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Les cardiaques ne devraient pas arrêter de prendre de l’aspirine

Récemment, une étude ne recommandait plus l’utilisation de faibles doses d’aspirine pour prévenir les crises cardiaques.
 
Après avoir analysé de nombreuses données, on disait que l’aspirine avait très peu d’effets préventifs. Les effets anticoagulants aidaient non seulement à prévenir les caillots de sang, mais augmentaient aussi les risques de saignements, surtout dans le système digestif et le cerveau.
 
Le British Medical Journal publie cependant une nouvelle étude britannique qui mentionne que les personnes cardiaques ne devraient pas cesser l’emploi de l’aspirine quotidiennement, car cela augmenterait de 60 % les risques de rechute dans les trois années suivantes.
 
Cette nouvelle recherche a été effectuée auprès de 40 000 personnes qui recevaient de l’aspirine à faibles doses pour leurs antécédents cardiaques.
 
Celles qui avaient arrêté de prendre de l’aspirine ont vu leur risque de crise cardiaque augmenter de deux tiers.
 
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Les hommes mariés se font soigner plus rapidement

Il a déjà été démontré que le mariage avait des bienfaits pour la santé, surtout chez les hommes.
 
Une nouvelle étude canadienne publiée dans le Canadian Medical Association Journal démontre une fois de plus que les hommes retirent des avantages à être mariés.
 
En effet, pour une crise cardiaque, les hommes mariés ou en union se font soigner plus rapidement que leurs congénères célibataires, divorcés ou veufs. Sans doute parce que leur conjointe les incite à consulter rapidement.
 
Parmi les 4 403 personnes étudiées qui avaient eu une crise cardiaque, 46,3 % s’étaient rendues à l’hôpital dans les deux heures suivant les premières douleurs thoraciques et 73,6 % s’y étaient rendues dans les six heures.
 
L’âge moyen des patients était 67,3 ans et 33,7 % étaient des femmes. Cependant, chez les femmes mariées, on ne note pas de différence quant à la rapidité à se faire soigner comparativement aux femmes seules.
 
Chez les hommes mariés, 75,3 % s’étaient rendus à l’hôpital dans les six heures, contre 67,9 % des célibataires, 68,5 % des divorcés et 70,8 % des veufs.
 
Les hommes mariés ou en couple ont donc moins de risques de mourir d’un trouble cardiaque que les autres.
 
Rappelons que les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès.
 
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L’aspirine pour prévenir les crises cardiaques n’est plus recommandée

Depuis environ 40 ans, de nombreuses personnes se voient prescrire la prise quotidienne d’une faible dose d’aspirine afin de prévenir les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux.
 
Selon le Canadian Journal of Cardiology, la Société canadienne de cardiologie ne recommande plus cette pratique.
 
Après avoir analysé de nombreuses données, on constate que l’aspirine a très peu d’effets préventifs. Les effets anticoagulants aident non seulement à prévenir les caillots de sang, mais augmentent aussi les risques de saignements, surtout dans le système digestif et le cerveau.
 
Toutefois, les personnes qui prennent quotidiennement une faible dose ne doivent aucunement arrêter le traitement sans l’avis de leur médecin, surtout si elles n’ont pas d’effets secondaires.

Pour les nouveaux patients, on ne prescrira plus cette méthode, mais on suggérera plutôt de changer les habitudes de vie néfastes.

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Patrick Norman se remet rapidement de son opération

Dans le Journal de Montréal, on apprend que Patrick Norman attendait son opération avec impatience. S’il était resté chez lui, l’attente aurait pu s’étendre sur 6 mois. Il a choisi de demeurer à l’hôpital, ce qui lui a valu deux semaines au lit.

Son gérant, Daniel Bélanger, a confié aux médias que le chanteur se remettait rapidement de la délicate opération de jeudi dernier (9 juin) à l’hôpital Sacré-Cœur de Montréal. « Ça s’est super bien passé. Patrick n’est pas enflé du tout et il ne restera que deux autres jours aux soins intensifs. On lui a déjà enlevé ses tubes. »
 
Avec son historique familial, il était pratiquement inévitable que Patrick Norman subisse un pontage coronarien. En tout, 6 artères étaient bloquées et la dilatation coronarienne était impossible. « Alors, les médecins m’ont prévenu qu’il faudrait faire vite », a affirmé le chanteur de 64 ans, alors qu’il attendait dans sa chambre d’hôpital.
 
Il dit qu’il en ressort complètement remis à neuf et malgré ce qu’il vient de subir, il ne cesse de penser aux spectacles qu’il a dû annuler et à son nouvel album, L’amour n’a pas d’adresse, qui devait sortir le 9 août prochain.

Néanmoins, il a été confirmé par son gérant que la sortie aurait lieu à la fin de l’été.

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La peur de mourir aggrave les problèmes cardiaques

Après une crise cardiaque, de nombreuses personnes ont peur de mourir, mais cela affectera grandement leur guérison.
 
En fait, lorsqu’une personne a des problèmes cardiaques, sa peur de mourir peut aggraver son état.
 
Selon l’European Heart Journal, des chercheurs de Londres ont analysé le cas de 208 personnes avec des maladies cardiaques. Ils ont noté qu’un niveau élevé de crainte de la mort aggravait leur condition.
 
Cela est causé par le stress provoqué par cette peur, qui augmente les composés chimiques THF-alpha. Ces derniers sont reconnus pour endommager le cœur et augmentent donc les risques de problèmes cardiaques.
 
Les personnes devraient à tout prix essayer d’éliminer cette peur de subir une crise cardiaque si elles ne veulent pas en avoir une.
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Les chirurgies durant l’enfance entraînent des risques

Des chercheurs suédois viennent d’établir un lien des plus improbable. Il semble que si l’on se fait retirer les amygdales et l’appendice durant notre enfance, on est plus exposé à la crise cardiaque.

Précisément, le retrait des amygdales augmenterait ce risque de 44 % et celui de l’appendice, de 33 %. Le danger se trouverait d’autant plus grand si les deux interventions médicales ont été faites.
 
Cette augmentation des risques a été établie statistiquement et elle concerne les personnes qui ont subi ces types d’intervention avant leurs 20 ans. À l’inverse, passé cet âge, les risques mentionnés n’ont pu être reconnus.

Une explication possible de cette corrélation serait les effets à long terme que le retrait de ces organes lymphoïdes engendre sur le système immunitaire. Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’European Heart Journal.

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Les produits laitiers ne sont pas nocifs pour le coeur

Bonne nouvelle pour les amateurs, les produits laitiers comme le beurre et le fromage n’augmentent pas les risques de crise cardiaque, selon les scientifiques.
 
Les résultats de leur étude, publiés dans le journal Nutrition, Metabolism and Cardiovascular Diseases, démontrent qu’il n’existe aucun lien entre la consommation quotidienne de ces produits et un risque accru de troubles cardiaques, même pour ceux qui mangent plus d’un demi-kilogramme de fromage quotidiennement.
 
On croyait que les graisses saturées des produits laitiers étaient nocives pour la santé cardiaque, mais les chercheurs constatent plutôt que les nutriments des produits compensent et viennent contrecarrer les effets néfastes.
 
Attention, on ne dit pas que les graisses saturées sont inoffensives, au contraire, mais les autres nutriments comme le calcium, la vitamine D et le potassium peuvent protéger des maladies cardiaques.
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Crise cardiaque à neuf ans

Il semble que les enfants peuvent souffrir d’une crise cardiaque à partir de l’âge de neuf ans. C’est ce que nous apprennent les résultats d’une étude suédoise menée par l’Hôpital universitaire Skane.

Après avoir suivi 123 garçons et 100 filles âgés de 9 à 10 ans, les chercheurs ont statué que les enfants peuvent être à risque dès cet âge, et ce, même s’ils ne souffrent pas d’obésité. Leurs résultats sont parus dans l’Acta Paediatrica Journal.
 
Il semble en fait que les enfants qui font très peu ou pas d’activité physique et qui passent plutôt leurs journées devant le téléviseur courent le risque d’une crise cardiaque dès cet âge.
 
C’est qu’en manquant d’exercice, la consommation d’oxygène requise par le corps n’est pas atteinte, ce qui a diverses conséquences sur les fonctions des organes, dont le rythme cardiaque.

Afin de tirer ces conclusions, les chercheurs ont mesuré l’indice de masse corporelle des participants, en plus d’avoir évalué leur rythme cardiaque par électrocardiogramme. L’activité physique des enfants a été relevée par accéléromètre. On leur a aussi fait subir des tests sanguins.

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Bienfaits des clémentines

Selon le journal Diabetes, la clémentine préviendrait de nombreux problèmes de santé. Il s’agit de la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Université de l’Ouest de l’Ontario.

Après des expérimentations réalisées sur des souris, on a pu définir quels seraient les effets de la clémentine. Ce fruit protègerait des crises cardiaques et des attaques, en plus de prévenir l’obésité et le diabète.
 
C’est la nobilétine, un pigment que l’on trouve sur la peau des agrumes, qui est à la base de ces effets. Or, la peau de la clémentine en contient 10 fois plus que celle du pamplemousse.
 
Des recherches précédentes avaient démontré que les flavonoïdes des pamplemousses protégeaient de l’obésité et du syndrome métabolique.

Quant à ce qui a été prouvé sur la nobilétine, des recherches futures devront être faites pour savoir si un traitement incluant ce pigment est souhaitable pour les personnes malades.

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Le tour de taille ne peut prédire les risques de crise cardiaque

Une analyse de 58 études totalisant 220 000 personnes de 17 pays mentionne que mesurer le tour de taille n’est pas plus précis que l’indice de masse corporelle (IMC) pour déterminer les risques encourus d’une personne pour les maladies cardiovasculaires.
 
Sur une période de 10 ans, on a mesuré le tour de taille et l’IMC, en plus d’évaluer le lien d’un risque de crise cardiaque. L’un et l’autre ne seraient pas plus précis. Peu importe où l’excès de graisse se trouve, cela représente un risque de plus pour les maladies cardiovasculaires.
 
Selon plusieurs, ces données sont à considérer avec précaution, rapporte The Lancet. « Il s’agit d’un travail colossal qui apporte une donnée nouvelle : chez un patient, lorsqu’on a mesuré la tension artérielle, la glycémie et le taux sanguin de lipides et de cholestérol, alors la mesure de l’adiposité (tour de taille ou IMC) n’est pas nécessaire », explique Jean-Pierre Després, titulaire de la Chaire de recherche internationale sur le risque cardiométabolique et directeur de la recherche en cardiologie au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec.
 
Il refuse toutefois de dire que le tour de taille ne peut aider à prédire le risque de crise cardiaque. Selon lui, l’obésité abdominale augmente les dangers.
 
« Plus de 25 années de travaux ont montré l’importance de la répartition de la graisse et de l’adiposité viscérale sur le risque cardiovasculaire. Pour un IMC donné, la personne qui a un tour de taille très large a un risque cardiovasculaire bien plus élevé que celle qui a un tour de taille plus fin. Ce serait faux de dire aux médecins que le tour de taille de leurs patients n’a pas d’importance », dit-il.