Catégories
Uncategorized

Le cannabis augmente-t-il les chances de faire une attaque cérébrale?

Une nouvelle étude controversée sur le cannabis risque de faire jaser. Selon ce que l’on apprend via Santé Log, l’étude révèle des risques d’attaques cérébrales potentiellement à la hausse chez les fumeurs de cannabis.

La marijuana, pourtant prisée par plusieurs et même prescrite par certains médecins, comprendrait un dangereux revers de médaille pour ces chercheurs australiens en tête de l’étude.

Présentées lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference 2013, ces recherches sont parmi les premières sérieuses à tenter de démontrer un risque accru d’AVC chez les consommateurs de la drogue douce.

Une drogue pas si douce, pensent les chercheurs, qui croient fermement à leur théorie. On parle du double, voire du triple, des chances d’AVC chez cette partie de la population, en comparaison aux non-fumeurs.

Cependant, plusieurs facteurs pourraient venir brouiller ces résultats. Notamment, l’usage de la cigarette chez les sujets observés, ainsi que leurs caractéristiques distinctes comme l’âge et leur état de santé préalable.

On s’attend à voir d’autres études sur le sujet être effectuées dans un avenir rapproché.

Catégories
Uncategorized

Bilan de santé désastreux pour les baby-boomers

Radio-Canada rapporte une nouvelle concernant le bilan de santé des baby-boomers, et il ne semble pas très reluisant.

En fait, il semble que la génération phare de la société québécoise moderne ne soit pas préoccupée outre mesure par les risques de problèmes de santé qui se pointent le bout du nez avec l’âge.

Pourtant, les mêmes répondants à ce sondage proposé par la Fondation des maladies du cœur affirment avoir des plans précis et de grands projets pour leur retraite et leurs jours dorés.

Pour y parvenir, encore faut-il s’y rendre… vivant! Pour la Fondation, les baby-boomers doivent commencer à prendre leur santé au sérieux. On semble croire que les bilans sont bons du côté des principaux intéressés, mais lorsqu’interrogés sur leurs habitudes alimentaires et de vie, il y a de quoi s’alarmer.

Nourriture excessive et malbouffe, manque de fruits et de légumes, trop peu d’activité physique, bref, tout y passe. En moyenne, il semble que cette génération, pourtant vieillissante, s’assure de ne pas finir ses jours en beauté.

Selon Statistiques Canada, même avec une plus grande durée de vie, il existe un écart de près de dix ans entre l’espérance de vie moyenne et l’espérance de vie… en santé.

Une prolongation de vie inutile si on ne peut en profiter.

 

Catégories
Uncategorized

Mauvaise économie et nutrition ne font pas bon ménage

Il appert que nos habitudes alimentaires pourraient varier en fonction de la santé économique du pays où l’on se trouve, lance Top Santé.

Selon des spécialistes basés à Miami, en Floride, une économie nationale laborieuse et une période de crise seraient des facteurs qui mèneraient les citoyens à se tourner vers une alimentation moins saine et plus grasse.

Est-il possible de manger ses émotions de façon collective? C’est un peu ce que propose l’étude américaine. Pour étayer cette théorie, les chercheurs de la Miami School of Business ont étudié les comportements de plusieurs sujets, divisés en deux groupes.

Le premier groupe a été placé devant une version de chocolats (une marque bien connue) auxquels on prêtait un apport calorique plus élevé. Le deuxième groupe a quant à lui été placé devant les mêmes chocolats, mais en version allégée, affirmait-on. Bien sûr, tous les chocolats étaient en fait les mêmes.

On a ensuite soumis les deux groupes à une série d’images, certaines alarmistes et inquiétantes, et d’autres plus neutres, moins négatives.

Résultats : 70 % plus de bonbons caloriques ont été dévorés lorsque les sujets étaient placés devant les images agressives et négatives.

On expliquerait ce comportement, outre par le stress, par le besoin inconscient de « se faire des réserves » en période de crise.

Les conclusions de cette étude légère sont parues dans le magazine Psychological Science.

Catégories
Uncategorized

Nouvelle thérapie pour les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme

Des chercheurs israéliens proposent une nouvelle façon de faire pour aider les victimes de crise cardiaque et d’anévrisme à se rétablir complètement, rapporte The National Library of Medicine.

Il s’agit d’une thérapie qui utilise l’oxygène pour accélérer le processus de rétablissement des patients à la suite d’un AVC ou d’une crise cardiaque. Ce n’est pas une nouvelle méthode en soi, puisque celle-ci est utilisée dans d’autres domaines et est connue sous le nom de thérapie hyperbare (utilisé notamment dans le sport professionnel).

Les chercheurs israéliens voulaient cette fois déterminer avec certitude les effets de la méthode hyperbare sur leurs patients, et ils ont réussi. Selon eux, tous les 59 patients observés lors de l’étude ont démontré des signes avancés de rétablissement précoce, à plus ou moins grande échelle.

Pour certains patients, les chercheurs parlent carrément d’une « amélioration radicale ».

La thérapie par oxygène cible particulièrement les lésions cérébrales causées par des accidents de type AVC, permettant de les soigner et de ramener le cerveau à son état fonctionnel antérieur.

On note particulièrement le cas d’une dame âgée de 62 ans qui a retrouvé la capacité de lire, parler, écrire, manger et marcher grâce à cette méthode.

Il s’agit d’un grand pas en avant pour des millions de patients à travers le monde, victimes de crise cardiaque et de rupture d’anévrisme.

Catégories
Uncategorized

Les dangers de l’hiver pour le coeur

Plusieurs études sont venues prouver que les efforts physiques soudains et difficiles durant la période hivernale, comme le pelletage, peuvent mener à des incidents cardiaques.

Malgré tout, le débat fait toujours rage dans les chaumières, les uns prônant l’importance de l’activité physique, les autres mettant en garde contre les efforts soudains comme le fait de pelleter la neige hors de sa cour.

Voilà une nouvelle étude qui vient corroborer la version qui met en garde contre le pelletage et les autres efforts hivernaux, rapporte www.nlm.nih.gov.

De plus, on note cette fois une nouvelle explication scientifique qui parle de la réaction du corps humain au froid, qui ajoute aux risques de crise cardiaque ou d’accident cardiovasculaire.

« Quand la température tombe durant les mois d’hiver, les risques de crise cardiaque augmentent. Les vaisseaux sanguins se rétrécissent pour prévenir les pertes de chaleur du corps. C’est une réponse naturelle de l’organisme qui peut placer les gens avec des problèmes cardiaques ou qui sont engagés dans des activités physiques à risque d’un incident cardiaque », explique la Dre Holly Andersen, du Ronald O. Perelman Heart Institute.

On suggère de bien s’étirer et de réchauffer son corps avant de brandir sa pelle, et de porter un foulard sur le nez et la bouche pour réchauffer l’air que vous respirez.

Évitez de lever la pelle, mais poussez plutôt la neige. Prenez plusieurs pauses et ne vous surmenez pas, afin de profiter de l’hiver en santé!

Catégories
Uncategorized

Les oméga-6 n’augmenteraient pas les risques d’attaque cardiaque

La polémique concernant les oméga-6, qui commencent à faire parler d’eux de plus en plus, fait rage depuis un certain temps.

La communauté scientifique est profondément divisée sur le sujet, alors que plusieurs chercheurs croient aux bienfaits des oméga-6 sur le cœur. D’autres sont plutôt convaincus qu’ils peuvent augmenter le risque de problèmes cardiaques éventuels, en plus de provoquer des inflammations.

L’étude dont il est question tentait de déterminer les effets des oméga-6 en évaluant les dossiers de 22 000 Américains, des hommes, sur une période de 17 ans. Par la suite, on a comparé les dossiers des 788 sujets qui ont développé des problèmes cardiaques avec ceux qui avaient le même profil (âge, sexe, paramètres), mais qui n’en avaient pas développé, explique www.nlm.nih.gov.

Au final, on sent que le débat risque de faire rage encore longtemps, puisque les notions et conclusions varient d’une étude à l’autre. Pour celle-ci, par exemple, tout ce que les chercheurs arrivent à affirmer avec certitude, c’est que les oméga-6 ne seraient pas néfastes pour la santé.

De là à dire qu’ils protègent, il y a un pas à franchir. Cependant, tous semblent s’entendre pour dire que les oméga-6 ont le mérite de gérer la haute pression, un facteur de risque des maladies cardiovasculaires.

Catégories
Uncategorized

La crise de la quarantaine démystifiée?

La crise de la quarantaine en est une qui peut s’avérer parfois rigolote, d’autres fois carrément explosive… et mener à des changements de vie radicaux.

Cette crise de milieu de vie (mid-life crisis) n’a pas toujours été reconnue officiellement par les scientifiques, mais on constate que les choses ont bien changé, alors que Santelog.com rapporte une étude qui classe la « crise de la quarantaine » dans la colonne des phénomènes biologiques.

Alors, vouloir changer de carrière (ou de femme) ou avoir le désir subi de voyager autour du monde pourrait bien provenir de votre propre « horloge de bien-être ».

Le bien-être humain oscille selon les périodes de la vie, étant plus élevé et marqué chez les jeunes. Il pourrait bien connaître un fort creux de vague à l’arrivée de la quarantaine, selon l’étude publiée dans Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS), une publication scientifique bien connue.

Pour appuyer cette théorie, on a fait appel aux meilleurs amis de Darwin : les singes. En observant 508 grands singes grâce à des tests adaptés, les chercheurs ont pu démontrer que ces primates ressentaient aussi les effets de la « crise de la quarantaine », à un moment bien précis.

L’évolution et la biologie joueraient donc un rôle important dans ce phénomène plus masculin, disons-le.

Catégories
Uncategorized

Le poisson, mais pas les suppléments, protégerait contre les crises cardiaques

Vous pouvez diminuer vos risques d’attaque cardiaque en intégrant du poisson à votre régime alimentaire, affirme une étude publiée sur www.nlm.nih.gov.

Et non, les suppléments n’ont pas le même impact que le vrai poisson, selon ces chercheurs. De quoi raviver les débats déjà houleux entre partisans de prise de suppléments d’oméga-3 et de poissons véritables.

Donc, l’étude indique que quelques portions par semaine (2 à 4) de poissons peuvent grandement augmenter vos chances d’éviter une attaque. On cible particulièrement les poissons huileux, visqueux, comme la sardine ou le maquereau.

Des changements sont observés lorsqu’une personne ajoute deux portions de poisson à son régime alimentaire hebdomadaire, concluent les chercheurs, mais passer de trois à quatre portions fait descendre les risques de crise cardiaque de 6 %. Les gens qui en consomment très souvent (cinq portions ou plus par semaine) verraient les mêmes risques diminuer parfois jusqu’à 12 %.

Le Dr Rajiv Chowdhury, de l’Université Cambridge en Angleterre, est convaincu de ce qu’il avance, mais tient à répéter une fois de plus que les suppléments alimentaires n’ont pas le même impact que le vrai poisson, voire pas d’impact du tout.

Catégories
Uncategorized

Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.

Catégories
Potins

Lil Wayne victime d’une crise d’épilepsie

Récemment, Lil Wayne mentionnait qu’il souhaitait ralentir le rythme un peu pour se consacrer à son autre passion, le skateboard. L’artiste de 30 ans, qui a lancé les carrières notamment de Drake et Nicki Minaj, brûle la chandelle par les deux bouts.

Le résultat s’est d’ailleurs fait sentir lors d’un vol dans son jet privé, hier (25 octobre), le faisant atterrir d’urgence au Texas. Selon TMZ, Lil Wayne aurait été victime des symptômes d’une crise d’épilepsie.

Transporté d’urgence à l’hôpital local, il a été mis en observation pendant plusieurs heures avant d’obtenir son congé. Une source a mentionné qu’il « allait mieux » en soirée.

Il s’agit d’un incident similaire à celui qu’a vécu le magnat du hip-hop, Rick Ross, qui a récemment fait deux crises d’épilepsie en plein vol.

Par ailleurs, Lil Wayne affirme qu’il a enregistré 90 titres dernièrement pour Dr. Dre. Un peu de repos sera donc bienvenu.

« Je ne sais pas si vous savez comment travaille Dre. […] Tu ne sais jamais quelle chanson il choisira », a déclaré le rappeur.

Son nouvel album, I Am Not a Human Being II, sortira en novembre. Par la suite, si ses problèmes de santé persistent, l’artiste n’aura d’autre choix que de ralentir la cadence un certain moment.