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Les sodas diètes représentent-ils un réel danger?

Récemment, on a souvent pointé du doigt les boissons diètes, affirmant qu’elles augmentaient de 44 % les risques de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral (AVC) chez les personnes qui en consommaient tous les jours.
 
Selon le Journal of General Internal Medicine, même en tenant compte des différents facteurs de risques, les sodas diètes représenteraient un danger pour la santé.
 
Certains spécialistes mettent en doute ces résultats, disant que les personnes qui consomment les sodas diètes ont tendance à avoir une alimentation malsaine, à souffrir d’hypertension artérielle, de diabète et à avoir un taux de cholestérol élevé, des facteurs importants dans le risque accru de crise cardiaque et d’AVC.
 
Hannah Gardener de l’University of Miami Miller School of Medicine mentionne qu’il est très difficile d’établir un lien clair et solide entre les boissons diètes et les risques pour la santé. Si les sodas sont dangereux pour la santé humaine, on ne saurait pas encore exactement pourquoi.
 
Néanmoins, la chercheuse n’affirme pas que tous ces résultats sont faux, mais que plusieurs choses peuvent les influencer.
 
Pour être plus sûr de vous, il est préférable de boire de l’eau. Plus tôt ce mois-ci, on disait que les personnes qui optaient pour l’eau dans leur programme de perte de poids obtenaient de meilleurs résultats que celles qui choisissaient les boissons diètes.
 
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La friture ne cause pas forcément de crises cardiaques

On a longtemps cru que les aliments frits étaient liés à des maladies cardiaques, mais une étude publiée dans le British Medical Journal affirme que cela n’est pas vrai, du moins si vous utilisez de l’huile d’olive ou de tournesol.
 
L’étude a été réalisée auprès de 40 000 personnes, dont le deux tiers était des femmes, entre 1990 et 2004 en Espagne.
 
Dans ce pays, on utilise l’huile de tournesol ou d’olive pour frire les aliments. On n’a noté aucun lien avec un risque accru de maladies cardiaques.
 
Durant l’étude, 606 cas d’incidents cardiaques ont été enregistrés. On en retrouvait autant chez ceux qui consommaient des aliments frits régulièrement que ceux qui en mangeaient peu.
 
Attention toutefois, ce n’est pas une raison pour se lancer tête première dans la consommation de frites. La friture augmente le nombre de calories des aliments, ce qui augmente l’hypertension artérielle et l’obésité.
 
De plus, la friture américaine, où les aliments sont cuits dans une huile réutilisée, n’a pas les mêmes effets. Elle est plus nocive pour la santé en raison de son niveau élevé de gras trans.
 
Les aliments frits ne devraient être consommés qu’à l’occasion.
 
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Il est possible de mourir le « coeur brisé »

Mourir le cœur brisé n’est pas seulement qu’une image littéraire. Les scientifiques confirment que cela est possible. En fait, les risques d’une crise cardiaque ou d’une attaque cérébrale sont augmentés après le décès d’un proche.
 
L’étude, publiée dans le journal Circulation, a suivi 1985 adultes ayant survécu à une crise cardiaque.
 
Après le décès d’un être cher, les risques d’un accident cardiovasculaire sont augmentés de 21 % le jour suivant la mauvaise nouvelle, et demeurent six fois plus élevés la première semaine. Ensuite, les risques diminuent au cours du mois.
 
Les femmes sont les plus touchées par le phénomène. Les veuves représentent 53 % des décès dus à une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral.
 
« Le personnel soignant et les médecins ainsi que les personnes en deuil elles-mêmes doivent savoir qu’elles courent un plus grand danger de crise cardiaque dans les premiers jours et semaines après avoir appris le décès d’un être cher », précise le cardiologue et épidémiologiste Murray Mittleman.
 
C’est la première fois qu’une étude se concentre sur les risques cardiovasculaires dans les premiers jours après un deuil.
 
Le phénomène peut s’expliquer par le fait notamment que les personnes subissent un stress psychologique qui augmente le rythme cardiaque, la tension artérielle et le risque de caillot sanguin. En plus, au début d’un deuil, les gens ont tendance à moins dormir et moins manger.

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Pas de problèmes avec les psychostimulants

Selon le Journal of the American Medical Association,qui publie les derniers résultats obtenus après analyse de 150 000 dossiers médicaux de personnes âgées de 25 à 64 ans, les traitements contre les troubles d’attention et l’hyperactivité ne posent donc pas de problème.
 
Par le passé, on mentionnant que les psychostimulants, comme les amphétamines, le méthylphénidate et le Pemoline, pouvaient faire grimper la pression sanguine et le rythme cardiaque. Toutefois, aucune preuve n’avait été apportée concernant un risque accru de crise cardiaque ou d’autres complications graves.
 
Cependant, les études doivent se poursuivre, car bien que celle-ci soit importante, elle ne considère pas les personnes de 65 ans et plus, et s’est déroulée seulement sur un an au lieu d’un long terme.
 
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Pas de problèmes avec les psychostimulants

Selon le Journal of the American Medical Association,qui publie les derniers résultats obtenus après analyse de 150 000 dossiers médicaux de personnes âgées de 25 à 64 ans, les traitements contre les troubles d’attention et l’hyperactivité ne posent donc pas de problème.
 
Par le passé, on mentionnant que les psychostimulants, comme les amphétamines, le méthylphénidate et le Pemoline, pouvaient faire grimper la pression sanguine et le rythme cardiaque. Toutefois, aucune preuve n’avait été apportée concernant un risque accru de crise cardiaque ou d’autres complications graves.
 
Cependant, les études doivent se poursuivre, car bien que celle-ci soit importante, elle ne considère pas les personnes de 65 ans et plus, et s’est déroulée seulement sur un an au lieu d’un long terme.
 
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Les sévices conduisent à des maladies

Les petites filles qui subissent de la maltraitance physique ou des sévices sexuels seront plus enclines à souffrir de maladies cardiovasculaires, lit-on sur Medical News Today. Précisément, elles sont exposées à de plus grands risques de crise cardiaque, de maladies cardiaques et d’AVC.

Une récente étude indique que les filles victimes de maltraitance physique durant l’enfance courent un risque 45 % plus élevé de tels problèmes de santé à l’âge adulte. Si elles ont été forcées à des rapports sexuels répétés, elles se retrouvent 62 % plus à risque d’une maladie cardiovasculaire.

Parallèlement, des violences « légères à modérées », si l’on peut les nommer ainsi, n’ont pas été reliées à des risques particulièrement plus élevés.

Le plus influent facteur, dans le cas d’un haut risque de maladie cardiovasculaire, est que les jeunes filles maltraitées avaient fortement tendance à prendre du poids durant l’adolescence et la vie adulte.

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Les visites régulières chez le dentiste réduisent les risques de crise cardiaque et d’AVC

Par le passé, il a déjà été établi qu’une mauvaise hygiène buccale était liée à un risque cardiaque accru.
 
Cette fois, le Daily Mail ajoute qu’un détartrage et un nettoyage réguliers des dents chez le dentiste réduisent les risques de crises cardiaques de 24 % et les risques d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) de 13 %.
 
100 000 personnes ont été suivies pendant sept ans par des cardiologues taïwanais qui ont présenté les résultats de leurs travaux à la réunion de l’American Hearth Association, la semaine dernière.
 
« La protection contre des maladies cardio-vasculaires et des accidents vasculaires cérébraux était plus prononcée chez les participants qui se sont fait détartrer les dents au moins une fois par an », indique la Dre Emily Chen.
 
Ces visites régulières chez le dentiste deviennent donc capitales pour les personnes qui peuvent ainsi éviter de graves problèmes de santé.
 
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L’alcool augmente les chances de survie après une crise cardiaque

Une nouvelle étude britannique confirme les bienfaits de l’alcool pour la santé cardiaque, mais cette fois, les chercheurs affirment n’avoir constaté aucune différence selon les types d’alcool. Au départ, l’alcool lui-même serait bénéfique, à condition bien sûr de modérer sa consommation.
 
Selon l’American Journal of Cardiology, sur plus de 1000 femmes suivies pour l’étude, un plus grand nombre d’entre elles a survécu plus longtemps après une crise cardiaque si elles avaient consommé de l’alcool.
 
Après 10 ans, 44 femmes sur 100 étaient décédées chez celles qui n’avaient jamais bu d’alcool, comparativement à 25 sur 100 chez les consommatrices légères et 18 sur 100 chez les buveuses régulières.
 
Auparavant, une étude menée sur des hommes et des femmes avait démontré que les personnes qui avaient continué à boire modérément après une crise cardiaque étaient en meilleure santé que celles qui s’étaient abstenues de le faire.
 
L’alcool peut toutefois être un terrain glissant et les effets bénéfiques peuvent devenir grandement nuisibles, voire dangereux, si les gens consomment trop d’alcool. La clé est de demeurer discipliné.
 
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L’insomnie augmente réellement les risques de crise cardiaque

Le journal Circulation publie une nouvelle étude qui confirme la conclusion de recherches précédentes à moins vaste échelle : l’insomnie augmente bel et bien les risques de crise cardiaque.
 
Des chercheurs norvégiens ont suivi 52 610 personnes et ont constaté que les risques de crise cardiaque étaient augmentés de 27 à 45 %, selon le type de problème de sommeil dont les gens souffrent.
 
Trois grands symptômes du sommeil ont été établis. Le premier est d’avoir du mal à trouver le sommeil presque tous les jours dans le dernier. Il augmenterait les risques de crise cardiaque de 45 %.
 
Si vous avez eu une grande difficulté à rester endormi toute la nuit dans les trente derniers jours, les risques sont accrus de 30 %.
 
Finalement, si vous avez du mal à vous sentir revigoré au réveil plus d’une fois par semaine, vos chances de faire une crise cardiaque grimpent de 27 %.
 
Les problèmes de sommeil peuvent souvent être traités assez facilement. Il est donc impératif d’en parler à son médecin afin de trouver une solution.
 
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Avoir des enfants est bon pour le coeur

Il semble qu’être père de famille a des avantages sur la santé. Un homme qui a des enfants serait moins enclin à souffrir d’une maladie cardiovasculaire qu’un autre qui n’en a pas. Le moins grand risque encouru par papa est ici de 17 %.

C’est ce que nous apprend une récente enquête américaine à grande échelle. Différentes instances des États-Unis se seraient penchées sur le cas de 138 000 hommes pour tirer cette conclusion, selon Nouvelobs.

La différence ici observée nous en dirait plus sur l’infertilité. Cette dernière serait un bon indicateur de la santé future. Elle correspondrait en fait à une faiblesse génétique présente chez certains hommes, laquelle pourrait aussi avoir un effet sur leur santé cardiaque.

Malgré tout, les spécialistes nous demandent de ne pas sauter trop vite aux conclusions. Le Dr Daniel Rader, directeur de cardiologie préventive à l’University of Pennsylvania, affirme : « Il est biologiquement plausible qu’il y ait une connexion, mais le risque réduit attribué au fait d’avoir des enfants est plutôt modeste ».