leur santé assurent les spécialistes dans la revue Mayo Clinic Proceedings. 

Rappelons que le guide médical officiel aux États-Unis conseille environ 150 minutes d’exercice modéré ou 75 minutes d’entraînement intense, hebdomadairement.  

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Courir quelques minutes par jour allonge la vie

Si vous n’avez pas le courage ou le temps de faire au moins trois heures d’exercice par semaine, tel qu’il est recommandé, faites au moins quelques minutes de course. Les séances n’ont même pas besoin d’être intensives pour être efficaces.

Le Dr Duck-chul Lee, auteur principal de l’étude de l’Université de l’Iowa parue dans le Journal de l’American College of Cardiology, le confirme : « Les gens qui ont couru moins d’une heure par semaine ont obtenu les mêmes avantages face aux risques de mortalité que ceux qui ont couru plus de trois heures par semaine », rapporte The Telegraph.

Les personnes qui courent quelques minutes de façon régulière et même à un rythme lent repoussent de 30 % les risques de mourir d’une crise cardiaque au cours des 15 prochaines années de leur vie. Chez les gens qui n’enfilent pas leurs espadrilles, les risques de mourir d’un AVC ou crise cardiaque au cours de la même période augmentent à 45 %.

Parmi le groupe de coureurs qui parcouraient jusqu’à six miles par semaine, le taux de mortalité dû à un AVC ou une crise cardiaque était réduit de 54 % par rapport à ceux qui ne faisaient pas d’exercice.

Il est également ressorti que courir pendant sept minutes par jour ou 51 minutes par semaine diminuait les risques de mort par AVC ou crise cardiaque de 55 %, et que courir à une vitesse optimale de 7,1 à 7,6 miles par l’heure réduisait les risques de 60 %. De plus, les gens qui persistaient et couraient pendant plus de six ans en moyenne voyaient encore plus d’avantages à la course sur leur santé.

Le Dr Chi Pang Wen, de l’Institut des sciences de la santé de la population à Taiwan, compare quant à lui la marche à la course : « Une course de 5 min est aussi bonne que 15 minutes de marche, et il faudrait marcher 100 minutes pour obtenir les mêmes résultats bénéfiques qu’une course de 25 minutes ».

 

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Ginette Reno de retour en forme

La chanteuse Ginette Reno effectuait hier (3 mars) sa première apparition publique depuis qu’elle a été terrassée par une crise cardiaque le 29 janvier dernier.

Invitée à l’émission En mode Salvail  à V, Ginette Reno est apparue en grande forme, tout sourire.

L’interprète de Je ne suis qu’une chanson est revenue sur les événements de janvier dernier, survenus alors qu’elle séjournait à sa résidence de la Floride. Elle a raconté ne pas avoir eu peur lorsqu’elle a constaté que sa santé n’allait pas. C’est lorsque les ambulanciers l’ont transportée qu’elle a eu une réflexion sur la mort : « Je me suis dit, peut-être est-ce la dernière fois que je vois la mer ».

La chanteuse de 67 ans, admise au Florida Hospital Memorial, a confié qu’elle n’était pas une bonne patiente. « J’étais pas mal malcommode. » En réalité, la diva avait peur et remettait en question chaque médicament qui lui était administré.

Preuve qu’elle est bien rétablie, Ginette Reno remontera sur scène dès le mois de mai prochain avec quelques concerts prévus à Montréal et Québec.

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Ginette Reno a cru mourir

Ginette Reno a cru que son heure était venue. Le 29 janvier dernier, alors qu’elle séjournait en Floride, elle a dû être hospitalisée d’urgence, victime d’une crise cardiaque.

La diva québécoise a confié au Journal de Montréal ce qui lui est arrivé aux États-Unis. Les premiers symptômes d’un malaise cardiaque ont commencé à se manifester quelques jours plus tôt. « J’étais en douleur depuis une semaine. Je dormais 17 heures par jour. Mais je ne m’attendais pas à ça. »

La chanteuse de 67 ans a finalement été admise au Florida Hospital Memorial. « J’étais effrayée. J’ai regardé la mer et je me suis dit, “Peut-être que je la vois pour la dernière fois”. Je me suis vraiment posé la question. »

Sur place, les médecins ont constaté qu’une de ses artères était bouchée à 95 %. « Quand ils ont vu ça, ils ont décidé de m’opérer tout de suite. Ils ont fait ça vite. Et tant mieux parce que sinon, je serais encore en Floride dans une petite boîte brune. »

Revenue au Québec depuis la semaine dernière, Ginette Reno est aujourd’hui au repos. 

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Les adolescents avec un poids santé ont moins de risques éventuels de crise cardiaque

La recherche a porté plus particulièrement sur les hommes. L’analyse se base sur 743 498 Suédois. Les chercheurs, Gabriel Hogstrom et Anna et Peter Nordstrom de l’Université Umea, s’entendent pour dire que les risques de crise cardiaque sont plus élevés chez les adolescents en surpoids ou obèses, même s’ils sont en pleine forme.

Les jeunes hommes participants, nés entre 1969 et 1984, étaient tous âgés de 18 ans au moment de leur premier test. On mesurait leur degré de forme physique en 3 étapes lors d’un exercice de vélo sur place. Ceux-ci étaient par la suite suivis pendant environ 34 ans, ou jusqu’au 1er janvier 2011.

 « Le risque cardiaque a été réduit d’environ 35 % parmi les hommes en forme et ceux qui présentaient un poids normal à la fin de leur adolescence », rapporte Peter Nordstrom.

Il s’agit de la première étude qui analyse la corrélation entre la forme physique pendant l’adolescence et les risques de crise cardiaque à l’âge adulte. Les résultats se retrouvent, comme l’indique Science World Report, dans la revue European Heart Journal.

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Les signaux précurseurs de la crise cardiaque

La crise cardiaque étant encore un trop grand tueur, un docteur s’est donné comme mission d’éduquer la population le plus possible afin de prévenir, reconnaître et même renverser les effets de la crise cardiaque.

Sur le site newsmaxhealth.com, on décrit l’ouvrage du docteur Chauncey Crandall, chef du programme de transplantation cardiaque à la renommée clinique cardiovasculaire de Palm Beach, en Floride.

Un lien fort précis est fait entre le délai du traitement d’une crise et la gravité des répercussions. C’est pour cela qu’un des efforts du docteur a consisté à créer une vidéo explicative sur le sujet, proposée en ligne ici (anglais seulement):

En résumé, on se fait rappeler que tous ne ressentent pas les symptômes, du moins pas de la même façon ou avec la même intensité. Certains d’entre eux peuvent même survenir quelques jours à quelques mois avant la crise, d’où l’importance d’être très alerte. De plus, il précise que personne n’est à l’abri, même les gens sportifs, non-fumeurs, en bonne santé, etc.

Les principaux et plus fréquents symptômes sont une douleur thoracique, un inconfort particulier au haut du corps (cou, mâchoire, épaules, bras ou dos), un essoufflement excessif, des sueurs, des nausées et des étourdissements.

Les reconnaître et les prendre au sérieux pourrait vous sauver la vie ou celle de quelqu’un d’autre.

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Les hommes sautant le petit-déjeuner risquent davantage une crise cardiaque

Les hommes qui ne prennent pas de petit-déjeuner courent plus de risques d’avoir une crise cardiaque ou de mourir d’une maladie du cœur que les autres, selon une étude parue aux États-Unis.

Ces travaux ont porté sur près de 27 000 hommes âgés de 45 à 82 ans, ayant accepté de participer à un sondage sur l’alimentation et ses conséquences sur la santé, étalé entre 1992 et 2008.

Les résultats ont montré que les hommes ayant l’habitude de ne pas prendre de petit-déjeuner avaient 27 % plus de risques de subir une crise cardiaque ou de mourir d’insuffisance coronarienne que ceux avalant une collation le matin.

Les personnes de l’étude sautant le petit-déjeuner avaient tendance à être plus jeunes et « à être souvent des fumeurs, travaillant à temps plein, célibataires, ayant moins d’activité physique et buvant davantage d’alcool ».

« Sauter le petit-déjeuner peut conduire à certains risques, comme l’obésité, l’hypertension, un fort taux de cholestérol et de diabète, ce qui peut à terme amener à une crise cardiaque », a expliqué Leah Cahill, de la Harvard School of Public Health, principale auteure de l’étude.

Les hommes disant se sustenter le matin avaient également tendance à manger une fois de plus en moyenne que les autres, ce qui signifie que les personnes sautant le petit-déjeuner ne rattrapaient en général pas ce manque de nourriture plus tard dans la journée.

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De longues heures de travail augmentent les risques de crise cardiaque

Une méta-analyse confirme le lien entre les longues heures de travail et un risque considérablement accru de crise cardiaque.
 
Chez les personnes qui travaillent de 40 à 65 heures par semaine, les risques de maladies coronariennes seraient accrus de 80 %, mais une autre analyse dit plutôt que les risques augmentent de 40 %.
 
Ces études se basent aussi sur l’hypothèse que les personnes qui travaillent sont plus exposées aux stress et à la pression. Elles ont moins de temps pour elles, pour les loisirs ou activités physiques.
 
Comme ces personnes bougent moins et vivraient plus de stress, elles augmentent donc leurs risques d’avoir des troubles cardiaques importants.
 
Les études de ce genre, bien qu’elles soient prises au sérieux, demeurent encore quelque peu floues.